
Si ceux qui sont censés soigner les
patients sont les plus mal en point, il n'y a qu'un pas à franchir pour
être à Belly Thiowi. Une localité au cœur de Matam, qui manque de tout.
Non, qui souffre de ses infrastructures de fortune. Une case de santé,
sans électricité, avec seulement deux aides soignantes qui, tout étant
des cas sociaux, sont obligées aussi, de faire dans le social. Aucune
trace de modernité. Pour les urgences médicales, il faudra repasser. En
sus des attentes qui durent des heures, la distance pour rallier la
capitale est calculée à la vingtaine de kilomètres. Si Fouta est
"Tampani" désormais, Belly Thiowy "Mayi". ou tout simplement est morte
pour paraphraser le défunt et talentueux journaliste, Abou Sy.
3 Commentaires
Karim$
En Novembre, 2021 (14:14 PM)Feuz
En Novembre, 2021 (14:30 PM)Participer à la Discussion