La directrice de la société Transcontinentale transit (TCT), Ndèye Nancy Niang, est libre. Arrêté et placée sous mandat de dépôt en février dernier, dans le cadre de l’affaire de détournement du bateau d’engrais (urée) d’une valeur de 3,9 milliards de francs CFA, la transitaire a recouvré la liberté vendredi dernier.
D’après L’Observateur, qui donne l’information, Ndèye Nancy Niang profite des dispositions de l’article 127 du Code de procédures pénales. Celui-ci dispose : «En matière correctionnelle, lorsque le maximum de la peine prévue par la loi est inférieur ou égal à trois ans, l’inculpé régulièrement domicilié au Sénégal ne peut être détenu plus de cinq jours après sa première comparution devant le juge d’instruction.»
Le journal rapporte que la mise en cause a été entendue sur le fond le 28 juin dernier. La même source ajoute que le juge d’instruction chargé du dossier s’apprête à prendre une ordonnance de clôture du dossier pour l’envoyer ensuite devant le tribunal correctionnel pour jugement.
Ndèye Nancy Niang est accusée par le directeur de la société Ree-Energie, Rahul Chanda, d’avoir violé les termes du contrat qui les liait et qui stipulait que la transitaire devait écouler pour lui des tonnes d’urée d’une valeur de 3,9 milliards de francs CFA. A ce jour, affirme le plaignant, la mise en cause ne lui a versé que 450 millions.
D’après L’Observateur, qui donne l’information, Ndèye Nancy Niang profite des dispositions de l’article 127 du Code de procédures pénales. Celui-ci dispose : «En matière correctionnelle, lorsque le maximum de la peine prévue par la loi est inférieur ou égal à trois ans, l’inculpé régulièrement domicilié au Sénégal ne peut être détenu plus de cinq jours après sa première comparution devant le juge d’instruction.»
Le journal rapporte que la mise en cause a été entendue sur le fond le 28 juin dernier. La même source ajoute que le juge d’instruction chargé du dossier s’apprête à prendre une ordonnance de clôture du dossier pour l’envoyer ensuite devant le tribunal correctionnel pour jugement.
Ndèye Nancy Niang est accusée par le directeur de la société Ree-Energie, Rahul Chanda, d’avoir violé les termes du contrat qui les liait et qui stipulait que la transitaire devait écouler pour lui des tonnes d’urée d’une valeur de 3,9 milliards de francs CFA. A ce jour, affirme le plaignant, la mise en cause ne lui a versé que 450 millions.
9 Commentaires
Hélas
En Septembre, 2022 (14:51 PM)Ensuite la loi là est vraiment bizarre. Pourquoi alors des gens sont enfermés depuis 10 ans sans jugement ?
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En Septembre, 2022 (14:59 PM)Innoncente
En Septembre, 2022 (15:24 PM)Des habitués des faits qui flambent de l'argent mal acquis à force de vols et corruptions, et pour échapper à la justices sont des adeptes de fétiches
Incroyable ce pays, ces 3 devraient faire l'objet d'enquêtes et répondre de leurs actes devant la justice !!!
Warou
En Septembre, 2022 (15:29 PM)tekssi niang xaragne lo di lènn promotion domeram