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Le dossier de candidature du leader de l'ex parti Pastef, Ousmane Sonko, sera examiné le 5 janvier prochain et pour cause, son mandataire était absent le premier jour de vérification alors que le candidat occupait la quatrième place après le tirage au sort. En attendant, 29 partis ont investi M. Sonko ce dimanche 31 décembre et ont adressé un message au Conseil Constitutionnel.
Moustapha Guirassy un des leaders politiques ayant investi Ousmane Sonko comme candidat à la prochaine présidentielle considère que la stabilité du pays dépend aujourd'hui des sept sages: "Le Conseil Constitutionnel a le redoutable devoir, la redoutable charge de rééquilibrer les pouvoirs. Le Conseil Constitutionnel a la redoutable mission de ramener la paix dans ce pays. Le Conseil Constitutionnel a la redoutable mission de redorer le blason de la justice. Je disais tout à l'heure la confiance historique est importante. Il y a des juges qui ne sont plus. Il y a des présidents qui ne sont plus. Il y a beaucoup d'êtres humains qui ne sont plus de ce monde. Mais l'acquis conscience historique, c'est poser des actes qui pénètrent le futur, c'est poser des actes qui sont durables, qui sont éternels, qui transforment, qui rendent heureux même après votre vie. Le Conseil Constitutionnel a ce redoutable devoir. Il n'a pas le droit de mettre une vérité exclusive fut-elle celle d'un président en exercice au dessus de la vérité de tout un peuple."
Précisant que son intention est loin de "menacer" l'institution, Moustapha Guirassy estime que "le Conseil Constitutionnel ne peut pas fouler du pied les décisions de justice qui ont rétabli le droit et dans un contexte extrêmement difficile". De manière plus explicite, Birame Souley Diop demande au Conseil Constitutionnel de "dire la justice".
Allant plus loin, Moustapha Guirassy estime "qu'une joute électorale sans le président Ousmane Sonko rendrait illégitime et pour cinq ans encore tout président qui serait installé".
Ces 29 mouvements et partis politiques ayant investi Ousmane Sonko ont, en outre, appelé les Sénégalais à aller chercher leur carte d'électeur afin faire de Ousmane Sonko le prochain président du Sénégal.
29 Commentaires
Reply_author
En Décembre, 2023 (20:52 PM)est ce que ce n'est pas ton pere qui passe son temps a tromper ta mere ?
Reply_author
En Décembre, 2023 (20:52 PM)Ceci est ma carte d'électeur,
Il y en a beaucoup comme elle,
mais celle-ci est la mienne.
Sonko jusqu'au bout !
Hadès
En Décembre, 2023 (20:53 PM)Reply_author
En Décembre, 2023 (21:05 PM)Reply_author
En Décembre, 2023 (22:23 PM)Reply_author
En Décembre, 2023 (22:24 PM)Reply_author
En Janvier, 2024 (01:59 AM)Reply_author
En Janvier, 2024 (04:01 AM)Reply_author
En Janvier, 2024 (09:26 AM)Reply_authorsolo
En Janvier, 2024 (13:30 PM)Reply_author
En Janvier, 2024 (20:06 PM)Très « cher »Ousmane .
Au seuil de cette nouvelle année, je voudrais vous rappeler combien vous avez coûté à la nation et donc aux citoyens sénégalais depuis 2021.
En effet ,l’analyse objective d’une situation impose une démarche scientifique qui ,à son tour impose une honnêteté intellectuelle pour conduire la recherche de l’origine de cette même situation.
comment parler des « événements » malheureux de ces dernières années sans penser à son acte 1 ,à savoir vos visites nocturnes , qui un soir de couvre-feu a conduit à l’éclatement de « l’affaire Adji Sarr »?
Si c’était une épidémie, la jeune masseuse corrompue, serait « le patient zéro ».
La théorie du complot politique n’a été élaborée que bien plus tard afin de sauver le soldat sonko , ou « le projet » , pour ceux qui, dans l’ex-Pastef, ont certes vomi leur leader mais s’accrochent toujours à leur projet de renverser « le système » et devenir calife à la place du calife . Ces nouveaux Iznogoods sont très dangereux pour notre belle république démocratique. Ils ont mis le pays sans dessus-dessous avec leur discours va-t-en guerre ,sur une population déjà impactée et fragilisée par la conjoncture internationale désastreuse. En effet, la jeunesse sénégalaise, dynamitée par le chômage, les échecs et leurs difficultés au quotidien, n’attendaient qu’une allumette pour exploser.
Dans l’une de vos déclarations, vous nous avez dit clairement avoir « trouvée l’allumette qui permettait « d’allumer » le pays ». La suite est connue du monde entier:
les pertes en vies humaines par dizaines ,
des handicapés qui porteront les stigmates à vie ,
des dégâts matériels par milliards , avec la destruction de biens publics et privés, vandalisés et cambriolés ,
des familles et des destins brisés ,
enquêtes, instructions ,procès et recours frisant parfois l’abus de droit ,qui coûtent cher aux contribuables . En effet, mobiliser des centaines de magistrats depuis des années, des FDS par dizaines de milliers ,
bloquer l’économie du pays par des manifestations-prétextes pour déstabiliser le pays comme l’attentat de Yarakh,
décourager les investisseurs potentiels, mais également et surtout détruire la réputation de notre pays à l’international.
Tous ces événements nous ont coûté et nous coûtent encore aujourd’hui très cher , Ousmane.
Et ce n’est pas encore terminé!
Car il faudrait que ces centaines de délinquants ( dont vous faites partie selon le jugement dans l’affaire de la masseuse ) ,emprisonnés pour leurs forfaits, que vous appelez avec beaucoup de culot et de mauvaise foi ,«prisonniers politiques » soient jugés et définitivement condamnés ou non d’ailleurs..
Donc vous continuerez à nous coûter cher en 2024.
le Sénégal en gardera de profondes séquelles mais restera , à votre corps défendant, un État de de droit DEBOUT .
En définitive , si j’ai des vœux à formuler en ce début d’année, ce sera pour le Senegal et sa brave population paisible : Celle qui travaille !
Que Dieu préserve les rêves de stabilité et d’émergence de notre grande démocratie et lui confère la force de les réaliser.
Un passant qui passe
Un Passant Reply_author
En Janvier, 2024 (20:09 PM)Très « cher »Ousmane .
Au seuil de cette nouvelle année, je voudrais vous rappeler combien vous avez coûté à la nation et donc aux citoyens sénégalais depuis 2021.
En effet ,l’analyse objective d’une situation impose une démarche scientifique qui ,à son tour impose une honnêteté intellectuelle pour conduire la recherche de l’origine de cette même situation.
comment parler des « événements » malheureux de ces dernières années sans penser à son acte 1 ,à savoir vos visites nocturnes , qui un soir de couvre-feu a conduit à l’éclatement de « l’affaire Adji Sarr »?
Si c’était une épidémie, la jeune masseuse corrompue, serait « le patient zéro ».
La théorie du complot politique n’a été élaborée que bien plus tard afin de sauver le soldat sonko , ou « le projet » , pour ceux qui, dans l’ex-Pastef, ont certes vomi leur leader mais s’accrochent toujours à leur projet de renverser « le système » et devenir calife à la place du calife . Ces nouveaux Iznogoods sont très dangereux pour notre belle république démocratique. Ils ont mis le pays sans dessus-dessous avec leur discours va-t-en guerre ,sur une population déjà impactée et fragilisée par la conjoncture internationale désastreuse. En effet, la jeunesse sénégalaise, dynamitée par le chômage, les échecs et leurs difficultés au quotidien, n’attendaient qu’une allumette pour exploser.
Dans l’une de vos déclarations, vous nous avez dit clairement avoir « trouvée l’allumette qui permettait « d’allumer » le pays ». La suite est connue du monde entier:
les pertes en vies humaines par dizaines ,
des handicapés qui porteront les stigmates à vie ,
des dégâts matériels par milliards , avec la destruction de biens publics et privés, vandalisés et cambriolés ,
des familles et des destins brisés ,
enquêtes, instructions ,procès et recours frisant parfois l’abus de droit ,qui coûtent cher aux contribuables . En effet, mobiliser des centaines de magistrats depuis des années, des FDS par dizaines de milliers ,
bloquer l’économie du pays par des manifestations-prétextes pour déstabiliser le pays comme l’attentat de Yarakh,
décourager les investisseurs potentiels, mais également et surtout détruire la réputation de notre pays à l’international.
Tous ces événements nous ont coûté et nous coûtent encore aujourd’hui très cher , Ousmane.
Et ce n’est pas encore terminé!
Car il faudrait que ces centaines de délinquants ( dont vous faites partie selon le jugement dans l’affaire de la masseuse ) ,emprisonnés pour leurs forfaits, que vous appelez avec beaucoup de culot et de mauvaise foi ,«prisonniers politiques » soient jugés et définitivement condamnés ou non d’ailleurs..
Donc vous continuerez à nous coûter cher en 2024.
le Sénégal en gardera de profondes séquelles mais restera , à votre corps défendant, un État de de droit DEBOUT .
En définitive , si j’ai des vœux à formuler en ce début d’année, ce sera pour le Senegal et sa brave population paisible : Celle qui travaille !
Que Dieu préserve les rêves de stabilité et d’émergence de notre grande démocratie et lui confère la force de les réaliser.
Un passant qui passe
Melakh
En Décembre, 2023 (20:44 PM)Reply_author
En Décembre, 2023 (22:24 PM)Fara
En Décembre, 2023 (20:47 PM)Reply_author
En Décembre, 2023 (22:24 PM)Demos
En Décembre, 2023 (20:50 PM)Reply_author
En Décembre, 2023 (21:09 PM)Reply_author
En Décembre, 2023 (23:49 PM)Dakarois
En Décembre, 2023 (20:54 PM)Reply_author
En Décembre, 2023 (21:12 PM)Moom
En Décembre, 2023 (21:15 PM)Reply_author
En Décembre, 2023 (21:25 PM)Reply_author
En Décembre, 2023 (21:30 PM)Reply_author
En Décembre, 2023 (21:30 PM)Étudiant
En Décembre, 2023 (21:28 PM)Combien de députés ont-ils à l'Assemblée nationale ?
Joe
En Décembre, 2023 (22:02 PM)un homme qui fréquente les salons de massage
honnêtement ne mérite pas d'être président
Et Le Pse On En Parle
En Décembre, 2023 (22:50 PM)Paul
En Décembre, 2023 (23:45 PM)Zeundo
En Janvier, 2024 (00:28 AM)Bababé
En Janvier, 2024 (03:05 AM)Ababacar Sadikh Niang Subst
En Janvier, 2024 (09:16 AM)Je lui présente mes voeux les meilleurs, à tous les sénégalais et à toutres les sénégalaises.
Je lui retourne le respect qu'il dit avoir pour les magistrats du pays.
En résumé il soutient l'admissibilité de la candidature à la candidature du Président Ousmane SONKO autrement dit son éligibilité.
Il n'est pas superfaitatoire de rappeler que l'intervenant est un spécialiste et non un généraliste comme les magistrats. Donc il a peut bénéficier de l'excuse de provocation.
Cette affaire concernant l'(éligibilité ou non de monsieur Ousmane SONKO fait couler beaucoup de salives.
Au-delà des dossiers que le Professeur a bien voulu évoquer. Toutes ces décisions ne sont pas définitives et concernant la procédure pénale contrairement au dossier relatif à la réinscription de monsieur SONKO.
En procédure pénale il ya un principe fondamental. Il s agit du principe:'' Le criminel tient le civil en état autreme t dit toutes les autres procédures doivent être suspendues en attendant la décisionb définitive du juge pénal..
En droit pénal comme en droit civil, la décision irrévocable est tenue pour l expression de la vérité par l'effet d'une présomption irréfragable: RES JUDICATA PRO VERITATE HABETUR. On dit qu'elle a acquis l'autorité de la chose jugée
Il ya deux applications à ce principe;
La première est interne au contentieux répressif
La seconde est externe au contentieux répressif et elle se présente sous deux aspects.
En premier lieu , on peut considérer les rapports entre le contentieux répressif et le contentieux administratif. Le principe est que la décision pénale s'impose au juge administratif ety à l'administration;
mais seulement en ce qui concerne les constatations de fait matérielles et les déclarations de culpabilité ? C'est le premier aspect positif de la chose jugée au pénal.
En second lieu , on peut étudier les rapports entre le contentieux répressif et le contentieux civil?
Pour le moment on ne l'examine pas. Cest le second aspect de la chose jugée au pénal; matérialisée par le principe de l'autorité de la chose jugée au pénal, matérialisée par le principe de l'autorité de la chose jugée au criminel sur le civil.
Sources JEAN PRADEL, procédure pénale, 16 èmed édition , numéro 1022 et suivants.
A suivre
Ababacar Sadikh Niang Subst
En Janvier, 2024 (09:16 AM)Je lui présente mes voeux les meilleurs, à tous les sénégalais et à toutres les sénégalaises.
Je lui retourne le respect qu'il dit avoir pour les magistrats du pays.
En résumé il soutient l'admissibilité de la candidature à la candidature du Président Ousmane SONKO autrement dit son éligibilité.
Il n'est pas superfaitatoire de rappeler que l'intervenant est un spécialiste et non un généraliste comme les magistrats. Donc il a peut bénéficier de l'excuse de provocation.
Cette affaire concernant l'(éligibilité ou non de monsieur Ousmane SONKO fait couler beaucoup de salives.
Au-delà des dossiers que le Professeur a bien voulu évoquer. Toutes ces décisions ne sont pas définitives et concernant la procédure pénale contrairement au dossier relatif à la réinscription de monsieur SONKO.
En procédure pénale il ya un principe fondamental. Il s agit du principe:'' Le criminel tient le civil en état autreme t dit toutes les autres procédures doivent être suspendues en attendant la décisionb définitive du juge pénal..
En droit pénal comme en droit civil, la décision irrévocable est tenue pour l expression de la vérité par l'effet d'une présomption irréfragable: RES JUDICATA PRO VERITATE HABETUR. On dit qu'elle a acquis l'autorité de la chose jugée
Il ya deux applications à ce principe;
La première est interne au contentieux répressif
La seconde est externe au contentieux répressif et elle se présente sous deux aspects.
En premier lieu , on peut considérer les rapports entre le contentieux répressif et le contentieux administratif. Le principe est que la décision pénale s'impose au juge administratif ety à l'administration;
mais seulement en ce qui concerne les constatations de fait matérielles et les déclarations de culpabilité ? C'est le premier aspect positif de la chose jugée au pénal.
En second lieu , on peut étudier les rapports entre le contentieux répressif et le contentieux civil?
Pour le moment on ne l'examine pas. Cest le second aspect de la chose jugée au pénal; matérialisée par le principe de l'autorité de la chose jugée au pénal, matérialisée par le principe de l'autorité de la chose jugée au criminel sur le civil.
Sources JEAN PRADEL, procédure pénale, 16 èmed édition , numéro 1022 et suivants.
A suivre
Reply_author
En Janvier, 2024 (09:26 AM)On est en 2024 et tout le monde sait que Sonko es
OUT.
Je dis bien OUT!!!
Reply_author
En Janvier, 2024 (09:32 AM)Il aurait dû faire grâce matinée pour bien récupérer.
Ladiou
En Janvier, 2024 (10:03 AM)Participer à la Discussion