Le Parti démocratique sénégalais (Pds) compte faire les choses en grand. En effet, à l'occasion du retour de Me Abdoulaye Wade à Dakar, les responsables dudit parti ont tracé tout l'itinéraire par lequel le "Pape du Sopi" va passer, avant d'arriver à la permanence Oumar Lamine Badji.
Après l'accueil à l'aéroport international Blaise Diagne, le cortège empruntera l'autoroute avant de sortir vers Sébikotane. Il fera deux premiers arrêts à Diamniadio et à Bargny. A Rufisque, il empruntera l'avenue Maurice Guèye pour aller vers la gare routière avant de faire cap sur Pikine où un rassemblement est prévu à Bountou Pikine et à la station Edk située non loin du Technopole.
Puis, le cortège de Me Wade ira aux Parcelles-Assainies, à Grand-Yoff, au rond-point Liberté 6, à Mermoz, avant de s'arrêter à la permanence Oumar Lamine Badji où toutes les sections du département de Dakar, les organismes internes, les mouvements de soutien, les partis alliés se sont donné rendez-vous.
22 Commentaires
Anonyme
En Février, 2019 (16:13 PM)Rassurer vous chers internautes , WADE va œuvrer inlassablement pour le départ du Satrape
Même si par extraordinaire , il venait de proclamer la neutralité du PDS , les militants ne vont pas suivre
Ils ont en mémoire toutes les ignominies subies sous le magistère de Sai-sai .
Anonyme
En Février, 2019 (16:15 PM)Anonyme
En Février, 2019 (16:15 PM)les choses deviennent de plus en plus sérieuses dans cette campagne électorale. Nous avons finalement entendu un discours concret de la part d’un des candidats. Il s’agit du discours d’Ousmane Sonko, un discours économique digne de ce nom. Après avoir acquis le vote des jeunes, il est allé à la conquête du vote des plus âgés en tenant un discours très présidentiable. Il a su clairement expliquer sa vision économique pour le développement du Sénégal. Nous allons en revanche sermonner le candidat Macky Sall.
La vision économique de Sonko
Enfin un candidat qui ait compris que pour développer le Sénégal, il faut « oublier » Dakar pour développer les régions pour que le Sénégal puisse aller de l’avant. Il a choisi Kaolack pour commencer le développement du Sénégal, j’aurai dit Diourbel, mais l’essentiel est que cela commence du centre du Sénégal pour mieux se répandre à travers le pays. Il a proposé une zone franche à Kaolack et c’est une excellente idée et ce serait mieux encore pour les grands pôles de développement régionaux. Pour les lecteurs qui ne s’y connaissent pas trop en économie, une zone franche est une zone dans une zone géographique qui offre des avantages fiscaux comme les exonérations fiscales, de TVA, de droits de douane afin d’attirer les investisseurs. Dans le cas du Sénégal, pour que le programme du candit Sonko puisse voir le jour, il faut développer le secteur primaire d’abord de manière sérieuse et cela créera naturellement un effet d’entraînement sur les autres secteurs. La raison pour laquelle nous avons besoin d’un président avec cette vision économique est le fait que le Sénégal ait du pétrole. Une fois que la production du pétrole commencera, nous risquons de délaisser les autres secteurs au profit du pétrole. C’est ce qu’on appelle le syndrome hollandais, ou encore malédiction du pétrole. Avec la découverte du gisement de Gringue, les Pays-Bas avaient délaissé les autres secteurs au profit du gaz. Pour que le Sénégal évite ce scénario, il est impératif de développer notre secteur primaire pour la transformation de ces matières premières. Durant le temps que cela prendra, nous pouvons utiliser la rente pétrolière pour les infrastructures dans les régions dans le but d’accueillir les industries. Il sera impératif de doter de chaque département ou de chaque région d’un aéroport, ainsi que des écoles spécialisées. L’exode urbain prendra place et le développement suivra de manière naturelle sans avoir à nous couper du monde en nationalisant les contrats ou en les renégociant. Le Sénégal, est très mal parti et nous sommes dans l’obligation de négocier avec le paternalisme colonial jusqu’à ce que nous ne soyons plus dépendant de l’aide au développement. Cela nous évitera l’embargo économique, militaire, et surtout l’isolement. Sachons choisir nos batailles de manière intelligente comme le disent les anglophones.
Cheikh Yerim seck, dakaractu
Anonyme
En Février, 2019 (16:15 PM)les choses deviennent de plus en plus sérieuses dans cette campagne électorale. Nous avons finalement entendu un discours concret de la part d’un des candidats. Il s’agit du discours d’Ousmane Sonko, un discours économique digne de ce nom. Après avoir acquis le vote des jeunes, il est allé à la conquête du vote des plus âgés en tenant un discours très présidentiable. Il a su clairement expliquer sa vision économique pour le développement du Sénégal. Nous allons en revanche sermonner le candidat Macky Sall.
La vision économique de Sonko
Enfin un candidat qui ait compris que pour développer le Sénégal, il faut « oublier » Dakar pour développer les régions pour que le Sénégal puisse aller de l’avant. Il a choisi Kaolack pour commencer le développement du Sénégal, j’aurai dit Diourbel, mais l’essentiel est que cela commence du centre du Sénégal pour mieux se répandre à travers le pays. Il a proposé une zone franche à Kaolack et c’est une excellente idée et ce serait mieux encore pour les grands pôles de développement régionaux. Pour les lecteurs qui ne s’y connaissent pas trop en économie, une zone franche est une zone dans une zone géographique qui offre des avantages fiscaux comme les exonérations fiscales, de TVA, de droits de douane afin d’attirer les investisseurs. Dans le cas du Sénégal, pour que le programme du candit Sonko puisse voir le jour, il faut développer le secteur primaire d’abord de manière sérieuse et cela créera naturellement un effet d’entraînement sur les autres secteurs. La raison pour laquelle nous avons besoin d’un président avec cette vision économique est le fait que le Sénégal ait du pétrole. Une fois que la production du pétrole commencera, nous risquons de délaisser les autres secteurs au profit du pétrole. C’est ce qu’on appelle le syndrome hollandais, ou encore malédiction du pétrole. Avec la découverte du gisement de Gringue, les Pays-Bas avaient délaissé les autres secteurs au profit du gaz. Pour que le Sénégal évite ce scénario, il est impératif de développer notre secteur primaire pour la transformation de ces matières premières. Durant le temps que cela prendra, nous pouvons utiliser la rente pétrolière pour les infrastructures dans les régions dans le but d’accueillir les industries. Il sera impératif de doter de chaque département ou de chaque région d’un aéroport, ainsi que des écoles spécialisées. L’exode urbain prendra place et le développement suivra de manière naturelle sans avoir à nous couper du monde en nationalisant les contrats ou en les renégociant. Le Sénégal, est très mal parti et nous sommes dans l’obligation de négocier avec le paternalisme colonial jusqu’à ce que nous ne soyons plus dépendant de l’aide au développement. Cela nous évitera l’embargo économique, militaire, et surtout l’isolement. Sachons choisir nos batailles de manière intelligente comme le disent les anglophones.
Cheikh Yerim seck, dakaractu
Anonyme
En Février, 2019 (16:15 PM)les choses deviennent de plus en plus sérieuses dans cette campagne électorale. Nous avons finalement entendu un discours concret de la part d’un des candidats. Il s’agit du discours d’Ousmane Sonko, un discours économique digne de ce nom. Après avoir acquis le vote des jeunes, il est allé à la conquête du vote des plus âgés en tenant un discours très présidentiable. Il a su clairement expliquer sa vision économique pour le développement du Sénégal. Nous allons en revanche sermonner le candidat Macky Sall.
La vision économique de Sonko
Enfin un candidat qui ait compris que pour développer le Sénégal, il faut « oublier » Dakar pour développer les régions pour que le Sénégal puisse aller de l’avant. Il a choisi Kaolack pour commencer le développement du Sénégal, j’aurai dit Diourbel, mais l’essentiel est que cela commence du centre du Sénégal pour mieux se répandre à travers le pays. Il a proposé une zone franche à Kaolack et c’est une excellente idée et ce serait mieux encore pour les grands pôles de développement régionaux. Pour les lecteurs qui ne s’y connaissent pas trop en économie, une zone franche est une zone dans une zone géographique qui offre des avantages fiscaux comme les exonérations fiscales, de TVA, de droits de douane afin d’attirer les investisseurs. Dans le cas du Sénégal, pour que le programme du candit Sonko puisse voir le jour, il faut développer le secteur primaire d’abord de manière sérieuse et cela créera naturellement un effet d’entraînement sur les autres secteurs. La raison pour laquelle nous avons besoin d’un président avec cette vision économique est le fait que le Sénégal ait du pétrole. Une fois que la production du pétrole commencera, nous risquons de délaisser les autres secteurs au profit du pétrole. C’est ce qu’on appelle le syndrome hollandais, ou encore malédiction du pétrole. Avec la découverte du gisement de Gringue, les Pays-Bas avaient délaissé les autres secteurs au profit du gaz. Pour que le Sénégal évite ce scénario, il est impératif de développer notre secteur primaire pour la transformation de ces matières premières. Durant le temps que cela prendra, nous pouvons utiliser la rente pétrolière pour les infrastructures dans les régions dans le but d’accueillir les industries. Il sera impératif de doter de chaque département ou de chaque région d’un aéroport, ainsi que des écoles spécialisées. L’exode urbain prendra place et le développement suivra de manière naturelle sans avoir à nous couper du monde en nationalisant les contrats ou en les renégociant. Le Sénégal, est très mal parti et nous sommes dans l’obligation de négocier avec le paternalisme colonial jusqu’à ce que nous ne soyons plus dépendant de l’aide au développement. Cela nous évitera l’embargo économique, militaire, et surtout l’isolement. Sachons choisir nos batailles de manière intelligente comme le disent les anglophones.
Cheikh Yerim seck, dakaractu
Anonyme
En Février, 2019 (16:15 PM)Anonyme
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En Février, 2019 (16:15 PM)Anonyme
En Février, 2019 (16:15 PM)Anonyme
En Février, 2019 (16:15 PM)les choses deviennent de plus en plus sérieuses dans cette campagne électorale. Nous avons finalement entendu un discours concret de la part d’un des candidats. Il s’agit du discours d’Ousmane Sonko, un discours économique digne de ce nom. Après avoir acquis le vote des jeunes, il est allé à la conquête du vote des plus âgés en tenant un discours très présidentiable. Il a su clairement expliquer sa vision économique pour le développement du Sénégal. Nous allons en revanche sermonner le candidat Macky Sall.
La vision économique de Sonko
Enfin un candidat qui ait compris que pour développer le Sénégal, il faut « oublier » Dakar pour développer les régions pour que le Sénégal puisse aller de l’avant. Il a choisi Kaolack pour commencer le développement du Sénégal, j’aurai dit Diourbel, mais l’essentiel est que cela commence du centre du Sénégal pour mieux se répandre à travers le pays. Il a proposé une zone franche à Kaolack et c’est une excellente idée et ce serait mieux encore pour les grands pôles de développement régionaux. Pour les lecteurs qui ne s’y connaissent pas trop en économie, une zone franche est une zone dans une zone géographique qui offre des avantages fiscaux comme les exonérations fiscales, de TVA, de droits de douane afin d’attirer les investisseurs. Dans le cas du Sénégal, pour que le programme du candit Sonko puisse voir le jour, il faut développer le secteur primaire d’abord de manière sérieuse et cela créera naturellement un effet d’entraînement sur les autres secteurs. La raison pour laquelle nous avons besoin d’un président avec cette vision économique est le fait que le Sénégal ait du pétrole. Une fois que la production du pétrole commencera, nous risquons de délaisser les autres secteurs au profit du pétrole. C’est ce qu’on appelle le syndrome hollandais, ou encore malédiction du pétrole. Avec la découverte du gisement de Gringue, les Pays-Bas avaient délaissé les autres secteurs au profit du gaz. Pour que le Sénégal évite ce scénario, il est impératif de développer notre secteur primaire pour la transformation de ces matières premières. Durant le temps que cela prendra, nous pouvons utiliser la rente pétrolière pour les infrastructures dans les régions dans le but d’accueillir les industries. Il sera impératif de doter de chaque département ou de chaque région d’un aéroport, ainsi que des écoles spécialisées. L’exode urbain prendra place et le développement suivra de manière naturelle sans avoir à nous couper du monde en nationalisant les contrats ou en les renégociant. Le Sénégal, est très mal parti et nous sommes dans l’obligation de négocier avec le paternalisme colonial jusqu’à ce que nous ne soyons plus dépendant de l’aide au développement. Cela nous évitera l’embargo économique, militaire, et surtout l’isolement. Sachons choisir nos batailles de manière intelligente comme le disent les anglophones.
Cheikh Yerim seck, dakaractu
Anonyme
En Février, 2019 (16:16 PM)les choses deviennent de plus en plus sérieuses dans cette campagne électorale. Nous avons finalement entendu un discours concret de la part d’un des candidats. Il s’agit du discours d’Ousmane Sonko, un discours économique digne de ce nom. Après avoir acquis le vote des jeunes, il est allé à la conquête du vote des plus âgés en tenant un discours très présidentiable. Il a su clairement expliquer sa vision économique pour le développement du Sénégal. Nous allons en revanche sermonner le candidat Macky Sall.
La vision économique de Sonko
Enfin un candidat qui ait compris que pour développer le Sénégal, il faut « oublier » Dakar pour développer les régions pour que le Sénégal puisse aller de l’avant. Il a choisi Kaolack pour commencer le développement du Sénégal, j’aurai dit Diourbel, mais l’essentiel est que cela commence du centre du Sénégal pour mieux se répandre à travers le pays. Il a proposé une zone franche à Kaolack et c’est une excellente idée et ce serait mieux encore pour les grands pôles de développement régionaux. Pour les lecteurs qui ne s’y connaissent pas trop en économie, une zone franche est une zone dans une zone géographique qui offre des avantages fiscaux comme les exonérations fiscales, de TVA, de droits de douane afin d’attirer les investisseurs. Dans le cas du Sénégal, pour que le programme du candit Sonko puisse voir le jour, il faut développer le secteur primaire d’abord de manière sérieuse et cela créera naturellement un effet d’entraînement sur les autres secteurs. La raison pour laquelle nous avons besoin d’un président avec cette vision économique est le fait que le Sénégal ait du pétrole. Une fois que la production du pétrole commencera, nous risquons de délaisser les autres secteurs au profit du pétrole. C’est ce qu’on appelle le syndrome hollandais, ou encore malédiction du pétrole. Avec la découverte du gisement de Gringue, les Pays-Bas avaient délaissé les autres secteurs au profit du gaz. Pour que le Sénégal évite ce scénario, il est impératif de développer notre secteur primaire pour la transformation de ces matières premières. Durant le temps que cela prendra, nous pouvons utiliser la rente pétrolière pour les infrastructures dans les régions dans le but d’accueillir les industries. Il sera impératif de doter de chaque département ou de chaque région d’un aéroport, ainsi que des écoles spécialisées. L’exode urbain prendra place et le développement suivra de manière naturelle sans avoir à nous couper du monde en nationalisant les contrats ou en les renégociant. Le Sénégal, est très mal parti et nous sommes dans l’obligation de négocier avec le paternalisme colonial jusqu’à ce que nous ne soyons plus dépendant de l’aide au développement. Cela nous évitera l’embargo économique, militaire, et surtout l’isolement. Sachons choisir nos batailles de manière intelligente comme le disent les anglophones.
Cheikh Yerim seck, dakaractu
Anonyme
En Février, 2019 (16:16 PM)les choses deviennent de plus en plus sérieuses dans cette campagne électorale. Nous avons finalement entendu un discours concret de la part d’un des candidats. Il s’agit du discours d’Ousmane Sonko, un discours économique digne de ce nom. Après avoir acquis le vote des jeunes, il est allé à la conquête du vote des plus âgés en tenant un discours très présidentiable. Il a su clairement expliquer sa vision économique pour le développement du Sénégal. Nous allons en revanche sermonner le candidat Macky Sall.
La vision économique de Sonko
Enfin un candidat qui ait compris que pour développer le Sénégal, il faut « oublier » Dakar pour développer les régions pour que le Sénégal puisse aller de l’avant. Il a choisi Kaolack pour commencer le développement du Sénégal, j’aurai dit Diourbel, mais l’essentiel est que cela commence du centre du Sénégal pour mieux se répandre à travers le pays. Il a proposé une zone franche à Kaolack et c’est une excellente idée et ce serait mieux encore pour les grands pôles de développement régionaux. Pour les lecteurs qui ne s’y connaissent pas trop en économie, une zone franche est une zone dans une zone géographique qui offre des avantages fiscaux comme les exonérations fiscales, de TVA, de droits de douane afin d’attirer les investisseurs. Dans le cas du Sénégal, pour que le programme du candit Sonko puisse voir le jour, il faut développer le secteur primaire d’abord de manière sérieuse et cela créera naturellement un effet d’entraînement sur les autres secteurs. La raison pour laquelle nous avons besoin d’un président avec cette vision économique est le fait que le Sénégal ait du pétrole. Une fois que la production du pétrole commencera, nous risquons de délaisser les autres secteurs au profit du pétrole. C’est ce qu’on appelle le syndrome hollandais, ou encore malédiction du pétrole. Avec la découverte du gisement de Gringue, les Pays-Bas avaient délaissé les autres secteurs au profit du gaz. Pour que le Sénégal évite ce scénario, il est impératif de développer notre secteur primaire pour la transformation de ces matières premières. Durant le temps que cela prendra, nous pouvons utiliser la rente pétrolière pour les infrastructures dans les régions dans le but d’accueillir les industries. Il sera impératif de doter de chaque département ou de chaque région d’un aéroport, ainsi que des écoles spécialisées. L’exode urbain prendra place et le développement suivra de manière naturelle sans avoir à nous couper du monde en nationalisant les contrats ou en les renégociant. Le Sénégal, est très mal parti et nous sommes dans l’obligation de négocier avec le paternalisme colonial jusqu’à ce que nous ne soyons plus dépendant de l’aide au développement. Cela nous évitera l’embargo économique, militaire, et surtout l’isolement. Sachons choisir nos batailles de manière intelligente comme le disent les anglophones.
Cheikh Yerim seck, dakaractu
Anonyme
En Février, 2019 (16:18 PM)les choses deviennent de plus en plus sérieuses dans cette campagne électorale. Nous avons finalement entendu un discours concret de la part d’un des candidats. Il s’agit du discours d’Ousmane Sonko, un discours économique digne de ce nom. Après avoir acquis le vote des jeunes, il est allé à la conquête du vote des plus âgés en tenant un discours très présidentiable. Il a su clairement expliquer sa vision économique pour le développement du Sénégal. Nous allons en revanche sermonner le candidat Macky Sall.
La vision économique de Sonko
Enfin un candidat qui ait compris que pour développer le Sénégal, il faut « oublier » Dakar pour développer les régions pour que le Sénégal puisse aller de l’avant. Il a choisi Kaolack pour commencer le développement du Sénégal, j’aurai dit Diourbel, mais l’essentiel est que cela commence du centre du Sénégal pour mieux se répandre à travers le pays. Il a proposé une zone franche à Kaolack et c’est une excellente idée et ce serait mieux encore pour les grands pôles de développement régionaux. Pour les lecteurs qui ne s’y connaissent pas trop en économie, une zone franche est une zone dans une zone géographique qui offre des avantages fiscaux comme les exonérations fiscales, de TVA, de droits de douane afin d’attirer les investisseurs. Dans le cas du Sénégal, pour que le programme du candit Sonko puisse voir le jour, il faut développer le secteur primaire d’abord de manière sérieuse et cela créera naturellement un effet d’entraînement sur les autres secteurs. La raison pour laquelle nous avons besoin d’un président avec cette vision économique est le fait que le Sénégal ait du pétrole. Une fois que la production du pétrole commencera, nous risquons de délaisser les autres secteurs au profit du pétrole. C’est ce qu’on appelle le syndrome hollandais, ou encore malédiction du pétrole. Avec la découverte du gisement de Gringue, les Pays-Bas avaient délaissé les autres secteurs au profit du gaz. Pour que le Sénégal évite ce scénario, il est impératif de développer notre secteur primaire pour la transformation de ces matières premières. Durant le temps que cela prendra, nous pouvons utiliser la rente pétrolière pour les infrastructures dans les régions dans le but d’accueillir les industries. Il sera impératif de doter de chaque département ou de chaque région d’un aéroport, ainsi que des écoles spécialisées. L’exode urbain prendra place et le développement suivra de manière naturelle sans avoir à nous couper du monde en nationalisant les contrats ou en les renégociant. Le Sénégal, est très mal parti et nous sommes dans l’obligation de négocier avec le paternalisme colonial jusqu’à ce que nous ne soyons plus dépendant de l’aide au développement. Cela nous évitera l’embargo économique, militaire, et surtout l’isolement. Sachons choisir nos batailles de manière intelligente comme le disent les anglophones.
Cheikh Yerim seck, dakaractu
Anonyme
En Février, 2019 (16:18 PM)les choses deviennent de plus en plus sérieuses dans cette campagne électorale. Nous avons finalement entendu un discours concret de la part d’un des candidats. Il s’agit du discours d’Ousmane Sonko, un discours économique digne de ce nom. Après avoir acquis le vote des jeunes, il est allé à la conquête du vote des plus âgés en tenant un discours très présidentiable. Il a su clairement expliquer sa vision économique pour le développement du Sénégal. Nous allons en revanche sermonner le candidat Macky Sall.
La vision économique de Sonko
Enfin un candidat qui ait compris que pour développer le Sénégal, il faut « oublier » Dakar pour développer les régions pour que le Sénégal puisse aller de l’avant. Il a choisi Kaolack pour commencer le développement du Sénégal, j’aurai dit Diourbel, mais l’essentiel est que cela commence du centre du Sénégal pour mieux se répandre à travers le pays. Il a proposé une zone franche à Kaolack et c’est une excellente idée et ce serait mieux encore pour les grands pôles de développement régionaux. Pour les lecteurs qui ne s’y connaissent pas trop en économie, une zone franche est une zone dans une zone géographique qui offre des avantages fiscaux comme les exonérations fiscales, de TVA, de droits de douane afin d’attirer les investisseurs. Dans le cas du Sénégal, pour que le programme du candit Sonko puisse voir le jour, il faut développer le secteur primaire d’abord de manière sérieuse et cela créera naturellement un effet d’entraînement sur les autres secteurs. La raison pour laquelle nous avons besoin d’un président avec cette vision économique est le fait que le Sénégal ait du pétrole. Une fois que la production du pétrole commencera, nous risquons de délaisser les autres secteurs au profit du pétrole. C’est ce qu’on appelle le syndrome hollandais, ou encore malédiction du pétrole. Avec la découverte du gisement de Gringue, les Pays-Bas avaient délaissé les autres secteurs au profit du gaz. Pour que le Sénégal évite ce scénario, il est impératif de développer notre secteur primaire pour la transformation de ces matières premières. Durant le temps que cela prendra, nous pouvons utiliser la rente pétrolière pour les infrastructures dans les régions dans le but d’accueillir les industries. Il sera impératif de doter de chaque département ou de chaque région d’un aéroport, ainsi que des écoles spécialisées. L’exode urbain prendra place et le développement suivra de manière naturelle sans avoir à nous couper du monde en nationalisant les contrats ou en les renégociant. Le Sénégal, est très mal parti et nous sommes dans l’obligation de négocier avec le paternalisme colonial jusqu’à ce que nous ne soyons plus dépendant de l’aide au développement. Cela nous évitera l’embargo économique, militaire, et surtout l’isolement. Sachons choisir nos batailles de manière intelligente comme le disent les anglophones.
Cheikh Yerim seck, dakaractu
Anonyme
En Février, 2019 (16:21 PM)Il est vieux et son organisme supportera difficilement des efforts comme ce qu'il veut entamer lors de son retour avec l'itinéraire publié .
J ai peur pour son coeur , j ai peur qu'il ne puisse pas supporté , je crains de le voir tomber en cours de route ou entre les deux tours victime d 'une défaillance cardiaque .
Les personnes qui le suivent encore doivent le raisonner d'autant plus qu'il peut avoit une surprise car les sénégalais ont compris son jeux macabre ...mon fils , mon fils sinon mettons le chaos dans ce pays .
Volai414
En Février, 2019 (16:21 PM)En écoutant pratiquement tous les candidats à la présidentielle, une question me trotte dans la tête et j'aimerais bien que les vrais connaisseurs éclairent ma lanterne. Ils jure tous que s'ils sont élus ils ne s'immisceront pas dans le fonctionnement de la justice. Belle et bonne promesse !
Ils ont à peine fini leur phrase qu'ils rajoutent : « je libérerai un tel, je libère et je fais surveiller... »
La nuance entre libérer et amnistier est subtile et le lapsus et révélateur. Dans ce pays, la psychologie du mensonge serait-elle une science en devenir ?
Anonyme
En Février, 2019 (16:22 PM)Anonyme
En Février, 2019 (16:52 PM)Chers Compatriotes,
Notre pays va boucler ses six décennies d’existence. Il a fait des progrès importants sur les plan social
et économique. Sans que nos dirigeants successifs aient démérité, il reste beaucoup à faire, pour nous-mêmes et pour nos enfants. 2019 est un rendez-vous très important, entre vous et moi, pour ausculter en profondeur notre pays et convenir des meilleures solutions pour un Sénégal meilleur.
Le Programme que je vous propose découle de mes parcours de vie, public et privé. J’ai longtemps œuvré dans le privé. Je connais de l’intérieur le fonctionnement de nos entreprises. Je sais les difficultés auxquelles elles font face. Pour diverses raisons, elles ne sont performantes et ne peuvent pas créer la richesse et les emplois qui accéléreraient notre développement économique. Par empirisme pragmatique, j’estime avoir les propositions pertinentes pour remédier à cette situation.
J’ai une expérience avérée de la gestion des affaires publiques de mon pays. J’ai été ministre, Ministre d’Etat Directeur de Cabinet du Président de la République et Premier Ministre du Sénégal. Au niveau décentralisé, j’ai été Maire et Président de Conseil départemental. J’ai pratiqué les institutions de l’intérieur. Elles ne fonctionnent pas de façon optimale. Par empirisme pragmatique, j’estime avoir les propositions pertinentes pour les réformer et les mettre plus en phase avec nos besoins d’une meilleure gouvernance démocratique. Sur les quinze dernières années, je me suis éloigné de l’exercice du pouvoir central. Je me suis rapproché de mes concitoyens. Je les ai côtoyés. J’ai vécu avec eux leur dur quotidien. J’ai été témoin de leur espoir, de leur angoisse, de leur déception et de leur désillusion. Je les ai écoutés, sans filtre. Par empirisme pragmatique, j’estime avoir les propositions pertinentes, en termes de politiques publiques, pour les tirer de la pauvreté, identifier ensemble des voies sociales et économiques de la prospérité et les mettre en œuvre.
Le Programme que je vous propose est inclusif et progressiste. Il reprend les propositions systémiques intemporelles qui ont jalonné mon parcours politique. Il incorpore une série de propositions émanant de nos échanges avec nos amis de l’opposition, des cadres émérites de mon parti politique (Rewmi) et des professionnels sénégalais de tous bords, de l’intérieur comme de la diaspora. Mais surtout, ce Programme découle de mon écoute constante des populations sénégalaises qui ont su m’offrir, en condensé, la commande citoyenne de façon holistique et dans les subtilités de ses détails.
Le Programme que je vous propose garantit à chaque Sénégalaise et Sénégalais l’accès à la prospérité, la protection de ses droits, et la promotion de ses talents individuels au service du bien-être commun. Le Programme que je vous propose est la concrétisation de ma Vision 1-3-15-45.
• 1 Comme le Sénégal qui nous est commun : Un Peuple, Un But, Un Foi !
• 3 Comme les 3 Axes du Programme ;
• 15 Comme les quinze visions programmatiques qui bordurent le Programme ;
• 45 Comme les quarante-cinq déclinaisons thématiques du programme.
Ma vision globale est de redonner au Sénégal sa dignité. Avec votre soutien, nous allons bâtir ensemble Un
• SÉNÉGAL Compétitif ; Un SÉNÉGAL Instruit ; Un SÉNÉGAL Juste ; Un SÉNÉGAL Fier ; Un SÉNÉGAL Univoque ; Un
• SÉNÉGAL Ambitieux ; Un SÉNÉGAL Équilibré ; Un SÉNÉGAL Moderne ; Un SÉNÉGAL Prospère ; Un SÉNÉGAL
• Solidaire ; Un SÉNÉGAL Connecté ; Un SÉNÉGAL Durable ; Un SÉNÉGAL Endogène ; Un SÉNÉGAL Ouvert ;
• Un SÉNÉGAL Sécurisé.
Le Programme que je vous propose est centré sur l’Homme, sur le sénégalais. Il est notre seule préoccupation, notre seul centre d’intérêt. Il accorde une place prépondérante aux femmes et aux jeunes. Ils sont partout dans le Programme. Ils sont dans le Sénégal qui nous est commun. Ils sont dans les trois axes, dans les quinze visions programmatiques et dans les quarante-cinq déclinaisons thématiques du programme. Aucune proposition n’a été rédigée sans en planifier les dimensions genre et jeunes. Pour garantir leur pleine intégration dans toutes les politiques publiques et éviter les
Politiques parcelleaires, désintégrées et inefficaces, j’ai choisi de ne pas les catégoriser dans ce programme. Le Sénégal et l’Afrique réclament des dirigeants capables d’impulser un sursaut de fierté. Des dirigeants pour briser les chaînes du désespoir et mettre la créativité et l’énergie des populations au service de l’amélioration du bien-être des filles et fils du continent. Des dirigeants pour redonner espoir. Des dirigeants en qui nous nous reconnaissons. Des dirigeants mus uniquement par le devoir de servir. Sous l’encadrement vigilant d’une équipe exceptionnelle et déterminée, alliant jeunesse et expérience, composée de Sénégalaises et de Sénégalais, enracinés dans leur culture et ouverts sur le monde, issus de la haute administration et du secteur privé, des daaras du Sénégal comme des plus grandes universités du monde, je vous invite à la marche orange vers le développement.
Je puis vous garantir que pour toute la durée du quinquennat, le Sénégal et les sénégalais resteront
ma priorité. A chaque fois qu’il faudra prendre une décision, amorcer une politique publique, signer un contrat international, faire un arbitrage public, je ne me poserai qu’une seule question : Est-ce que les intérêts du Sénégal et des sénégalais sont sauvegardés ?
Ce sera ma seule boussole.
Idrissa SECK
Anonyme
En Février, 2019 (17:29 PM)Chers Compatriotes,
Notre pays va boucler ses six décennies d’existence. Il a fait des progrès importants sur les plan social
et économique. Sans que nos dirigeants successifs aient démérité, il reste beaucoup à faire, pour nous-mêmes et pour nos enfants. 2019 est un rendez-vous très important, entre vous et moi, pour ausculter en profondeur notre pays et convenir des meilleures solutions pour un Sénégal meilleur.
Le Programme que je vous propose découle de mes parcours de vie, public et privé. J’ai longtemps œuvré dans le privé. Je connais de l’intérieur le fonctionnement de nos entreprises. Je sais les difficultés auxquelles elles font face. Pour diverses raisons, elles ne sont performantes et ne peuvent pas créer la richesse et les emplois qui accéléreraient notre développement économique. Par empirisme pragmatique, j’estime avoir les propositions pertinentes pour remédier à cette situation.
J’ai une expérience avérée de la gestion des affaires publiques de mon pays. J’ai été ministre, Ministre d’Etat Directeur de Cabinet du Président de la République et Premier Ministre du Sénégal. Au niveau décentralisé, j’ai été Maire et Président de Conseil départemental. J’ai pratiqué les institutions de l’intérieur. Elles ne fonctionnent pas de façon optimale. Par empirisme pragmatique, j’estime avoir les propositions pertinentes pour les réformer et les mettre plus en phase avec nos besoins d’une meilleure gouvernance démocratique. Sur les quinze dernières années, je me suis éloigné de l’exercice du pouvoir central. Je me suis rapproché de mes concitoyens. Je les ai côtoyés. J’ai vécu avec eux leur dur quotidien. J’ai été témoin de leur espoir, de leur angoisse, de leur déception et de leur désillusion. Je les ai écoutés, sans filtre. Par empirisme pragmatique, j’estime avoir les propositions pertinentes, en termes de politiques publiques, pour les tirer de la pauvreté, identifier ensemble des voies sociales et économiques de la prospérité et les mettre en œuvre.
Le Programme que je vous propose est inclusif et progressiste. Il reprend les propositions systémiques intemporelles qui ont jalonné mon parcours politique. Il incorpore une série de propositions émanant de nos échanges avec nos amis de l’opposition, des cadres émérites de mon parti politique (Rewmi) et des professionnels sénégalais de tous bords, de l’intérieur comme de la diaspora. Mais surtout, ce Programme découle de mon écoute constante des populations sénégalaises qui ont su m’offrir, en condensé, la commande citoyenne de façon holistique et dans les subtilités de ses détails.
Le Programme que je vous propose garantit à chaque Sénégalaise et Sénégalais l’accès à la prospérité, la protection de ses droits, et la promotion de ses talents individuels au service du bien-être commun. Le Programme que je vous propose est la concrétisation de ma Vision 1-3-15-45.
• 1 Comme le Sénégal qui nous est commun : Un Peuple, Un But, Un Foi !
• 3 Comme les 3 Axes du Programme ;
• 15 Comme les quinze visions programmatiques qui bordurent le Programme ;
• 45 Comme les quarante-cinq déclinaisons thématiques du programme.
Ma vision globale est de redonner au Sénégal sa dignité. Avec votre soutien, nous allons bâtir ensemble Un
• SÉNÉGAL Compétitif ; Un SÉNÉGAL Instruit ; Un SÉNÉGAL Juste ; Un SÉNÉGAL Fier ; Un SÉNÉGAL Univoque ; Un
• SÉNÉGAL Ambitieux ; Un SÉNÉGAL Équilibré ; Un SÉNÉGAL Moderne ; Un SÉNÉGAL Prospère ; Un SÉNÉGAL
• Solidaire ; Un SÉNÉGAL Connecté ; Un SÉNÉGAL Durable ; Un SÉNÉGAL Endogène ; Un SÉNÉGAL Ouvert ;
• Un SÉNÉGAL Sécurisé.
Le Programme que je vous propose est centré sur l’Homme, sur le sénégalais. Il est notre seule préoccupation, notre seul centre d’intérêt. Il accorde une place prépondérante aux femmes et aux jeunes. Ils sont partout dans le Programme. Ils sont dans le Sénégal qui nous est commun. Ils sont dans les trois axes, dans les quinze visions programmatiques et dans les quarante-cinq déclinaisons thématiques du programme. Aucune proposition n’a été rédigée sans en planifier les dimensions genre et jeunes. Pour garantir leur pleine intégration dans toutes les politiques publiques et éviter les
Politiques parcelleaires, désintégrées et inefficaces, j’ai choisi de ne pas les catégoriser dans ce programme. Le Sénégal et l’Afrique réclament des dirigeants capables d’impulser un sursaut de fierté. Des dirigeants pour briser les chaînes du désespoir et mettre la créativité et l’énergie des populations au service de l’amélioration du bien-être des filles et fils du continent. Des dirigeants pour redonner espoir. Des dirigeants en qui nous nous reconnaissons. Des dirigeants mus uniquement par le devoir de servir. Sous l’encadrement vigilant d’une équipe exceptionnelle et déterminée, alliant jeunesse et expérience, composée de Sénégalaises et de Sénégalais, enracinés dans leur culture et ouverts sur le monde, issus de la haute administration et du secteur privé, des daaras du Sénégal comme des plus grandes universités du monde, je vous invite à la marche orange vers le développement.
Je puis vous garantir que pour toute la durée du quinquennat, le Sénégal et les sénégalais resteront
ma priorité. A chaque fois qu’il faudra prendre une décision, amorcer une politique publique, signer un contrat international, faire un arbitrage public, je ne me poserai qu’une seule question : Est-ce que les intérêts du Sénégal et des sénégalais sont sauvegardés ?
Ce sera ma seule boussole.
Idrissa SECK
Anonyme
En Février, 2019 (18:05 PM)D.
En Février, 2019 (21:32 PM)Vivement le soir du 24 février 2019 pour sa réélection au premier tour !!!!
Anonyme
En Février, 2019 (22:54 PM)Participer à la Discussion