Le ministre de la Santé et de l’action sociale, Abdoulaye Diouf Sarr a présidé, ce vendredi, le lancement des nouveaux engagements du Sénégal au Family Planning 2020 (FP2030), une initiative lancée en 2012 à Londres et auquel le Sénégal a adhéré depuis lors. Ce, en présence de la Directrice Exécutive de Family Planning 2030; de la Directrice de l’Unité de Coordination du Partenariat de Ouagadougou et du Directeur de la Santé de la mère et de l’enfant.
Aux partenaires techniques et financiers, dira-t-il d’emblée, « Votre présence à cette cérémonie témoigne de votre engagement aux côtés de mon département, pour le bien-être des populations ». Abdoulaye Diouf Sarr, dans son discours, a rappelé que le Président de la République, Macky Sall, « place la santé de la femme au cœur de sa politique, car cela est un facteur déterminant dans la lutte contre la pauvreté et un réel enjeu de développement. Cette ambition du chef de l’Etat a été matérialisée dans le plan Sénégal Emergent (PSE), référentiel de la politique économique et sociale qui fait de l’amélioration de la santé en général une des priorités, notamment son pilier 2 portant sur le « capital humain, la protection sociale et le développement durable ».
Cela a été réaffirmé dans le Plan National de Développement Sanitaire et Social de 2019-2028, souligne-t-il.
Le ministre de rappeler que, parmi les stratégies pour lutter contre la mortalité maternelle et néonatale, le repositionnement de la planification familiale est une priorité, il en est de même pour les soins obstétricaux et néonataux d’urgence.
Par ailleurs, renchérit-il, aujourd’hui, « la planification familiale est l’une des interventions disponibles, les plus efficientes pour sauver des vies et améliorer la santé de la femme, de l’enfant et de l’adolescent. Au-delà de ces bénéfices sanitaires, l’augmentation du Taux de Prévalence Contraceptive permettrait une meilleure capture du dividende démographique ».
A l’instar de la communauté internationale, le Sénégal, ajoute-t-il, « a toujours réaffirmé sa volonté de faire de la planification familiale une priorité nationale. C’est dans ce cadre qu’il convient d’inscrire le premier Plan d’Action National pour la Planification Familiale (PANPF) pour la période 2012-2015 suivi du plan de deuxième génération de 2016 -2020, ajoute t-il.
Abdoulaye Diouf Sarr a notamment rappelé, qu’aux deux Sommets de Londres tenus en 2012 et 2017, le Sénégal, à l’instar des autres pays de l’Afrique de l’Ouest francophone réunis autour du Partenariat de Ouagadougou (PO), avait pris des engagements pour contribuer à l’objectif tendant à garantir, à 120 millions de femmes additionnelles, un accès volontaire à des moyens de contraception modernes en 2020. Ces engagements concernaient les domaines politique, financier et programmatique, qui, après leur mise en œuvre ont permis d’obtenir des résultats forts encourageants notamment l’érection en 2012 de la Division de la Santé de la Reproduction (DSR) en Direction et le bureau Planification Familiale en Division ; l’augmentation de la ligne budgétaire pour l’achat des contraceptifs de 100 millions en 2012 à 500 millions en 2021.
Aujourd’hui, dans la perspective de l’après 2020, le Sénégal, s’étant déjà inscrit dans la dynamique de la coopération sous régionale et internationale, s’est résolument positionné dans la perspective de renouveler ses engagements d’ici à 2030 au vu des progrès constatés dans le pays.
Il note que beaucoup de pays dont le Sénégal s’inscrivent dans la même dynamique de repositionnement de la planification familiale. En effet, les taux de prévalence contraceptive et de besoins non satisfaits ont été largement améliorés dans nos pays.
Dans la même période, les taux de mortalité maternelle, néonatale et infanto-juvénile ont connu des baisses significatives avec au Sénégal selon toujours le ministre.
« Ces résultats ont été possibles grâce à la mobilisation de toutes les parties prenantes à accompagner les pays dans la mise en œuvre de stratégies innovantes et pratiques à haut impact fondées sur des évidences pour augmenter l’accès et le choix des femmes en matière de planification familiale ».
Dans la perspective de consolider les engagements du Sénégal, des aspects essentiels de nos programmes devront faire l’objet d’une attention soutenue selon lui. Notamment la mobilisation des ressources pour garantir une contribution conséquente des pays au financement de la santé; le passage à l’échelle des interventions à haut impact en matière de Planification Familiale ; la prise en charge effective des jeunes en matière de santé de la reproduction; et l’implication effective et la capitalisation des données du secteur privé.
Aux partenaires techniques et financiers, dira-t-il d’emblée, « Votre présence à cette cérémonie témoigne de votre engagement aux côtés de mon département, pour le bien-être des populations ». Abdoulaye Diouf Sarr, dans son discours, a rappelé que le Président de la République, Macky Sall, « place la santé de la femme au cœur de sa politique, car cela est un facteur déterminant dans la lutte contre la pauvreté et un réel enjeu de développement. Cette ambition du chef de l’Etat a été matérialisée dans le plan Sénégal Emergent (PSE), référentiel de la politique économique et sociale qui fait de l’amélioration de la santé en général une des priorités, notamment son pilier 2 portant sur le « capital humain, la protection sociale et le développement durable ».
Cela a été réaffirmé dans le Plan National de Développement Sanitaire et Social de 2019-2028, souligne-t-il.
Le ministre de rappeler que, parmi les stratégies pour lutter contre la mortalité maternelle et néonatale, le repositionnement de la planification familiale est une priorité, il en est de même pour les soins obstétricaux et néonataux d’urgence.
Par ailleurs, renchérit-il, aujourd’hui, « la planification familiale est l’une des interventions disponibles, les plus efficientes pour sauver des vies et améliorer la santé de la femme, de l’enfant et de l’adolescent. Au-delà de ces bénéfices sanitaires, l’augmentation du Taux de Prévalence Contraceptive permettrait une meilleure capture du dividende démographique ».
A l’instar de la communauté internationale, le Sénégal, ajoute-t-il, « a toujours réaffirmé sa volonté de faire de la planification familiale une priorité nationale. C’est dans ce cadre qu’il convient d’inscrire le premier Plan d’Action National pour la Planification Familiale (PANPF) pour la période 2012-2015 suivi du plan de deuxième génération de 2016 -2020, ajoute t-il.
Abdoulaye Diouf Sarr a notamment rappelé, qu’aux deux Sommets de Londres tenus en 2012 et 2017, le Sénégal, à l’instar des autres pays de l’Afrique de l’Ouest francophone réunis autour du Partenariat de Ouagadougou (PO), avait pris des engagements pour contribuer à l’objectif tendant à garantir, à 120 millions de femmes additionnelles, un accès volontaire à des moyens de contraception modernes en 2020. Ces engagements concernaient les domaines politique, financier et programmatique, qui, après leur mise en œuvre ont permis d’obtenir des résultats forts encourageants notamment l’érection en 2012 de la Division de la Santé de la Reproduction (DSR) en Direction et le bureau Planification Familiale en Division ; l’augmentation de la ligne budgétaire pour l’achat des contraceptifs de 100 millions en 2012 à 500 millions en 2021.
Aujourd’hui, dans la perspective de l’après 2020, le Sénégal, s’étant déjà inscrit dans la dynamique de la coopération sous régionale et internationale, s’est résolument positionné dans la perspective de renouveler ses engagements d’ici à 2030 au vu des progrès constatés dans le pays.
Il note que beaucoup de pays dont le Sénégal s’inscrivent dans la même dynamique de repositionnement de la planification familiale. En effet, les taux de prévalence contraceptive et de besoins non satisfaits ont été largement améliorés dans nos pays.
Dans la même période, les taux de mortalité maternelle, néonatale et infanto-juvénile ont connu des baisses significatives avec au Sénégal selon toujours le ministre.
« Ces résultats ont été possibles grâce à la mobilisation de toutes les parties prenantes à accompagner les pays dans la mise en œuvre de stratégies innovantes et pratiques à haut impact fondées sur des évidences pour augmenter l’accès et le choix des femmes en matière de planification familiale ».
Dans la perspective de consolider les engagements du Sénégal, des aspects essentiels de nos programmes devront faire l’objet d’une attention soutenue selon lui. Notamment la mobilisation des ressources pour garantir une contribution conséquente des pays au financement de la santé; le passage à l’échelle des interventions à haut impact en matière de Planification Familiale ; la prise en charge effective des jeunes en matière de santé de la reproduction; et l’implication effective et la capitalisation des données du secteur privé.
8 Commentaires
Bill Ak Melinda
En Novembre, 2021 (23:49 PM)Amadou
En Novembre, 2021 (01:35 AM)Tout Est Là !
En Novembre, 2021 (19:57 PM)Amadou
En Novembre, 2021 (01:26 AM)Reply_author
En Novembre, 2021 (11:11 AM)tu parles de la contraception?
Salif
En Novembre, 2021 (08:29 AM)Rassoul
En Novembre, 2021 (12:51 PM)Anonyme
En Novembre, 2021 (20:07 PM)Participer à la Discussion