Babacar Diop revient sur son séjour carcéral à la prison de Rebeuss où il était détenu pendant deux semaines. «De l’entrée à la sortie de Rebeuss, il n’y a que la violence», a-t-il révélé, précisant qu’il a été victime de deux agressions par les gardes pénitentiaires. «La dignité humaine est bafouée, les geôliers piétinent les prisonniers tous les jours», a-t-il souligné, non sans dénoncer le surpeuplement à la prison de Rebeuss. «200 détenus se partagent une seule toilette, notamment à la chambre 1 où j’ai été emprisonné. À la chambre 10, les gens restent debout toute la nuit, parfois des jours sans se laver. Les conditions de détention sont inhumaines», s’offusque-t-il. Et d'ajouter : «Pire, il y a l’exploitation de l’homme par l’homme. On fait travailler des prisonniers sans rémunération. Ils ont achevé le bâtiment de la Fondation pour être rémunérés seulement à 30 000 Fcfa.» Pour l'invite de ce dimanche de l'émission Grand Jury de la Rfm, «la société donne en offrande ses propres fils, utilisés comme des victimes expiatoires à Rebeuss où on entre en bonne santé pour en sortir sur un fauteuil roulant». Babacar Diop est aussi revenu sur son agression : «J’ai été vicitme de deux agressions. Les gardes pénitentiaires m’ont insulté de mère, je leur ai dit de ne plus répéter ça. Ils ont insisté et j’ai répliqué. Les insultes à Rebeuss sont devenues une banalité». Il rembobine : «Quand j’ai été agressé, ils ont voulu acheter mon silence. Ils m’ont demandé de ne pas impliquer l’université. Ils ont fait emmener leurs journalistes pour que je dise je me porte bien. Ce que j’ai refusé».
Babacar Diop revient sur son séjour carcéral à la prison de Rebeuss où il était détenu pendant deux semaines. «De l’entrée à la sortie de Rebeuss, il n’y a que la violence», a-t-il révélé, précisant qu’il a été victime de deux agressions par les gardes pénitentiaires.
«La dignité humaine est bafouée, les geôliers piétinent les prisonniers tous les jours», a-t-il souligné, non sans dénoncer le surpeuplement à la prison de Rebeuss.
«200 détenus se partagent une seule toilette, notamment à la chambre 1 où j’ai été emprisonné. À la chambre 10, les gens restent debout toute la nuit, parfois des jours sans se laver. Les conditions de détention sont inhumaines», s’offusque-t-il.
Et d'ajouter : «Pire, il y a l’exploitation de l’homme par l’homme. On fait travailler des prisonniers sans rémunération. Ils ont achevé le bâtiment de la Fondation pour être rémunérés seulement à 30 000 Fcfa.»
Pour l'invite de ce dimanche de l'émission Grand Jury de la Rfm, «la société donne en offrande ses propres fils, utilisés comme des victimes expiatoires à Rebeuss où on entre en bonne santé pour en sortir sur un fauteuil roulant».
Babacar Diop est aussi revenu sur son agression : «J’ai été vicitme de deux agressions. Les gardes pénitentiaires m’ont insulté de mère, je leur ai dit de ne plus répéter ça. Ils ont insisté et j’ai répliqué. Les insultes à Rebeuss sont devenues une banalité».
Il rembobine : «Quand j’ai été agressé, ils ont voulu acheter mon silence. Ils m’ont demandé de ne pas impliquer l’université. Ils ont fait emmener leurs journalistes pour que je dise je me porte bien. Ce que j’ai refusé».
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