Deux études britanniques expliquent que le variant Omicron du Covid-19 présenterait moins de risques que le variant Delta.
"Les personnes contaminées par le variant Omicron auraient moins de risques d’être hospitalisées qu’avec le variant Delta : 20% moins de risques selon la première étude, 68% moins de risques selon la deuxième", rapporte France Télévisions reprise par Rewmi Quotidien.
En clair, le variant Omicron serait moins susceptible de provoquer des formes graves de la maladie.
Par exemple, en Angleterre, l'Imperial College London a comparé des cas d'Omicron avec des cas de Delta détectés entre le 1er et le 14 décembre derniers.
Résultat : les individus positifs au variant Omicron ont un risque réduit de 40 à 45 % de subir une hospitalisation entraînant un séjour d'une nuit ou plus par rapport aux personnes contaminées par le variant Delta.
L’Institut national des maladies transmissibles (NICD) sud-africain a également suggéré une dangerosité moindre d'Omicron, de l'ordre de 80 % pour les personnes contaminées.
Des résultats spectaculaires à relativiser selon les scientifiques car la population sud-africaine est beaucoup plus jeune qu'en Europe ou aux États-Unis.
Par ailleurs, 60 à 70 % des Sud-Africains auraient déjà été infectés une fois par le virus, conduisant sans doute à une meilleure réponse immunitaire.
Toutefois, même si le risque de développer une forme grave semble moins important avec Omicron, les hôpitaux ne sont pas à l'abri d'un afflux de patients dans les prochaines semaines.
Le nombre de contaminations est en effet si élevé que mécaniquement le nombre d'hospitalisations pourrait être à son tour exponentiel en cette période hivernale.
"Les personnes contaminées par le variant Omicron auraient moins de risques d’être hospitalisées qu’avec le variant Delta : 20% moins de risques selon la première étude, 68% moins de risques selon la deuxième", rapporte France Télévisions reprise par Rewmi Quotidien.
En clair, le variant Omicron serait moins susceptible de provoquer des formes graves de la maladie.
Par exemple, en Angleterre, l'Imperial College London a comparé des cas d'Omicron avec des cas de Delta détectés entre le 1er et le 14 décembre derniers.
Résultat : les individus positifs au variant Omicron ont un risque réduit de 40 à 45 % de subir une hospitalisation entraînant un séjour d'une nuit ou plus par rapport aux personnes contaminées par le variant Delta.
L’Institut national des maladies transmissibles (NICD) sud-africain a également suggéré une dangerosité moindre d'Omicron, de l'ordre de 80 % pour les personnes contaminées.
Des résultats spectaculaires à relativiser selon les scientifiques car la population sud-africaine est beaucoup plus jeune qu'en Europe ou aux États-Unis.
Par ailleurs, 60 à 70 % des Sud-Africains auraient déjà été infectés une fois par le virus, conduisant sans doute à une meilleure réponse immunitaire.
Toutefois, même si le risque de développer une forme grave semble moins important avec Omicron, les hôpitaux ne sont pas à l'abri d'un afflux de patients dans les prochaines semaines.
Le nombre de contaminations est en effet si élevé que mécaniquement le nombre d'hospitalisations pourrait être à son tour exponentiel en cette période hivernale.
2 Commentaires
Défenseur
En Décembre, 2021 (09:07 AM)Participer à la Discussion