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Interrogé par Jeune Afrique, Macky Sall a répondu aux accusations de falsifications des finances publiques. Selon l'ancien président, les déclarations du Premier ministre Ousmane Sonko sont une cabale politique menée contre lui.
« Je m’inscris totalement en faux contre ces allégations de falsifications. C’est un procédé politique. Nous avons toujours travaillé en toute transparence avec l’ensemble des partenaires. Chaque année, la Cour des comptes a certifié les comptes financiers de l’État du Sénégal. C’est trop facile de revenir après et de dire que tout cela était faux. Tout cela est ridicule (...) J’ai été informé du niveau d’endettement en même temps que tout le monde, par la bouche du Premier ministre. À aucun moment, on ne nous a demandé notre version des faits », a déclaré Macky Sall en Afrique du Sud, en marge d'un déplacement pour lancer « La déclaration du Cap », une initiative visant à alléger la dette des pays africains.
Pour l'ancien chef d'Etat, dissimuler certaines transactions est tout simplement impossible grâce à leur traçabilité. « La dette extérieure ne peut être minorée. C’est de la dette multilatérale ou bilatérale. Il est impossible de la dissimuler car les transactions transitent par la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) », soutient Macky Sall.
14 Commentaires
Tout ceci pour vous écarter en vous décourageant,mais vous êtes torodo c'est pourquoi on vous attyabev enthousiasme en 2029
Ils Ont Apprauvi Leurs Pays
il y a 4 heures (19:06 PM)Une machine à détourner 4 milliards de dollars par an
Entre 2011 et 2015, Diezani Alison-Madueke aurait méticuleusement vidé les caisses de l’agence pétrolière nigériane à hauteur de 20 milliards de dollars, représentant une moyenne stupéfiante de 4 milliards subtilisés chaque année. L’échelle de ce détournement défie l’entendement : ces sommes représentent une part significative du budget national du Nigeria, pays où plus de 40% de la population vit sous le seuil de pauvreté.
“Nous sommes face à une véritable ingénierie criminelle d’État,” explique un expert en gouvernance des industries extractives. “Ce n’est pas un détournement improvisé, mais une mécanique parfaitement huilée qui implique nécessairement des complicités à tous les niveaux de l’administration et du système bancaire international.”
Les enquêteurs ont en effet découvert que l’ancienne ministre n’opérait pas seule, mais dirigeait un réseau sophistiqué de complices stratégiquement placés au sein de l’administration pétrolière. “Elle était le capitaine de bord de tous les schémas,” selon une source proche du dossier, révélant une capacité organisationnelle impressionnante qui a permis de maintenir ce système de pillage pendant des années sans éveiller les soupçons des autorités de contrôle.
Cette affaire représente un cas d’école en matière de capture de l’État par une élite kleptocratique. Les montants en jeu sont tellement colossaux qu’ils auraient pu transformer radicalement les infrastructures du pays s’ils avaient été correctement investis dans l’éducation, la santé ou les transports
Un patrimoine pharaonique saisi aux quatre coins du monde
Le train de vie somptuaire de l’ancienne ministre témoigne de l’ampleur vertigineuse du détournement. Pas moins de 80 villas luxueuses ont été saisies au Nigeria, ainsi que des comptes bancaires aux États-Unis et un yacht de grand luxe. Ces possessions extravagantes contrastent cruellement avec la pauvreté endémique qui frappe la majorité de la population nigériane.
“C’est comme si chaque goutte de pétrole extraite du sol nigérian se transformait en diamant sur ses doigts,” commente avec amertume un analyste politique spécialisé dans les industries extractives.
La traque internationale de Diezani Alison-Madueke a finalement abouti à son arrestation alors qu’elle tentait d’échapper à la justice. À 64 ans, celle qui aurait pu profiter d’une retraite dorée se retrouve confrontée à la perspective d’une longue peine d’emprisonnement. Plus inquiétant encore pour ses complices potentiels, une partie substantielle de l’argent détourné reste introuvable, alimentant les spéculations sur l’existence de comptes offshore et de prête-noms qui pourraient être exposés dans les prochains mois.
“L’argent saisi ne représente que la partie visible de l’iceberg,” nous confie sous couvert d’anonymat un agent impliqué dans l’enquête internationale. “Nous pensons que des sommes considérables sont encore cachées dans des paradis fiscaux ou investies dans des actifs difficiles à tracer.”
La chute spectaculaire de cette haute fonctionnaire rappelle que même les plus puissants peuvent finir par rendre des comptes. Cette affaire pourrait marquer un tournant dans la lutte contre la corruption en Afrique de l’Ouest, région où l’impunité des élites politiques a longtemps été considérée comme acquise.
Les conséquences dévastatrices pour l’économie nigériane
Les répercussions de ce détournement massif se font encore sentir aujourd’hui dans l’économie nigériane. Pendant la période où ces 28 milliards de dollars ont été soustraits aux caisses de l’État, le pays a paradoxalement dû s’endetter pour financer ses besoins essentiels, creusant un déficit qui pèsera sur plusieurs générations.
“Pour mettre en perspective, cette somme représente environ 40 fois la fortune de certaines des familles les plus riches d’Afrique, dont la richesse s’est constituée sur plus de quatre décennies d’activités légitimes,” souligne un économiste spécialisé dans les questions de développement.
Ce scandale sans précédent illustre les défis persistants de la gouvernance des ressources naturelles en Afrique. Le Nigeria, malgré ses immenses réserves de pétrole, continue de lutter contre la pauvreté, en grande partie à cause de la captation des richesses par une élite restreinte. Les réformes engagées depuis restent insuffisantes face à l’ampleur du problème.
Les institutions financières internationales ont également leur part de responsabilité. Comment de telles sommes ont-elles pu circuler dans le système bancaire mondial sans déclencher d’alertes ? Cette question fondamentale reste sans réponse satisfaisante, suggérant des complicités ou, au minimum, une négligence coupable de la part de certains établissements financiers occidentaux.
Pour les citoyens ordinaires du Nigeria, ces révélations sont un rappel brutal de l’impact de la corruption sur leur vie quotidienne. Les 28 milliards de dollars détournés auraient pu financer la construction de milliers d’écoles, d’hôpitaux, ou moderniser les infrastructures du pays. Au lieu de cela, cet argent a alimenté le luxe ostentatoire d’une poignée d’individus.
“Quand on regarde les chiffres, on réalise que chaque citoyen nigérian s’est fait voler environ 140 dollars, soit près d’un mois de salaire minimum pour beaucoup,” calcule un sociologue spécialiste des inégalités en Afrique.
Alors que le Nigeria tente de tourner cette page sombre de son histoire, la question demeure : combien d’autres Diezani Alison-Madueke opèrent encore dans l’ombre, dans ce pays et ailleurs ? La réponse à cette question déterminera en grande partie l’avenir économique de nombreuses nations africaines riches en ressources naturelles.
Par Jean-Paul Dzomo Nana .
Reply_author
il y a 4 heures (19:59 PM)Rapp
il y a 9 heures (14:46 PM)No More
il y a 9 heures (14:49 PM)Prési
il y a 8 heures (15:17 PM)Qu'Allah vous assiste dans vos missions. amin
Tout ceci est une cabale politique de fascistes incompétents en vue justifier un échec annoncé.
Cette situation dans laquelle le pays patauge ne doit étonner personne.
La GÉNÉRALISATION SPONTANÉE n'existe nulle part.
Lo nékoul talibem meno nek serignam.
On ne peut pas passer de simple djouti dans un sombre bureau sans secrétaire à sa disposition
et se retrouver comme par miracle brillants Président et PM du Sénégal.
Nos deux PIEDS- NICKELÉS ont peu de chance de faire mieux que vous Président Macky.
Plus besoin de sortir desVARS pour confondre Demi- dieu.
La réalité du pouvoir est en train de le rattraper et c'est le meilleur des juges.
A peine un an à la tête de l'état voilà que l' incapacité du PM à tenir sa langue nous plonge déjà
au sixième sous- sol..
Comment quelqu'un qui proclame homme d'état peut-être il détruire l'image de son pays
à l'international pour le plaisir de diaboliser son prédécesseur ?
Président Sall,vous êtes aujourd'hui éloigné du théâtre des opérations mais nous pouvons vous
affirmez que les Pastefiens rasent les murs en ce moment.
Eux qui disaient DEUK BI DA FA MACKY cherchent la queue du diable.
Aussi gueulent- ils moins fort,les pauvres.
Leur quotidien est devenue subitement beaucoup, beaucoup plus difficile et
l'avenir s'annonce des plus sombres .
Les conversations tournent en ce moment autour des licenciements massifs,
de possibles augmentations des impôts et de leur extension à tous les gorgorlous,
la diminution des salaires,la suppression des subventions ,les départs négociés et
autres nouvelles calamités.
Faut-il il en rire ou en pleurer ?
Comment des gens qui ont conquis le pouvoir par le feu ,le sang et les larmes peuve- ils
nous conduire dans un tel cul- de- sac ?
Comment pourront-ils ils regarder tous ces jeunes qu'ils ont jeté dans la rue pour piller,
incendier, brûler des fillettes dans un bus?
Non, SEUL DIEU EST DIEU!
Il est seul aux commandes.
Mou sell mi est un simple mortel.
Il pouvait certes dire brûlez, saccagez et se faire obéir mais ne peut se substituer à Dieu.
NA AME MOU AME , YALLAH REK MO KO YELLO.
Le Sénégal a besoin de vous
Ringo
il y a 8 heures (15:33 PM)Le Sénégal ratifiera bientôt sa convention avec le Maroc en matière de transfèrement de condamné.
Par la force tu vas revenir. Tout est fin près.
Bilahi qui règne par le drame périra par la calamité.
Alpha Bocar
il y a 8 heures (15:37 PM)Ce tyran a toujours épousé la filouterie , le mensonge et la dissimulation comme stratégie de gouvernance. C'est très facile de nier, mais il sait pertinemment qu'il a laissé un pays à genoux . Sous Macky , le Sénégal était un bassin de prévarication, une république Banania avec à sa tête un satrape qui symbolisait l'absolutisme prédateur d'un chef Nègre du moyen âge. Le Sénégal a eu beaucoup de chance d'avoir mis en déroute ce grand prédateur des temps modernes . Ensuite il est de très mauvaise foi, jusqu'à nier l'évidence. C'est vraiment lamentable !
Ce tyran a toujours épousé la filouterie , le mensonge et la dissimulation comme stratégie de gouvernance. C'est très facile de nier, mais il sait pertinemment qu'il a laissé un pays à genoux . Sous Macky , le Sénégal était un bassin de prévarication, une république Banania avec à sa tête un satrape qui symbolisait l'absolutisme prédateur d'un chef Nègre du moyen âge. Le Sénégal a eu beaucoup de chance d'avoir mis en déroute ce grand prédateur des temps modernes . Ensuite il est de très mauvaise foi, jusqu'à nier l'évidence. C'est vraiment lamentable !
Babs
il y a 8 heures (15:40 PM)Reply_author
il y a 7 heures (16:14 PM)Déçu De Pastef
il y a 7 heures (16:41 PM)So amé ngour thi fitna, boul yakar ngourou thi diamme .
Demi-dieu thi kheut-kheut laye dekeu !
Malheureusement pour les Sénégalais !
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