Le nombre des députés devrait passer de 165 à 172 après les législatives de juillet prochain. Le Conseil des ministres a adopté mercredi dernier un projet de loi en ce sens. Reste à soumettre le texte à l’Assemblée nationale.
Celle-ci, dominée par la mouvance présidentielle, va probablement l’adopter sans difficultés. D’autant que l’opposition parlementaire ainsi que les non-alignés ont donné leur bénédiction pour cette réforme.
Pour le président du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar (Majorité), Aymérou Gningue, cette augmentation des sièges de l’Assemblée nationale se justifie.
Il invoque deux raisons valables, selon lui : l’érection en département de Keur Massar, qui était jusque-là rattaché à Pikine, et la nécessité de «corriger quelques disparités».
«Du point de vue du principe, le nombre de députés doit évoluer avec la démographie», pose le chef de file de la majorité présidentielle à l’hémicycle. Dès lors, défend-t-il, Keur Massar doit avoir ses représentants au parlement à l’instar des autres départements.
Et à propos des «disparités à corriger», Aymérou Gningue évoque Thiès et Mbour. «Vu leurs démographies, ils doivent avoir chacun trois députés au lieu de deux», plaide-t-il.
Celle-ci, dominée par la mouvance présidentielle, va probablement l’adopter sans difficultés. D’autant que l’opposition parlementaire ainsi que les non-alignés ont donné leur bénédiction pour cette réforme.
Pour le président du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar (Majorité), Aymérou Gningue, cette augmentation des sièges de l’Assemblée nationale se justifie.
Il invoque deux raisons valables, selon lui : l’érection en département de Keur Massar, qui était jusque-là rattaché à Pikine, et la nécessité de «corriger quelques disparités».
«Du point de vue du principe, le nombre de députés doit évoluer avec la démographie», pose le chef de file de la majorité présidentielle à l’hémicycle. Dès lors, défend-t-il, Keur Massar doit avoir ses représentants au parlement à l’instar des autres départements.
Et à propos des «disparités à corriger», Aymérou Gningue évoque Thiès et Mbour. «Vu leurs démographies, ils doivent avoir chacun trois députés au lieu de deux», plaide-t-il.
5 Commentaires
Poseidon
En Avril, 2022 (08:35 AM)Réponse simple: Macky et son BBY sont toujours dans leur logique du Ndouthie Ndiathie. Ils savent que les législatives à venir sont perdus d'avance et veulent s'accrocher à cette nouvelle trouvaille pour acquérir des députés...et espérer une majorité hypothétique à l'assemblée nationale..
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