Jalousie, quand tu nous tiens ! Oumy Ndiaye a invité Latyr, un conducteur de «Tiak Tiak», dans son salon, après une livraison. Ce dernier, narre L’Observateur de ce lundi 28 août, soupçonnait la dame mariée de vouloir lui proposer des relations intimes. «Je suis habitué à ce genre de situations», confie-t-il.
Mais, grande a été sa surprise lorsque cette dernière a formulé sa requête : «Elle avait besoin de mes services pour espionner son époux. Elle m’a confié qu’elle le soupçonnait d’infidélité et qu’elle voulait avoir des preuves. Elle m’a ensuite proposé la somme de 50 000 F CFA et une récompense surprise si je lui apportais des preuves tangibles. Elle m’a montré la photo de son mari, indiqué son lieu de travail, puis donné la couleur et le matricule de son véhicule. J’ai pris note et accepté la demande avant de m’y mettre.»
C’est ainsi, dit-il, qu’il s’est pointé à 17 heures au bureau du mari pour le suivre. Ce dernier, seul à bord de son véhicule, prend la direction de son domicile et rentre tranquillement. Latyr fait un compte rendu à sa patronne, lui signalant qu’il n’y avait rien de suspect.
Cette dernière, toujours soupçonneuse, lui ordonne de poursuivre sa mission. Latyr y retourne le lendemain à la même heure. Il surprend l’homme pendu au bout du fil pendant de longues minutes avant de démarrer, à bord de son véhicule. Contrairement à la veille, il récupère une femme avant de la conduire au restaurant. Le «Tiak Tiak» rend compte à sa patronne qui finira par confondre son mari, attablé au restaurant, en compagnie de sa maîtresse. Une violente dispute s’ensuivra. Oumy Ndiaye a fini par quitter le domicile conjugal.
Ramatoulaye Diop, jeune maman, a vécu la même déception. Pour son cas aussi, la comptable de profession a eu recours aux services d’un conducteur de moto Jakarta pour prendre sur le fait son mari, qu’elle trouvait subitement distant. Ce dernier, commerçant de profession, profitait des absences de sa femme pour recevoir ses maîtresses chez eux. «Depuis lors, il est envahi par la honte», savoure la dame.
Le troisième témoignage concerne Badara Fall, polygame. L’homme s’est décidé à recourir à l’espionnage pour être fixé sur la signification de l’attitude de sa deuxième épouse, qui se refusait à lui. «A chaque fois, elle me disait qu’elle était fatiguée et qu’elle avait des maux de tête. Cela m’a poussé à m’interroger», dit-il.
Avant de poursuivre : «J’ai affrété une moto Jakarta pour la suivre. Je l’ai suivie jusque dans ce restaurant où l’attendait un homme. Ils avaient l’air amoureux. J’étais dégoûté. A son retour à la maison, je l’ai mise devant les faits, et je l’ai répudiée.»
Mais, grande a été sa surprise lorsque cette dernière a formulé sa requête : «Elle avait besoin de mes services pour espionner son époux. Elle m’a confié qu’elle le soupçonnait d’infidélité et qu’elle voulait avoir des preuves. Elle m’a ensuite proposé la somme de 50 000 F CFA et une récompense surprise si je lui apportais des preuves tangibles. Elle m’a montré la photo de son mari, indiqué son lieu de travail, puis donné la couleur et le matricule de son véhicule. J’ai pris note et accepté la demande avant de m’y mettre.»
C’est ainsi, dit-il, qu’il s’est pointé à 17 heures au bureau du mari pour le suivre. Ce dernier, seul à bord de son véhicule, prend la direction de son domicile et rentre tranquillement. Latyr fait un compte rendu à sa patronne, lui signalant qu’il n’y avait rien de suspect.
Cette dernière, toujours soupçonneuse, lui ordonne de poursuivre sa mission. Latyr y retourne le lendemain à la même heure. Il surprend l’homme pendu au bout du fil pendant de longues minutes avant de démarrer, à bord de son véhicule. Contrairement à la veille, il récupère une femme avant de la conduire au restaurant. Le «Tiak Tiak» rend compte à sa patronne qui finira par confondre son mari, attablé au restaurant, en compagnie de sa maîtresse. Une violente dispute s’ensuivra. Oumy Ndiaye a fini par quitter le domicile conjugal.
Ramatoulaye Diop, jeune maman, a vécu la même déception. Pour son cas aussi, la comptable de profession a eu recours aux services d’un conducteur de moto Jakarta pour prendre sur le fait son mari, qu’elle trouvait subitement distant. Ce dernier, commerçant de profession, profitait des absences de sa femme pour recevoir ses maîtresses chez eux. «Depuis lors, il est envahi par la honte», savoure la dame.
Le troisième témoignage concerne Badara Fall, polygame. L’homme s’est décidé à recourir à l’espionnage pour être fixé sur la signification de l’attitude de sa deuxième épouse, qui se refusait à lui. «A chaque fois, elle me disait qu’elle était fatiguée et qu’elle avait des maux de tête. Cela m’a poussé à m’interroger», dit-il.
Avant de poursuivre : «J’ai affrété une moto Jakarta pour la suivre. Je l’ai suivie jusque dans ce restaurant où l’attendait un homme. Ils avaient l’air amoureux. J’étais dégoûté. A son retour à la maison, je l’ai mise devant les faits, et je l’ai répudiée.»
14 Commentaires
La VÉritÉ
En Août, 2023 (07:18 AM)Detective moko EUPEU khalisse
Je préfère etre detective
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En Août, 2023 (11:59 AM)il y a tout dans le telephone
au senegal de nos jours l infidélité est trés répandue au niveau des hommes comme chez les femmes.
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En Août, 2023 (11:23 AM)Nguess
En Août, 2023 (10:16 AM)Ana gni donne âme aye neevi
Irak : un soldat des forces françaises spéciales tué dans une opération antiterroriste
Le sergent Nicolas Mazier, membre du commando parachutiste de l’air n° 10, « appuyait une unité irakienne » sur le terrain.
Li Deh Ay Lépp Leu
En Septembre, 2023 (14:44 PM)Participer à la Discussion