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Pour Yahya Gueye, manager de projet à Wetland international Afrique Côte occidentale/Golf de Guinée, "Joal est l'une des parties les plus septentrionales du paysage. Elle regorge de beaucoup de potentialités".
Malheureusement, une exploitation abusive a entraîné des difficultés énormes de l'écosystème marin.
En effet, il était difficile pour les acteurs de protéger 174 km² soit 17.400 hectares d'aire marine à surveiller, de Ngazobil à Palmarin.
Le maire de Joal, Boucar Diouf a d'ailleurs reconnu que le problème de la Petite-côte, c'est "une gestion déraisonnable des ressources".
Ainsi, la surveillance de l'aire marine semble opportune pour permettre à la ressource de se régénérer et de se restaurer.
C'est dans ce contexte qu'un projet de protection de l'aire marine est mis en branle grâce à l'Uicn, Wetland et l'Union Européenne en appui à l'Amp de Joal.
Cette commune va ainsi bénéficier d'un système de surveillance participative.
Des drones seront mis à contribution pour mieux surveiller l'aire marine.
Des plaidoyers vont être développés dans les églises, les mosquées, les groupements...
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