Jeudi 28 Mars, 2024 á Dakar
Vendredi 01 Juin, 2018 +33
Politique

Violences, sécurité des candidats :La réaction d’Idrissa Seck

Single Post
Violences, sécurité des candidats :La réaction d’Idrissa Seck

Suite aux violences notées à Tamba ce lundi, le ministère de l'Intérieur a décidé d'affecter des éléments de la police et de la gendarmerie pour assurer la sécurité des cinq candidats. Une décision bien accueillie par Idrissa Seck qui a dénoncé les cas de violence  notées dans la campagne.

«Une campagne ne doit pas être émaillée par des scènes de violence. Et je dis souvent que c'est l'Etat qui doit assurer la sécurité des biens et des personnes. S’il a décidé d’affecter des éléments de sécurité, c'est une bonne chose. Mais nous n’avons pas encore accueilli ce dispositif», indique-t-il. Il battait campagne à Ziguinhor ce mardi.



34 Commentaires

  1. Auteur

    Focusactu.net

    En Février, 2019 (22:49 PM)
    Bonjour! Voici votre nouveau site d'information focusactu.net. Un site qui traite de l'actualité au Sénégal et dans le monde. Bienvenus à tous!
    Top Banner
  2. Auteur

    Anonyme

    En Février, 2019 (23:12 PM)
    sonko en avait parle mais macky ne l'a pas ecoute

    vivement le 24
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2019 (23:29 PM)
    Il parle BIEN IDY en bon responsable il nous plaît de plus en plus
    {comment_ads}
    Auteur

    Khourou Macky

    En Février, 2019 (23:51 PM)
    Idy est vraiment l’homme idéal pour diriger le Sénégal
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2019 (23:51 PM)
    Top Banner
    Auteur

    Khady

    En Février, 2019 (00:57 AM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
    {comment_ads}
    Auteur

    Khady

    En Février, 2019 (00:57 AM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
    {comment_ads}
    Auteur

    Khady

    En Février, 2019 (00:57 AM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
    {comment_ads}
    Auteur

    Khady

    En Février, 2019 (00:57 AM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
    Top Banner
    Auteur

    Khady

    En Février, 2019 (00:57 AM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2019 (00:57 AM)
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2019 (00:57 AM)
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2019 (00:57 AM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
    Top Banner
    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2019 (00:57 AM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
    {comment_ads}
    Auteur

    Khady

    En Février, 2019 (00:57 AM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
    {comment_ads}
    Auteur

    Khady

    En Février, 2019 (00:57 AM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
    {comment_ads}
    Auteur

    Khady

    En Février, 2019 (00:57 AM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
    Top Banner
    Auteur

    Khady

    En Février, 2019 (00:57 AM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
    {comment_ads}
    Auteur

    Fatiss

    En Février, 2019 (01:04 AM)
    Idy, baka wala makka??? Voleur, magouilleur, on va jamais te confier notre caisse !
    {comment_ads}
    Auteur

    Fatiss

    En Février, 2019 (01:04 AM)
    Idy, baka wala makka??? Voleur, magouilleur, on va jamais te confier notre caisse !
    {comment_ads}
    Auteur

    Fatiss

    En Février, 2019 (01:04 AM)
    Idy, baka wala makka??? Voleur, magouilleur, on va jamais te confier notre caisse !
    Top Banner
    Auteur

    Fatiss

    En Février, 2019 (01:04 AM)
    Idy, baka wala makka??? Voleur, magouilleur, on va jamais te confier notre caisse !
    {comment_ads}
    Auteur

    Oumou

    En Février, 2019 (01:17 AM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
    {comment_ads}
    Auteur

    Oumou

    En Février, 2019 (01:17 AM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
    {comment_ads}
    Auteur

    Oumou

    En Février, 2019 (01:17 AM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
    Top Banner
    Auteur

    Oumou

    En Février, 2019 (01:18 AM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
    {comment_ads}
    Auteur

    Oumou

    En Février, 2019 (01:18 AM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
    {comment_ads}
    Auteur

    Oumou

    En Février, 2019 (01:18 AM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2019 (01:18 AM)
    Top Banner
    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2019 (01:18 AM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2019 (01:18 AM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
    {comment_ads}
    Auteur

    Oumou

    En Février, 2019 (01:18 AM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
    {comment_ads}
    Auteur

    Oumou

    En Février, 2019 (01:18 AM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
    Top Banner
    Auteur

    Oumou

    En Février, 2019 (01:18 AM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
    {comment_ads}

Participer à la Discussion

  • Nous vous prions d'etre courtois.
  • N'envoyez pas de message ayant un ton agressif ou insultant.
  • N'envoyez pas de message inutile.
  • Pas de messages répétitifs, ou de hors sujéts.
  • Attaques personnelles. Vous pouvez critiquer une idée, mais pas d'attaques personnelles SVP. Ceci inclut tout message à contenu diffamatoire, vulgaire, violent, ne respectant pas la vie privée, sexuel ou en violation avec la loi. Ces messages seront supprimés.
  • Pas de publicité. Ce forum n'est pas un espace publicitaire gratuit.
  • Pas de majuscules. Tout message inscrit entièrement en majuscule sera supprimé.
Auteur: Commentaire : Poster mon commentaire

Repondre á un commentaire...

Auteur Commentaire : Poster ma reponse

ON EN PARLE

Banner 01

Seneweb Radio

  • RFM Radio
    Ecoutez le meilleur de la radio
  • SUD FM
    Ecoutez le meilleur de la radio
  • Zik-FM
    Ecoutez le meilleur de la radio

Newsletter Subscribe

Get the Latest Posts & Articles in Your Email