"Ce débat sur les perdiems pour les participants au Dialogue national n'aurait dû jamais avoir lieu. Pourtant, cela a été bien le cas. Certains n'ont pas eu la pudeur de dire qu'ils souhaiteraient bel et bien avoir des perdiems, car ils sont dans le besoin et auraient arrêté leurs activités pour les besoins de cette rencontre", lit-on dans Rewmi Quotidien.
Le journal d'ajouter dans sa parution de ce mardi : "Cette situation, qui peut faire sourire, reste symptomatique d'un phénomène beaucoup plus grave : la mercantalisation de toutes les activités sous nos cieux. Ici, et c'est un secret de polichinelle, l'argent pollue tout. Comme quoi, on assiste à un Dialogue, non pas national ou de sourds, mais de sous".
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