Dans cette plénière, la chaîne de Télévision nationale (Rts) a volé la vedette aux autres médias. Les élus ont félicité le Directeur Général de la RTS pour l’amélioration de la qualité des programmes radio et télé, et demandé l’accroissement des fonds alloués à ce service public, nous apprend Sud Fm.
Pour eux, un financement correct de la Rts, conditionné par son renoncement à la publicité au profit du privé permettra de mettre sur pied des agences régionales regroupant tous les médias de service public.Mais la grosse tache noire de cette plénière c’est encore la presse de caniveaux et les télés à bon marché qui à longueur d’émission promeuvent des contre-valeurs et les anti-modèles.C’est pourquoi les députés, dans leur grande majorité, ont clairement dit qu’ils ne voteraient pas le nouveau code de la presse dont le projet de la dépénalisation du délit de presse signifie pour eux, diffamer, insulter et ne rien risquer d'autre qu’une amende.
13 Commentaires
Adjia
En Décembre, 2013 (08:48 AM)Injuma
En Décembre, 2013 (08:48 AM)Sadikh
En Décembre, 2013 (08:50 AM)Mor
En Décembre, 2013 (08:55 AM)Koumag
En Décembre, 2013 (09:49 AM)Tita
En Décembre, 2013 (10:33 AM)Ami
En Décembre, 2013 (12:10 PM)Vivement
En Décembre, 2013 (13:27 PM)Ics G.m
En Décembre, 2013 (13:30 PM)Nous ne devons pas laisser la gestion de l’entreprise aux étrangers. Les privés nationaux doivent également s’intéresser aux Ics aux cotés de l’Etat », a soutenu Mata Sy Diallo dans les colonnes du journal Le Quotidien. De l’avis de la ministre en charge de l'industrie, « on ne peut pas parler de nationalisation, parce que l’Etat s’est désengagé pour laisser la place aux privés. L’Etat détient 15% des parts, tandis que les Indiens participent à hauteur de 85 %). Je souhaite que le privé soit plus présent dans le tissu industriel sénégalais ».
Ics Le G M
En Décembre, 2013 (13:35 PM)les indiens devraient injecter 44 milliards sur 3 ans pour remettre l'outil de production en marche
mais on assiste a des arrets techniques par manque d'investissement probants
une usine est a l'arret technique faute de matieres premieres qu'est le soufre
si l'etat ne revoit pas les clauses du contrat qui les lient aux partenaires
les ICS risquent de connaitre une deuxieme crise technique et financière qui serait fatale à l'économie du pays.
le mutisme des organisations syndicales et la complicité des cadres senegalais du top management ont poussé les indiens à faire des ICS une vache laitiere (e flux financier vers l'inde la misere au senegal)
l'etat est interpelle pour faire la lumiere sur le fleuron de l'industrie senegalaise
Tam
En Décembre, 2013 (15:40 PM)Lebaolbaol
En Décembre, 2013 (20:21 PM)Goongalaveritevraie
En Décembre, 2013 (21:27 PM)Participer à la Discussion