Le Sénégal devrait se doter d’une loi sur l’accès à l’information, avant la fin de janvier prochain, a-t-on appris mardi d’un responsable de la Direction de la promotion de la bonne gouvernance.
‘’Cette loi sera adoptée normalement d’ici à la fin du mois de janvier 2021’’, a déclaré Abdou Diao.
‘’C’est ce qui est prévu parce que la Direction de la promotion de la bonne gouvernance’’, point focal du Partenariat pour un gouvernement ouvert (PGO) au Sénégal, ‘’y a travaillé en mettant en place un comité de pilotage’’, a-t-il ajouté.
M. Diao s’exprimait en marge d’un atelier régional consacré au processus d’élaboration du PGO, en présence d’Abdou Diop, l’adjoint du gouverneur de Fatick, chargé des questions de développement de la région.
Selon lui, ce projet de loi sera soutenu par des décrets, ‘’pour encadrer les informations publiables et non publiables, dans les médias comme dans les réseaux sociaux’’.
‘’La loi sur l’accès à l’information (…) prévoit des limites et ne permet pas d’accéder à toutes les informations’’, a-t-il précisé.
‘’Il y a des informations d’ordre sécuritaire, des informations qui concernent les personnes, donc des données personnelles, qui ne peuvent pas faire l’objet d’une divulgation par les médias ou les citoyens’’, a expliqué M. Diao.
Le Sénégal, officiellement admis au sein du PGO lors du cinquième sommet mondial tenu sur cette question en juillet 2018 à Tbilissi (Géorgie), s’inscrit dans une dynamique de renforcement de la bonne gouvernance et des bonnes pratiques en matière de transparence dans la gestion des affaires publiques, a-t-il dit.
Après son adhésion au PGO, le Sénégal veut ‘’présenter à l’échelle mondiale des engagements en matière de bonne gouvernance qu’il respectera dans une durée de trois ou quatre ans’’, a indiqué Abdou Diao.
Dans ce cadre, a-t-il rappelé, chaque pays membre du partenariat ‘’doit produire un plan d’action national visant à faire progresser la transparence et l’ouverture de l’action publique dans les domaines promus par le PGO’’.
‘’Dans cette dynamique, le comité de pilotage a mis en place et a prédéfini 24 engagements destinés à promouvoir l’accès à l’information et la transparence dans l’action publique en s’appuyant sur le numérique et les nouvelles technologies’’, a indiqué M. Diao.
Il signale que parmi ces engagements, celui qui ‘’attire le plus le public’’ concerne l’adoption d’une loi sur l’accès à l’information et ses décrets d’application.
Abdou Diao précise qu’en dehors des limites prévues par la future loi sur l’accès à l’information, ‘’le citoyen, conformément aux autres engagements, peut accéder à toutes les informations publiques, dans la transparence, en toute intégrité’’.
M. Diao signale qu’en plus des engagements prédéfinis par le comité de pilotage, des ‘’consultations citoyennes’’ seront organisées dans les régions, dans le cadre du Partenariat pour un gouvernement ouvert.
Cela ‘’vise à impulser une démarche inclusive impliquant davantage les différentes catégories d’acteurs dans le processus d’élaboration du plan d’action national’’, a-t-il dit.
Le PGO est un partenariat multilatéral visant à promouvoir un gouvernement ouvert, à promouvoir la transparence dans l’action publique et son ouverture à de nouvelles formes de concertation et de collaboration avec la société civile.
Soixante-dix-neuf pays, dont 15 se trouvant en Afrique, en sont membres.
‘’Cette loi sera adoptée normalement d’ici à la fin du mois de janvier 2021’’, a déclaré Abdou Diao.
‘’C’est ce qui est prévu parce que la Direction de la promotion de la bonne gouvernance’’, point focal du Partenariat pour un gouvernement ouvert (PGO) au Sénégal, ‘’y a travaillé en mettant en place un comité de pilotage’’, a-t-il ajouté.
M. Diao s’exprimait en marge d’un atelier régional consacré au processus d’élaboration du PGO, en présence d’Abdou Diop, l’adjoint du gouverneur de Fatick, chargé des questions de développement de la région.
Selon lui, ce projet de loi sera soutenu par des décrets, ‘’pour encadrer les informations publiables et non publiables, dans les médias comme dans les réseaux sociaux’’.
‘’La loi sur l’accès à l’information (…) prévoit des limites et ne permet pas d’accéder à toutes les informations’’, a-t-il précisé.
‘’Il y a des informations d’ordre sécuritaire, des informations qui concernent les personnes, donc des données personnelles, qui ne peuvent pas faire l’objet d’une divulgation par les médias ou les citoyens’’, a expliqué M. Diao.
Le Sénégal, officiellement admis au sein du PGO lors du cinquième sommet mondial tenu sur cette question en juillet 2018 à Tbilissi (Géorgie), s’inscrit dans une dynamique de renforcement de la bonne gouvernance et des bonnes pratiques en matière de transparence dans la gestion des affaires publiques, a-t-il dit.
Après son adhésion au PGO, le Sénégal veut ‘’présenter à l’échelle mondiale des engagements en matière de bonne gouvernance qu’il respectera dans une durée de trois ou quatre ans’’, a indiqué Abdou Diao.
Dans ce cadre, a-t-il rappelé, chaque pays membre du partenariat ‘’doit produire un plan d’action national visant à faire progresser la transparence et l’ouverture de l’action publique dans les domaines promus par le PGO’’.
‘’Dans cette dynamique, le comité de pilotage a mis en place et a prédéfini 24 engagements destinés à promouvoir l’accès à l’information et la transparence dans l’action publique en s’appuyant sur le numérique et les nouvelles technologies’’, a indiqué M. Diao.
Il signale que parmi ces engagements, celui qui ‘’attire le plus le public’’ concerne l’adoption d’une loi sur l’accès à l’information et ses décrets d’application.
Abdou Diao précise qu’en dehors des limites prévues par la future loi sur l’accès à l’information, ‘’le citoyen, conformément aux autres engagements, peut accéder à toutes les informations publiques, dans la transparence, en toute intégrité’’.
M. Diao signale qu’en plus des engagements prédéfinis par le comité de pilotage, des ‘’consultations citoyennes’’ seront organisées dans les régions, dans le cadre du Partenariat pour un gouvernement ouvert.
Cela ‘’vise à impulser une démarche inclusive impliquant davantage les différentes catégories d’acteurs dans le processus d’élaboration du plan d’action national’’, a-t-il dit.
Le PGO est un partenariat multilatéral visant à promouvoir un gouvernement ouvert, à promouvoir la transparence dans l’action publique et son ouverture à de nouvelles formes de concertation et de collaboration avec la société civile.
Soixante-dix-neuf pays, dont 15 se trouvant en Afrique, en sont membres.
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