La pilule a du mal à passer. L’interdiction de manifestation du gouverneur de Dakar allant de la période du 10 novembre au 5 décembre a soulevé l’ire des droits de l’hommistes. La Ligue sénégalaise des droits de l’homme, Amnesty Internationale, la Rencontre Africaine des droits de l’homme se sont indignés d’une telle mesure. « Nos organisations rappellent que s’il incombe à l’autorité administrative compétente de prendre les mesures qu’exige le maintien de l’ordre, elle doit concilier l’exercice de ce pouvoir avec le respect de la liberté de réunion et de manifestation consacrée et garantit par la Constitution », a souligné un communiqué signé conjointement des Ong. Ils estiment que le sommet de la Francophonie inscrit dans l’agenda de la République depuis plus d’un an ne saurait constituer un événement imprévisible de nature à justifier la suspension des libertés fondamentales
3 Commentaires
Sine
En Novembre, 2014 (08:25 AM)Xeme
En Novembre, 2014 (09:01 AM)Gabou
En Novembre, 2014 (09:04 AM)Participer à la Discussion