
Depuis 2008, le Sénégal a adopté un ensemble de lois portant sur le cyberespace. Notamment, loi relative aux transactions électroniques, celle relative à l'orientation sur la société de l’information (LOSI), à la cybercriminalité, à la protection des données personnelles, à la Cryptologie.
Cependant, avec les mutations et évolutions technologiques actuelles, d'autres problématiques sont identifiées telles que la cybersécurité, les paiements en ligne, l’intelligence artificielle entre autres. Ces aspects ne sont pas pris en compte dans les différents textes de lois.
Ainsi, l'harmonisation et l’actualisation du cadre juridique du sous-secteur des TIC sont devenues une nécessité absolue pour le développement de l’écosystème du numérique au Sénégal.
Dans un contexte où le président Macky Sall ne cesse d’attirer l’attention des Sénégalais sur les dérives et usages peu recommandables des réseaux sociaux, cette rencontre de trois jours revêt une importance toute particulière.
D'ailleurs le ministre de l'Economie numérique et des télécommunications
est conscient que "l’abus que certains font de l’utilisation des réseaux sociaux tend à s’exacerber et si on n’y prend pas garde, cela peut déstabiliser notre harmonie sociale fondée sur la paix et la fraternité".
Le ministre déplore en outre le fait que "malgré toutes les lois votées et les mesures prises, certains persistent à vouloir faire des réseaux sociaux une arme de destruction de la dignité humaine. Or, le numérique ne doit pas être utilisé comme un moyen pour attenter aux valeurs morales et sociales, mais au contraire, il doit être un outil privilégié pour bâtir une personnalité économique et sociale, à travers un usage responsable".
Ainsi, le Gouvernement sénégalais est résolument "engagé à lutter contre toutes les formes d’abus et pour cela, tous les moyens seront mis en œuvre. La mise sur pied du cadre de concertation sur l’actualisation et l’harmonisation du cadre juridique du secteur des TIC trouve tout son sens dans la mesure où elle reflète l’ambition réelle du Gouvernement, déclinée dans la stratégie nationale Sénégal numérique "SN2025" actualisée", a assuré le ministre Yankhoba Diattara.
Cependant, avec les mutations et évolutions technologiques actuelles, d'autres problématiques sont identifiées telles que la cybersécurité, les paiements en ligne, l’intelligence artificielle entre autres. Ces aspects ne sont pas pris en compte dans les différents textes de lois.
Ainsi, l'harmonisation et l’actualisation du cadre juridique du sous-secteur des TIC sont devenues une nécessité absolue pour le développement de l’écosystème du numérique au Sénégal.
Dans un contexte où le président Macky Sall ne cesse d’attirer l’attention des Sénégalais sur les dérives et usages peu recommandables des réseaux sociaux, cette rencontre de trois jours revêt une importance toute particulière.
D'ailleurs le ministre de l'Economie numérique et des télécommunications
est conscient que "l’abus que certains font de l’utilisation des réseaux sociaux tend à s’exacerber et si on n’y prend pas garde, cela peut déstabiliser notre harmonie sociale fondée sur la paix et la fraternité".
Le ministre déplore en outre le fait que "malgré toutes les lois votées et les mesures prises, certains persistent à vouloir faire des réseaux sociaux une arme de destruction de la dignité humaine. Or, le numérique ne doit pas être utilisé comme un moyen pour attenter aux valeurs morales et sociales, mais au contraire, il doit être un outil privilégié pour bâtir une personnalité économique et sociale, à travers un usage responsable".
Ainsi, le Gouvernement sénégalais est résolument "engagé à lutter contre toutes les formes d’abus et pour cela, tous les moyens seront mis en œuvre. La mise sur pied du cadre de concertation sur l’actualisation et l’harmonisation du cadre juridique du secteur des TIC trouve tout son sens dans la mesure où elle reflète l’ambition réelle du Gouvernement, déclinée dans la stratégie nationale Sénégal numérique "SN2025" actualisée", a assuré le ministre Yankhoba Diattara.
23 Commentaires
Etudiant
En Juin, 2021 (16:34 PM)Reply_author
En Juin, 2021 (18:28 PM)Zeuble
En Juin, 2021 (17:19 PM)Medzo
En Juin, 2021 (19:00 PM)Dame Lo Norvège
En Juin, 2021 (19:35 PM)Dame Lo Norvege
En Juin, 2021 (12:23 PM)Karim$
En Juin, 2021 (22:55 PM)Ndamli
En Juin, 2021 (05:03 AM)Celui que votre loi doit condamner c'est Idrissa Seck le premier senegalais a avoir insulte publiquement un PR en le degradant moralement et socialement. Car au dela de tout ce dernier avait au moins l'age de son pere.
Si les gens sont aussi violents aujourd'hui sur les RS c'est la faute a ton mentor Idy qui le premier a ouvert la boite de pandore de l'insulte facile et degradant. De la les citoyens senegalais surtout de son bord se sont mis a le mimer.
La principale pathologie morale et sociale du senegal des 20 dernieres annees s'apelle Idy. C'est un virus qui essaime. Le neutraliser est un devoir sanitaire. Il a installe le systeme door marteau et l'insulte dans ce pays !
Taw
En Juin, 2021 (10:01 AM)L'anthropologue australien John Arundel Barnes a introduit l'expression en 19542. L'analyse des réseaux sociaux est devenue une spécialité universitaire dans le champ de la sociologie, se fondant sur la théorie des réseaux et l'usage des graphes.
L’expression « réseau social » dans l'usage habituel renvoie généralement à celle de « médias sociaux », qui recouvre les différentes activités qui intègrent technologie, interaction sociale entre individus ou groupes d'individus, et la création de contenu. Andreas Kaplan et Michael Haenlein les définissent comme « un groupe d’applications en ligne qui se fondent sur la philosophie et la technologie du net et permettent la création et l’échange du contenu généré par les utilisateurs »3.
Deug
En Juin, 2021 (10:07 AM)Elle peut être, comme la diffamation, publique ou non publique.
L'injure est punie différemment selon qu'elle a été proférée en public ou en privé ou encore avec des motifs discriminatoires ou non.
L'injure publique est définie, par le dernier alinéa de l’article 29 de la loi de 1881, comme toute expression outrageante, termes de mépris ou invective qui ne renferme l’imputation d’aucun fait. Elle est passible d’une amende pouvant aller jusqu'à 12 000 € et de 6 mois de prison et de 22 500 s’il celle est raciste, sexiste, homophobe ou contre les handicapés, la peine encourue est de 6 mois de prison et de 22 500 € d'amende.
Elle est punie de la même peine lorsqu’elle est commise envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle de leur handicap
Ousmane Sonko
En Juin, 2021 (11:57 AM)Dansokho
En Juin, 2021 (11:58 AM)Fatou
En Juin, 2021 (12:08 PM)Bougane Gueye
En Juin, 2021 (12:32 PM)Guy Marius Sagna
En Juin, 2021 (12:33 PM)Adji Sarr
En Juin, 2021 (12:41 PM)Participer à la Discussion