L’ancien Ministre d'Etat, Ministre de la Coopération internationale, des Infrastructures, des Transports aériens et de l'Energie, Karim Wade repasse pour la quatrième fois devant les cinq gendarmes de la section de recherche de Colobane, ce jeudi 22 novembre 2012. Une audition qui devrait marquer la fin de son face-à-face avec les pandores qui se donneront le temps de transmettre leurs conclusions au parquet spécial de la Cour de répression de l’enrichissement illicite. Après le fils de l’ancien président de la République, Abdoulaye Wade, la seconde personnalité sur les tablettes des enquêteurs de la section des recherches de la gendarmerie est le coordonnateur du Parti démocratique Sénégalais, l'ancien Ministre d'Etat Oumar Sarr chargé de l'Habitat, de l'Urbanisme, de l'Hydraulique dans les gouvernements respectifs du régime libéral. Pour rappel le sus nommé a été l'époux de l’actuelle Ministre de la Justice, garde des sceaux avec qui il a eu une fille qui se trouve présentement aux Etats-Unis pour les besoins de ses études. Outre l’origine de ses biens, Oumar Sarr sera entendu selon nos sources, sur la somme de 52 milliards financée par l’Union Européenne pour faire face aux inondations.
12 Commentaires
Alya
En Novembre, 2012 (16:35 PM)PLUS JAMAIS ça
Packou
En Novembre, 2012 (17:33 PM)Fbbdfhdbfdhbfsvfsvv
En Novembre, 2012 (19:38 PM)IL FAUT EXIGER CELA A MOINS QU'ON SOIT UN IDIOT OU UN HYPOCRITE !!!
Falou Galass
En Novembre, 2012 (22:37 PM)son pere etait l'homme le plus riche de dagana et du walo son pere etait l'homme le plus riche
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Mor
En Novembre, 2012 (01:21 AM)Djadji
En Novembre, 2012 (01:28 AM)Alioune Ndao
En Novembre, 2012 (01:30 AM)L’euphorie de l’alternance y est peut-être pour quelque chose : la justice va dans tous les sens ; elle s’est emballée, et personne ne semble vouloir l’arrêter. Pourtant, hier seulement, même les moins sachant s’étaient érigés à la fois en législateur, en doctrine et juge. Il est vrai, qu’à l’époque, l’irrégularité de la candidature du Président ABDOULAYE WADE ne pouvait autoriser une quelconque réserve, sauf à vouloir braver le peuple, celui du 23 juin, celui des Assises et celui des « constitutionnalistes » d’origine ou d’emprunt. Il faut demander au Conseil constitutionnel, seul organe habilité à se prononcer, comment parvenir à la résilience après être passé en profondeur sous les fourches caudines populaires.
Mais les juristes de la bonne école, ceux pour qui la versatilité doctrinale est une tare, savent que la justice populaire est la sœur aînée de la justice d’exception. Elles s’abreuvent, en effet toutes deux, dans le fleuve de l’injustice, de l’arbitraire et de la démesure. Or, aujourd’hui, tout laisse présager qu’on s’achemine à grands pas vers cette justice de réaction.²
Le processus déclenché par les nouvelles autorités est suffisamment révélateur à cet égard.
La résurrection d la Cour de répression de l’enrichissement illicite en constitue la première illustration. Cette cour a un vice congénital par sa nature : elle est une juridiction d’exception qui viole ostensiblement les principes qui gouvernent une justice équitable : renversement du fardeau de la preuve, absence de double degré de juridiction.
Certes, elle avait été mise en veilleuse plus par opportunité politicienne que par souci d’orthodoxie. Son brutal réveil peut surprendre à double titre. D’abord, il était reproché à ses initiateurs de s’indigner sélectivement par rapport aux personnes susceptibles d’être poursuivies ; ensuite par ce que l’arsenal juridique mis en place était fort éloigné de l’idée que l’on peut se faire de la Loi
. Il est dés lors inquiétant que le nouveau Pouvoir feigne de croire que cette double objection dirimante a miraculeusement disparu. Cela est d’autant plus invraisemblable que dans le projet de réforme envisagé, il est question de rétablir les droits de la défense dans le dispositif de la future juridiction chargée de lutter, entre autres, contre les délinquants en col blanc.
Mais alors pourquoi vouloir se précipiter à juger ? Y aurait-il d’autres raisons qui ne s’accommodent pas avec le Droit ?
La »sortie « médiatique du Procureur spécial ne contribue pas à dissiper le doute, ni sur la forme ni sur le fond.
Sur le premier terme, .Monsieur NDao a certainement cru que son jour de gloire était arrivé ; c’est le sentiment qui anime, bien souvent, ceux qui sortent soudainement de l’ombre pour découvrir la lumière du jour. Si tel est le cas, il aurait alors intérêt à se munir d’un groupe électrogène car les délestages sont encore récurrents. Mais ce narcissisme de circonstance est véniel comparé à la teneur de son propos.
Il est certes admis, aujourd’hui, que la justice doit communiquer pour mieux informer. Ici,l’information du Procureur spécial était plutôt une révélation. Elle a mis à l’index des personnes que la justice n’a pas encore incriminées ,mais que Monsieur NDAO soupçonne d’avoir distrait indûment» des milliards ».
Où sont donc ensevelis le secret de l’enquête et la présomption d’innocence, et pourquoi ?
Monsieur le Procureur spécial semble même avoir oublié qu’il ne lui appartient pas de juger, qu’il est du parquet. Il souligne, presque triomphalement, l’inopposabilité des privilèges et immunités devant la Cour de répression de l’enrichissement illicite.
Pourtant sur ce dernier aspect, Monsieur le Procureur spécial n’a pas osé décliner la totalité de son pouvoir de poursuite : le Chef suprême des armées a reconnu formellement , à travers le journal officiel, qu’il est parvenu à accumuler au moins un milliard de francs CFA au bout de Huit (08) années d’exercice professionnel, essentiellement dans l’administration sénégalaise; si ce n’est pas un record , cela lui ressemble étrangement.
C’est vrai que la vitalité autoproclamée de Monsieur NDAO n’est dirigée qu’à l’égard des « vaincus » et de ceux qui sont réputés être leurs alliés. Pendant ce temps, le Président de sa propre juridiction, tout juste à ses côtés, n’a pas été disert. Ce n’est certainement pas ainsi qu’une bonne justice pourrait être rendue.
Le procès programmé de Monsieur Habré présente déjà les mêmes contours.
Personne n’ose contester que Monsieur Habré doive être jugé, comme auraient dû l’être beaucoup d’anciens chefs d’Etats africains avant lui. Mais peut-être que c’est aujourd’hui que l’Afrique veut se donner bonne conscience et prouver, en même temps, à la « communauté internationale » qu’elle compte désormais bannir le règne de l’impunité de ses dirigeants. Alors, pour l’exemple, il n’est pas impie de commencer par Monsieur Hissène Habré, même si ce dernier n’avait jamais imaginé que la TERANGA sénégalaise pouvait être vécue, un jour par lui, à reculons.
Le Sénégal s’est engagé à le juger in situ ; il montre ainsi son aptitude à s’élever jusqu’aux cimes des principes universels qui attestent de la solidité de son ouverture démocratique. Le modus opérandi est
simple : il faut des moyens matériels et institutionnels. Comme le financement peut être supporté par tous ceux qui y ont intérêt, il suffit, en fin de compte, de réaménager le système judiciaire sénégalais pour l’adapter à la spécificité de l’affaire HABRE ;
Par la grâce d’une Convention et d’une loi (projet) en doublon, il serait envisagé de créer, au sein des juridictions sénégalaises, des chambres spéciales d’instruction et de jugement, avec notamment des juges sénégalais ( proposés par le Ministre de la Justice) et étrangers , tous nommés par la Commission africaine.
Le procédé est inédit, atypique et fortement contestable.
Cette architecture juridictionnelle n’existe nulle part dans le monde, du moins jusqu’à plus ample informé ; certes, il n’est pas souvent mauvais d’innover surtout pour améliorer l’existant ; mais ici, l’innovation constitue, à l’ évidence , une incongruité qui s’apparente à un camaïeu juridique que le droit, surtout en matière pénale, réprouve .
Il aurait été mieux inspiré de créer une juridiction ad hoc, comme il en existe déjà, même si le système reste à parfaire.
Mais c’est surtout la légalité du dispositif qui est douteuse. L’organisation judiciaire du Sénégal va se retrouver totalement transfigurée. Dans la Constitution qui lui sert de support principal, le pouvoir judiciaire est exercé par le Conseil constitutionnel, la Cour suprême et la Cour des comptes .
Une loi de 1984 donne la physionomie actuelle du système judiciaire qui repose sur un schéma pyramidal avec la Cour Suprême, les Cours d’Appel et les tribunaux régionaux et départementaux.
Les magistrats sont généralement nommés après avis du Conseil supérieur de la magistrature ; la justice est rendue au nom du peuple sénégalais … par des Sénégalais.
Manifestement, le projet publié récemment par la presse s’est éloigné sur des rives lointaines d’un no mans land ; il faut alors reconnaître que le fruit est déjà pourri : il s’oppose frontalement à la Constitution .Même l’abandon de souveraineté pouvant résulter de nos engagements internationaux ne peut légitimer un tel arrimage.
Les chambres spéciales qualifiées -semble t-il – d’extraordinaires ne seraient par ailleurs fonctionnelles que pour l’affaire HABRE. Et après ?
Les prémisses d’une justice populaire se font jour ; elles ne sont pas en adéquation avec la gouvernance dite de rupture ; c’est plutôt la justice des vainqueurs, donc de l’injustice judiciaire.
La bonne justice ,c’est celle qui requiert la sérénité ,la mesure et l’objectivité. Elle ne peut avoir pour compagnons ni la fausse glorification, ni la partialité masquée artificiellement.
On peut constater et réprouver l’intempérance d’un procureur tardivement promu ,, en mal de gloire ou d’honneur, mais on ne peut tolérer que l’Etat trace les mêmes sillons. La justice populaire restera toujours une justice de réaction, d’arbitraire et dérives .
Sokone
En Novembre, 2012 (07:51 AM)LATIF COULIBALY
le Latif Coulibaly que j'ai connu c'est celui-là même qui disait que l'Apix de Aminata NIANE constitue « le plus gros scandale du siècle tant dans son fonctionnement que dans sa structuration. »
Le Latif Coulibaly que j'ai connu c'est celui-là même qui interpellait au mois d'Avril 2012 le PM Abdoul Mbaye pour que ce dernier procède à sa déclaration de patrimoine.
Le Latif Coulibaly que j'ai connu c'est celui-là même qui reprochait un mauvais casting du premier gouvernement alors formé par Maky Sall avec la nomination de Mbaye Ndiaye à l'Intérieur.
Enfin, le Latif Coulibaly que j'ai connu c'est celui-là même qui disait que Mon Président et leader de l’APR, Monsieur Maky Sall n'avait pas l'envergure pour être Président de ce Sénégal et c'est lui encore qui à propos de ce même Maky disait que cela ne servait à rien qu'il signe la Charte des Assises sans l'appliquer.
Mais dites-moi mes chers amis, c'est ce Latif là qui est aujourd’hui dans le gouvernement dirigé par le PM Monsieur Abdoul Mbaye? En qualité de Ministre, porte-parole de ce gouvernement? Assis autour de la même table avec Madame Aminata Niane, Monsieur Mbaye Ndiaye, et son Excellence Monsieur Maky Sall?
Non mais…arrêtez vos blagues, kii dou Latif. Ce serait plutôt son homonyme venu de Sokone : le ci-devant Abdou Coulibaly Latif.
Sinistre
En Novembre, 2012 (07:57 AM)-le recensement et gestion des sinistrés: ce recensement était fait par les autorités administratives sur les quartiers test de Pikine( 12 sur 127 réellement inondés) et de guediawaye.
Résultats: 3550 familles constituant les premières cibles à reloger sur près de 13000 cas à l'époque.
- attributions des logements: 2075 logements sont réceptionnés et 2062 attribués et remis à la Sn HLM ( expliquer la procédure d'attribution).
Sur les travaux réalisés:
1- les travaux d'aménagement des bassins en eau.
- Médina Gounass- 41665m2-
- Bagdad-23267m2-
- Wakhinane Nimzath-61384m2-
-Niety Mbar-51280m2-
- Zone de captage-72460m2-
Vue l'importance des superficies, ces bassins ont une grande capacité de stockage bien entendu s'ils sont écrêtés régulièrement ce qui ne fut pas le cas cette année.
Ces bassins ne sont pas une protection absolue contre les inondations néanmoins ils permettent de les gérer en retenant temporairement les eaux provenant du ruissellement de surface ou de remontée de appe pendant l'orage pour les restituer après l'averse avec un débit contrôlé par un dispositif de pompage qui ont un rôle de vidange du surplus d'eau.
Dans ce même ordre d'idées les points noirs de Dakar n'ont pas été traités. Il s'agit de
- Dispensaire philippes Maguilene Senghor
- Canal de Cices
-Yoff Virage
-Yoff Ranran
Zone de captage
Ces points ne sont pas traités pendant la période pré hivernales qui ont été à la base des inondations dans Dakar.
2- Realiations d'ouvrages hydrauliques
Le régime sortant leur a laissé 13 projets de réalisation d'ouvrages hydrauliques en cours d'execution dans les communes d'arrondissement de Pikine et Guediawaye
- Lac Wouye: réalisation d'une station de pompage de 10000m3/h avec une conduite de refoulement de D800 et une réalisation d'une digue d'une hauteur de 1m avec enrochement et revêtement de talus par perrés maconnés.( 45% de réalisation mais retard du aux tracasseries avec les Eaux et Forêts)
- Un système de drainage gravitaire par la connexion du bassin de Wakhinane Nimzath au lac Thiourour avec un dispositif d'ecretage permanent du bassin.( 95%)
-Lac Wourouwayr: réalisation d'une station de pompage de 3500m3 avec la pose de conduite permettant de transiter le débit de la crue du lac vers la mer.(95%)
- Ouvrage de drainage des zyeumbeul Nord et Sud: réhabilitation du réseau hydrographique par la pose de buses , de canaux et de regards sur 1649ml à Yeumbeul Nord, deux bâches avec piège à sable, 10 regards, pose de buses sur 230ml et 56 en dalot à Yrumbeul Sud avec un ouvrage d'affranchissement.(93%)
-Bassin de Diacksao: les démolitions d'impenses , terrassement, interconnexion avec le réseau de canalisation de PAPCREE.(90%)
-Bassin de Mousdalifa exécuté à 45% mais il y'a eu des blocages avec les familles qui refusent de libérer les lieux
-Finalisation du Bassin de Médina Gounass: sécurisation par clôture.(46%)
-Finalisation du Bassin de Niety Mbar: sécurisation par clôture.(25%)
-Finalisation de Madialé( c'est le 2ème bassin de Wakhinane Ni zath):sécurisation.(35%)
-Mare de Guinaw Rail: aménagement de la mare, interconnexion de la mare à la mare de la cotonnière en bons D800 et réalisation de 7 regards.(95%)
-Réseau d'évacuation des eaux de Dalifort- techno pôle: réhabilitation du réseau hydrographique par pose de buses, de canaux et regard à Dalifort , station de pompage et ouvrages de franchissement rail et route de rufisque.(50%)
-Réseau d'évacuation des eaux de Keur Massar- Aïnoumady: réhabilitation du réseau hydrographique par la réalisation de canaux et regards sur 2650ml à Aïnoumady et réalisation de regards et bâches avec piège à sable.(53% )
-Reseu d'évacuation des eaux de Diamaguene Rond point Sicap Mbao: réhabilitation du réseau hydrographique par la réalisation de canaux et regards sur 4800ml à Sicap Mbao, de regards et bâches de piège à sable.(25%)
Au total en plus des 251109m2 de surface de stockage des eaux( bassins) , c'est 40172,57 ml de canalisation qui seront réalisés à la fin de ces différents projets.
Cartographie des zones inondées : le SIG qui permet d'avoir une connaissance fine et précise de la planimétrie( tous les objets cartographiables) et de l'altimètre ( a partir du MNT d' avoir la cote dur toutes la region de DKavec une
precision de 30 cm)de Pikine et Guediawaye
MNT qui permet de définir les bassins versants( le tracé d'un cours d'eau de sa source vers son exécutoire) et les voies d'eau.
C'est ce MNT et les prises de vue aériennes qui ont une précision de 15 cm qui ont servi à l'élaboration du Plan directeur de drainage des eaux pluviales par la BM. C'est ce fameux plan directeur qui est magnifié par le gouvernement comme solution.
Tawté
En Novembre, 2012 (07:59 AM)2075 logements réalisés.
Équipements:
-3 écoles élémentaires de 12 classes chacune aux unités 12B, 17A et 19
-1 Collège d'Enseignement Moyen à unité 11
- un hôtel de police en cours de finition
- un centre de santé de référence
- case des tout petits.
Dioube
En Novembre, 2012 (08:01 AM)Awadi
En Novembre, 2012 (08:03 AM)Participer à la Discussion