À Keur Massar, on prie certainement que le virus ne choppe pas un résident. Parce que c'est comme si on fait du "Boul Falé" par rapport à une pandémie qui a fini d'être une inquiétude mondiale. Lors de notre passage à l'entrée de cette commune, la densité humaine mêlée à des embouteillages monstres fait que la distanciation prônée par les autorités sanitaires n'est pas respectée. D'ailleurs, rien qu'à se promener sur les lieux, aucune des consignes matraquées à longueur de journée sur les télés et radios n'est prise au sérieux", rapporte Le Témoin.
Le journal de se désoler : "Plusieurs regroupements de jeunes gens sont notés. Ils discutent de tout et de rien dans l'insouciance la plus totale. Si pendant le couvre-feu de 20 h à 6, tout est désert, pendant la journée, c'est comme si le virus était oublié. Qui disait qu'il y a un parfum d'incohérence dans la mise en place du couvre-feu. À moins de dire comme l'autre que pendant la journée, le virus est domestiqué et pendant la nuit il est libéré".
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