Le Sea Bubble pourrait être le nouveau moyen de transport urbain. De l'aveu de son créateur, c'est un projet qui lie "l'aérien et le maritime". La ville de Paris vient de commander deux prototypes.
Un véhicule futuriste volant sur l'eau est sur le point de voir le jour. Et ce, dès le mois de juin.
Ses concepteurs, le navigateur Alain Thébault et le véliplanchiste Anders Bringdal, l'ont annoncé jeudi dernier, confirmant avoir eu, dès novembre, un courrier d'Anne Hidalgo, la maire de Paris, pour que sa ville "soit la première capitale à tester les deux premiers prototypes sur la Seine". Sous des aspects de module de science-fiction, le Sea Bubble a la forme d'une bulle flottante et est composée de quatre ailes immergées. Pilotée par un "chauffeur", elle est entièrement électrique et se déplace à la vitesse maximale de 18km/h. Ce véhicule d'un nouveau genre repose sur la technologie de l'Hydroptère, un trimaran dont les ailes immergées permettent de "glisser" plusieurs mètres au-dessus de l'eau.
L'objectif est de proposer un transport urbain alternatif " Pas un gadget " " Elle combine trois avantages, évoque Alain Thébault dans Le Parisien. Zéro émission, zéro bruit et elle ne génère presque pas de vague. En volant, on élimine la traînée et on économise de la sorte 40% d'énergie. Ce qui autorise la propulsion électrique". Ce proche de feu Eric Tabarly espère faire "voler" une dizaine de bulles d'ici l'automne prochain et envisage développer un modèle de transport identique à celui de Uber. " La bulle est un moyen de transport à part entière, pas un gadget, assure son créateur. L'objectif, c'est qu'un Parisien qui travaille à La Défense puisse utiliser une bulle pour s'y rendre".
Le projet a déjà séduit Londres ou Berlin. Quant à Bruxelles, on l'imagine mal sur le canal Bruxelles-Charleroi.
Ses concepteurs, le navigateur Alain Thébault et le véliplanchiste Anders Bringdal, l'ont annoncé jeudi dernier, confirmant avoir eu, dès novembre, un courrier d'Anne Hidalgo, la maire de Paris, pour que sa ville "soit la première capitale à tester les deux premiers prototypes sur la Seine". Sous des aspects de module de science-fiction, le Sea Bubble a la forme d'une bulle flottante et est composée de quatre ailes immergées. Pilotée par un "chauffeur", elle est entièrement électrique et se déplace à la vitesse maximale de 18km/h. Ce véhicule d'un nouveau genre repose sur la technologie de l'Hydroptère, un trimaran dont les ailes immergées permettent de "glisser" plusieurs mètres au-dessus de l'eau.
L'objectif est de proposer un transport urbain alternatif " Pas un gadget " " Elle combine trois avantages, évoque Alain Thébault dans Le Parisien. Zéro émission, zéro bruit et elle ne génère presque pas de vague. En volant, on élimine la traînée et on économise de la sorte 40% d'énergie. Ce qui autorise la propulsion électrique". Ce proche de feu Eric Tabarly espère faire "voler" une dizaine de bulles d'ici l'automne prochain et envisage développer un modèle de transport identique à celui de Uber. " La bulle est un moyen de transport à part entière, pas un gadget, assure son créateur. L'objectif, c'est qu'un Parisien qui travaille à La Défense puisse utiliser une bulle pour s'y rendre".
Le projet a déjà séduit Londres ou Berlin. Quant à Bruxelles, on l'imagine mal sur le canal Bruxelles-Charleroi.
1 Commentaires
Anonyme
En Mars, 2016 (11:04 AM)Participer à la Discussion