Amnesty International Sénégal et la Ligue Sénégalaise des Droits Humains (LSDH), soutenus par la Société Internationale des Droits de l’Homme (SIDH/ Sénégal), s’indignent de la mort, le 15 novembre, de Babacar Ndong dans une cellule de la brigade de la gendarmerie de Hann Yarakh, alors qu’il était en garde à vue et devait être présenté au Procureur le lundi 16 novembre 2015.
Dans un communiqué transmis à Seneweb, Amnesty International Sénégal, la Ligue Sénégalaise des Droits Humains (LSDH) et la Société Internationale des Droits de l’Homme (SIDH/Sénégal) demandent l’ouverture d’une information judiciaire qui ira jusqu’à son terme.
Ils expriment "leur inquiétude face à la récurrence des cas de décès ans lesquels les forces de sécurité sont indexées" et rappellent l’obligation des officiers et agents de forces de sécurité, de protéger toute personne détenue dans un lieu de privation de la liberté, contre elle-même et contre la torture.
3 Commentaires
Anonyme
En Novembre, 2015 (19:53 PM)Radar
En Novembre, 2015 (19:54 PM)Ça ressemble à un homicide maquillé en suicide.
Garde à vue pourrait être assimilé à une garde en vie des personnes arrêtées.
Babacar NGOM a commis un délit : d'accord. Il ne méritait pas de mourir.
La vie est sacrée. Les gendarmes et les policiers doivent respecter la vie et la dignité de tous les sénégalais .
A coup sur, Une autopsie indépendante montrera qu'il a été battu à mort.
Les auteurs de ce crime doivent être arrêtés et radiés de la Gendarmerie. Il ne faut pas les protéger .
Anonyme
En Novembre, 2015 (22:11 PM)Participer à la Discussion