Le ministre de la Santé et de l’Action sociale a indiqué que la lutte contre le cancer sera le défi de son département en 2015, pour soulager les nombreuses personnes qui en souffrent et qui n’ont pas de quoi payer leur traitement.
''Le cancer, c’est mon défi en 2015, parce que je considère aujourd’hui qu’il y a trop de personnes qui souffrent et qui n’ont pas de quoi payer’’, a dit Awa Marie Coll Seck, dans un entretien paru vendredi dans Le Quotidien.
''Les prix du traitement sont très chers, c’est tout un travail à faire et l’avons commencé'', a-t-elle souligné, relevant que les médicaments anticancéreux ‘’n’étaient pas du tout sur la liste des médicaments essentiels’’.
Elle a assuré que ‘’le privé, qui vend les médicaments anticancéreux avec la Pharmacie nationale d’approvisionnement et tous les médecins cancérologues se sont mis autour d’une table pour choisir les bons produits et avec des prix en gros et des génériques’’.
''On aura une baisse du prix des anticancéreux, ça devait même se faire en fin décembre 2014, mais ça va bientôt aboutir’’, a dit le ministre de la Santé et de l’Action sociale, assurant qu’en 2015, ''on pourra avoir accès à ces médicaments, à moindre coût’’.
Pour Awa Marie Coll Seck, ''ce sera toujours important parce que ce sont des maladies dites chroniques''.
''Nous sommes, a-t-elle ajouté, en train de voir comment trouver des partenariats, nous avons déjà l’insuline qui est gratuite. C’est pour dire qu’il y a des efforts qui sont faits au fur et à mesure''.
''Nous avons le projet d’un centre dans le cadre du Plan Sénégal émergent (PSE), un institut cancer qui doit être construit. Ce sera un plus pour le Sénégal d’avoir un institut où vous avez tout sur place'', a dit Awa Marie Coll Seck.
OID/AD
24 Commentaires
Missndoye
En Janvier, 2015 (10:30 AM)Weissman
En Janvier, 2015 (10:36 AM)Vécu
En Janvier, 2015 (10:37 AM)Thiessois
En Janvier, 2015 (10:45 AM)Osez
En Janvier, 2015 (10:49 AM)Mais moi, j'y crois pas trop , en occident des l'age de 50 ans homme ou femme ont tous passé par un cancer , c'est trop , alors qu'en Afrique et surtout au Sénégal , on y a des cas très rarement de cancer !
Alors un conseil, manger moins de viande , moins d'alcool et de tabac , toujours privilégier le poisson , faire ses courses chez les maraîchers du coin , même si il parait que les produits surgelés conservent mieux les vitamines !Mais aussi, il faut beaucoup méditer comme faire de la prière le yoga , faire une activité sportive quotidienne ...
Ccc
En Janvier, 2015 (11:02 AM)sur le terrain pratique nada
demander aux professionnels de la sante et allez dans les hopitaux et district
Rio
En Janvier, 2015 (11:15 AM)Wah Deugg Deugg
En Janvier, 2015 (11:15 AM)Ababacar Sadikh Niang
En Janvier, 2015 (11:58 AM)Pap
En Janvier, 2015 (12:09 PM)ceci n'est qu'une approche soins par ailleurs incomplète car (tout au moins dans le rapport prédenté sur seneweb) aucun élément ne se refere au ressources humaines. quand on sait qu'il un chimiothérapeute formé et unradiotherapeute formé travaillant au sénégal, on voit le problème de soins est loin d'etre résolu. de plus ces personnes sont formées à l'etranger. enfin, la formation d'oncologie chirurgicale disponible a dakar nécessite des frais d'inscriptionde 500 000 francs âr an et dure 5 ans. par ailleurs la formation d'nantomo pathologiste (medecins spécialisés dans le diagnosic de certitude et donc de cancer est aussi difficilement accessible que celle de chirurgiens. les specialistes de cette discipline se compte sur les doigts des 2 mains au mieux.
enfin, un élément important n'apparait pas dans le rapport de seneweb. c'est la prévention des cancers. le tabac et l'alcool sot des facteurs de risque reconnus des cancers. or, a dakar, il pilule des établissements vendant de l'alcool. on en trouve jusque dans les stations services. quant au tabac, sa disponibilité est encore plus large et meme facilité (rappellez vous que S2N a inauguré le siège de philip morris). je ne vois pas encore d'actes politiques fort visant à proteger la jeunesse senegalaise de ces 2 produits de consommation courante.
il me semble qu'une approche progrssive visant d'abord a faire le point sur la fréquence des cancers leur distibution par organes permet de mieux orienter les efforts et les ressources. dans l'approche preventive, depuis quelques années, un vaccin qui permet de prevenir le cancer du col uterin (qui serait l'un des plus frequent au senegal) existe mais il est hors de prix. il devrait au plus vite etre inclus dans le pev au meme titre que le vaccin de l'hépatite virale b qui prévient le cancer primitf du foie. une telle démarche réduirait certains cancers à l'avenir permettant de faire une économie et d'orienter les efforts dans d'autres secteurs.
une fois de plus, la communication sur la santé se fait sur le chapitre du yeurmeunde pour déboucher sur peu de choses pratiques.
bonne année et bon gamou
Madame La Ministre
En Janvier, 2015 (12:32 PM)Icone
En Janvier, 2015 (12:34 PM)Nit Dafay Nité
En Janvier, 2015 (13:07 PM)Humhum
En Janvier, 2015 (13:09 PM)@ébolaa
En Janvier, 2015 (13:18 PM)Ideesn
En Janvier, 2015 (13:32 PM)Cancreux
En Janvier, 2015 (16:05 PM)Alors que ces médicaments beaucoup moins chers ont sauvé des milliers de vie, le prétexte est on ne peut pas les tester pour voir leur efficacité. L'industrie pharmaceutique a t'elle fait pression?
Savez vous qu'un traitement contre le cancer coute minimum 3.5 millions de francs sur 6 mois.
Combien de sénégalais peuvent supporter de tels frais, la plupart des malades meurent faute de moyens.
Soyons sérieux.
Mounos
En Janvier, 2015 (20:07 PM)•
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Selon cette enquête, seuls un tiers des cancers seraient le fruit d'un facteur génétique ou d'un environnement défavorable.
L'étude à paraître vendredi 2 janvier 2015 ne prend toutefois pas en compte le cancer du sein, ni celui de la prostate, particulièrement fréquents. (ANDRZEJ WOJCICKI / SCIENCE PHOTO LIBRARY RF / GETTY)
Par Francetv info avec AFP
Mis à jour le 01/01/2015 | 20:47 , publié le 01/01/2015 | 20:47
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Et si le cancer était de la faute à pas de chance ? C'est ce qu'indique une étude américaine à paraître vendredi 2 janvier dans la prestigieuse revue Science (article en anglais). Selon cette enquête, menée par des scientifiques de l'Université Johns Hopkins, la maladie est souvent provoquée par le hasard qui voit des mutations aléatoires se produire dans le processus de division des cellules, plutôt qu'à des causes génétiques ou à un environnement défavorable.
L'étude, basée sur un modèle statistique prenant en compte un grande variété de cancers, ne prend toutefois pas en compte le cancer du sein, le plus fréquent chez les femmes, ni celui de la prostate, le deuxième plus courant pour les hommes après le cancer de la peau. Sur les cancers chez les adultes qui ont été étudiés, environ les deux tiers peuvent être expliqués par des mutations génétiques aléatoires qui permettent aux tumeurs de grossir, et un tiers sont le fruit de facteurs génétiques ou d'un environnement défavorable.
Les fumeurs en bonne santé n'auraient pas de "bons gènes"
Ainsi, selon Bert Vogelstein, professeur d'oncologie à l'Université de médecine Johns Hopkins, les personnes qui vivent longtemps tout en fumant ou en s'exposant au soleil sans protections particulières, sans avoir de cancer, n'ont pas forcément de "bons gènes". "La vérité est que la plupart d'entre eux ont simplement beaucoup de chance", explique-t-il.
Pour cette étude, les chercheurs se sont penchés sur le processus naturel de renouvellement des cellules dans le corps humain. Celui-ci permet au corps de remplacer les cellules lorsqu'elles meurent dans les différents organes.
Depuis longtemps les chercheurs ont compris que des cancers pouvaient survenir quand les cellules souches commettaient de petites erreurs, des mutations. Mais cette nouvelle étude est la première à tenter de comprendre la proportion de cancers déclenchés par ce processus, par rapport à ceux dus à la génétique ou à un environnement défavorable.
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En Janvier, 2015 (21:24 PM)Jean
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En Janvier, 2015 (23:26 PM)Utyy
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