L’organe de gouvernance de l’Asbef n’a pas perdu de temps pour répliquer au Comité intérimaire de gouvernance de l’Asbef qui pense que la directrice exécutive et son équipe doivent débarrasser le plancher suite à la décision de justice. Il reconnaît, toutefois, que l’Asbef a reçu une notification d’ordonnance de mise sous administration provisoire, à la suite de laquelle le Comité exécutif national a interjeté appel.
Pour le camp de la Directrice Exécutive Myriam Makéba Mingou, rapporte L’AS, cette décision du juge a été motivée par une version erronée des faits de Patrick de Souza, candidat malheureux à l’élection. C’est pourquoi, dit-il, grande a été la surprise du Comité exécutif national de voir le choix porté sur Mme Aïda Soumaré parce qu’il y a une procédure initiée par l’Asbef contre elle.
Pour eux, Mme Soumaré n’est plus volontaire de l’Asbef. L’organe de gouvernance de l’Asbef précise, par ailleurs, que Aïda Pouye, qui se présente tantôt comme un volontaire tantôt comme porte-parole du collectif des travailleurs de l’Asbef, fait dans l’imposture. Et c’est pour l’accuser d’être «au service d’une autorité institutionnelle pour semer le désordre».
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