La question relative aux étudiants en formation dans les écoles de journalisme et qui ne sont pas diplômés et qui sont sur le terrain, alors que la loi ne leur donne pas droit à la carte, s’est posée au niveau de la commission de distribution de la carte nationale de presse.
Selon le chef de la Division presse, information au ministère de la Culture et de la Communication, Amadou Kanouté, la commission n’a pas encore de réponse à cela. Parce que ces cas ne sont pas prévus par la loi. Or, «c’est des journalistes qui sont sur le terrain, qui sont appelés à faire des stages, à être sur le terrain pour la pratique professionnelle, parce qu’on ne peut pas avoir que la théorie. Il faut allier théorie et pratique. Or, avec la loi, si on n’a pas la carte nationale de presse, il sera extrêmement difficile d’exercer», a-t-il indiqué.
Toutefois, le représentant du ministère à la commission indique que la réflexion est en cours pour trouver une solution à ce cas particulier, car «on ne peut pas être un bon journaliste si on n’allie pas théorie et pratique. Donc, il faut impérativement trouver une solution».
De ce fait, «nous allons certainement nous tourner au niveau du ministère qui pourrait confectionner des cartes spéciales pour ces étudiants leur permettant de faire correctement leur travail, de disposer d’un laissez-passer, d’une carte spéciale qui leur permettrait de faire leur travail, même si cette carte doit être annuelle, renouvelable chaque année», avec la collaboration des écoles de formation, renseigne-t-il.
Selon le chef de la Division presse, information au ministère de la Culture et de la Communication, Amadou Kanouté, la commission n’a pas encore de réponse à cela. Parce que ces cas ne sont pas prévus par la loi. Or, «c’est des journalistes qui sont sur le terrain, qui sont appelés à faire des stages, à être sur le terrain pour la pratique professionnelle, parce qu’on ne peut pas avoir que la théorie. Il faut allier théorie et pratique. Or, avec la loi, si on n’a pas la carte nationale de presse, il sera extrêmement difficile d’exercer», a-t-il indiqué.
Toutefois, le représentant du ministère à la commission indique que la réflexion est en cours pour trouver une solution à ce cas particulier, car «on ne peut pas être un bon journaliste si on n’allie pas théorie et pratique. Donc, il faut impérativement trouver une solution».
De ce fait, «nous allons certainement nous tourner au niveau du ministère qui pourrait confectionner des cartes spéciales pour ces étudiants leur permettant de faire correctement leur travail, de disposer d’un laissez-passer, d’une carte spéciale qui leur permettrait de faire leur travail, même si cette carte doit être annuelle, renouvelable chaque année», avec la collaboration des écoles de formation, renseigne-t-il.
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Pour les animateurs le certificat d étude
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