Une française de 70 ans nommée Laurence Puissant a comparu jeudi dernier devant le tribunal d’instance de Mbour. Elle est accusée d’exposition d’ordures sur la voie publique et d’injures publiques.
Selon Bés Bi, qui donne l’information, la plaignante est Hélène Lair, une autre Française, épouse du célèbre acteur Omar Sy. Voici l'exposé de son avocat : «Les époux Sy ont subi un préjudice : des gravats sont tombés dans leur maison, ce qui a été constaté par les éléments enquêteurs. Ces actes, commis par les maçons, sont imputables à la prévenue.» Pire, accuse Hélène Lair, Laurence Puissant lui aurait balancé à la figure «Vous êtes folle, retournez aux HLM», manifestement une référence aux origines modestes de Omar Sy.
Et ce n’est pas tout. «Elle [la mise en cause] a empiété sur le domaine maritime et a violé l’intimité de mes clients, enfonce l’avocat des Sy. Ils ont dû planter des arbres de 30 mètres et modifier ainsi leur plan. Je demande des dommages et intérêts de 20 millions.»
Pour la défense, Laurence Puissant serait plutôt la victime dans cette affaire. «La famille Puissant a un projet, Ocean Blue, de construction de 5 villas de luxe à 300 millions l’une. Mais leur voisin, un acteur hollywoodien [Omar Sy], ne veut pas de voisin. Ma cliente a alors reçu 25 arrêts de la Dscos [Direction de la surveillance et du contrôle de l'occupation du sol]. Tout ce que les Sy voulaient, c’est une vue sur la mer. Sinon, cette banale affaire de ciment n’aurait jamais atterri au tribunal.»
L’affaire est d’autant plus «banale» aux yeux de l’avocat que ses clients avaient pris le soin, selon Laurence Puissant, «d’enlever les tâches de ciment sur le mur» des Sy. La mise en cause est formelle : «Hélène est son époux sont contre notre projet. Ils ont tout fait pour nous bloquer. Nous avons reçu 25 arrêts de la Dscos suite à leurs plaintes. Mais l’Urbanisme est venu sur les lieux et a déclaré que nous avons respecté toutes les normes.»
Le tribunal se prononce le 26 septembre, selon Bés Bi.
18 Commentaires
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En Août, 2024 (13:03 PM)Reply_author
En Août, 2024 (13:15 PM)Et touché pas à terre.
Stop à La Colonisation Foncièr
En Août, 2024 (10:20 AM)Certains diront “ oui ces étrangers ont des documents légaux” et d’autres diront “ ces étrangers créent des emplois locaux” et d’autres leur trouveront d’autres prétextes pour justifier cette colonisation illégale du littoral sénégalais qui ne dit pas son nom. Certains étrangers se croient tellement puissants et supérieurs qu’ils se croient tout permis chez nous car se disant que tout s’achète au Sénégal et que tout sénégalais a un prix. Le mal est très profond et il y’a clairement un apartheid social dans bcp d’endroits où vivent ces étrangers européens qui se clament tous être des expatriés ou expats au lieu de se considérer comme des immigrés ou émigrés au Sénégal, mais c’est un autre sujet.
Des villes comme Saly, Toubab Jalaw, Ngaparou ou autres sont devenus de petites provinces françaises et même européennes avec des occupations illégales du foncier que l’état sénégalais doit faire cesser.
On ne parle que de la Corniche Ouest de Dakar mais ce qui se passe sur la Petite Côte est encore pire et cette bagarre au tribunal en est une parfaite illustration. Voir des français se crêper le chignon au tribunal pour “ la vue sur la mer ou les pieds dans l’eau “ sur des terres sur la Petite Côte au Sénégal est tout simplement surréaliste et vous savez très bien de quoi je parle.
Certains me taxeront de raciste et xénophobes mais j’en ai rien à branler puisque ce n’est pas le cas. Il s’agit ici de droits et d’occupation illégales mais aussi de l’avenir de notre littoral qui appartient à tous les sénégalais. Nous devons surtout penser aux générations futures qui risquent de se retrouver étranger chez eux au Sénégal.
Et nous ne devons en aucun cas céder le littoral sénégalais sous prétexte d’emplois locaux de misère qui sont temporaires et qui ne sont rien et ne représentent rien devant le patrimoine national.
Tous les pays soucieux de l’avenir des générations futures ne bradent jamais leurs terres aux étrangers et dans bcp de pays certaines zones sont inaccessibles aux étrangers qui n’ont le droit qu’à obtenir des baux mais jamais de titres fonciers.
Le domaine public maritime est inaliénable et imprescriptible, ce qui veut dire que nul ne peut se prévaloir d’un titre possessoire sur les terres en question par le fait d’une occupation prolongée. Donc même si ces étrangers brandissent des titres de propriété obtenus par la corruption, l’état du Sénégal ne doit pas laisser faire et doit reprendre toutes ces terres occupées illégalement pour les remettre dans le patrimoine national pour les générations futures. Il faut aussi que nos fonctionnaires des impôts et domaines arrêtent de participer aux pillages du foncier national et que nos compatriotes arrêtent de vendre leurs âmes aux diables pour des emplois locaux de misère.
Le prétexte aujourd’hui pour brader les terres est de dire “ oui ces étrangers vont créer des emplois” et on leur cède des ha qu’ils vont découper en petits morceaux pour les revendre à prix d’or. Il y’a récemment un maire d’une commune rurale du Sénégal qui a voulu céder plus de 5000 m2 à des indiens sous prétexte que ces derniers vont y installer une usine de production du sel qui va créer 300 emplois. Donc cet idiot va échanger 5000 m2 contre 300 emplois !
Bref, cette bagarre judiciaire est une illustration de la colonisation foncière rampante de notre littoral que nous citoyens devons faire cesser immédiatement car le littoral est un patrimoine national qui doit être accessible en permanence à tous les sénégalais et en particulier aux générations futures. Sénégalais ou étrangers, personne ne doit occuper notre littoral !
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En Août, 2024 (10:31 AM)Le texte est magnifiquement bien écrit. C’est plaisir de vous lire.
Merci
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En Août, 2024 (10:50 AM)Excellente contribution, j'aime bien.
Vous m'avez marché sur la langue. Ce qui se passe sur nos terres du DPM est incroyable, inadmissible et inacceptable.
Diomaye et Sonko doivent faire cesser ces occupations sauvages, illégales et sanctionner tous les fonctionnaires corrompus des Domaines qui ont participé à ce pillage de notre DPM
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En Août, 2024 (12:27 PM)Les citoyens sénégalais peuvent acheter des propriétés en france et ne s'en privent pas quand ils sont de familles aisées. Donc pour moi, il n'y a aucun problème à ce que des citoyens français achètent une maison au sénégal. Je parle de particuliers.
Pour l'inde en revanche ça me dérange vraiment car le pays interdit aux sénégalais d'acheter une propriété en inde et pourtant nous autorisons des ventes. Pourquoi les indiens auraient ils des droit chez nous qu'ils nojs refusent chez eux. Notre gouvernement doit exiger l'égalité de traitement auprès de l'inde ou alors établir une liste de pays dans lesquels les citoyens sénégalais ne peuvent pas acheter et leur interdire d'acheter également jusqu'à ce que leurs gouvernements modifient leurs règles. Il faut savoir se faire respecter.
#sos Littoral - Pour La Sauveg
En Décembre, 2024 (09:16 AM)Pour preuve: Le SACCAGE du Domaine Public Maritime de Ngaparou
Comment en est-on arrivé là !?
Comment peut-on encore imaginer qu’aujourd’hui encore, en 2024, on ose la vandalisation du Domaine Public Maritime (DPM) qui n’est toujours pas protégé ?
Son bradage sous les précédents magistères, le pillage du foncier du littoral cédé à des carnassiers pleins aux as, irrespectueux de nos lois et des populations locales, ont détruit des pans entiers de la Petite Côte colonisée d’insolentes villas de luxe les pieds dans l’eau.
Comment croire qu’il puisse encore se trouver des administrateurs de biens publics qui délivrent encore des autorisations de « détruire » des plages, au détriment de nos générations présentes et futures…
La profanation du littoral de Ngaparou est observée sur toute sa longueur. Avec un phénomène sidérant d’accélération depuis 2020, de constructions sur son ESTRAN, zone des marées et partie existentielle de la plage, immergée à marée haute.
Au delà des périls géologiques, écologiques et environnementaux qu’elles induisent, ces constructions illégitimes d’immeubles et de villas cossues sur un bien public inaliénable et imprescriptible, engloutissent le peu de plage qui subsiste avec l’inéluctable montée des eaux marines sur ce sanctuaire qu’est le Domaine Public Maritime DPM.
Quand elles subsistent, les anciennes constructions, faites de cabanons sur la plage et de petites villas sur le Domaine National, à la lisière du DPM d’alors, sont aujourd’hui la proie de prédateurs immobiliers sans conscience qui les rachètent pour les transformer en opulentes villas s’étalant souvent sur plus d’un millier de mètres carrés et débordant largement sur le rivage : servitude perpétuelle non aedificandi. Leur emprise illégale sur le bord de mer empêche toute circulation sereine sur les vestiges d’une plage devenue moribonde. Les jeux de plage des enfants du pays sont impossibles. Les promeneurs et autres passants éventuels, spoliés de leur droit d'usage qui appartient à tous sur ces parties de ce domaine affectées au public, se fracassent sur les rochers disposés en contrebas des clôtures bétonnées de ces bâtiments.
Cette agression se retrouve également sur la fermeture de la façade maritime de Ngaparou, par extorsion des voies publiques, tels que les chemins de plage ou chemins des charrettes. Ces indispensables passages vers l’océan sont abusivement intégrés dans ces bâtiments, sinon réduites à un ridicule couloir exigü d’une quarantaine de mètres, et qui servent accessoirement de déversoir des eaux usées de ces insolentes habitations. Ces ridicules passages pour à peine une personne, privent ainsi pêcheurs, passants et promeneurs de leur droit d’accès libre à la mer et de la vue dégagée sur le littoral.
Pour rappel, s’il en est, la LOI N° 76-66 DU 2 JUILLET 1976 portant Code du domaine de l’Etat préserve le caractère inaliénable et imprescriptible du Domaine Public Maritime:
les permissions de voirie du DPM délivrées à titre personnel, essentiellement précaire et révocable n'autorisent que des installations légères démontables ou mobiles, n'emportant pas emprise importante du domaine public ou modification de son assiette.
Cela n’est pas le cas sur le littoral de Ngaparou, qui n’a quasiment plus de plage.
Qu’est ce qui justifie un tel carnage ?!
En juillet 2024, il a été dénoncé à l’autorité en charge du contrôle de l’occupation du sol la construction d’un bâtiment d’envergure (un de plus) depuis près d’un an sur la plage de Ngaparou, en violation de toutes les dispositions règlementaires relatives à une occupation sur le Domaine Public Maritime DPM.
Le contrôle sur place a relevé que le maitre d’ouvrage ne disposait d’aucune autorisation de construire, et face à ce délit, il s’est vu délivrer une sommation d’arrêt immédiat des travaux.
….4 mois plus tard, les travaux ont repris en catimini….Surprise: le propriétaire de cette parcelle inaliénable et imprescriptible est subitement détenteur d’une autorisation de construire….a posteriori…!!
Le malfrat dispose d’un permis de violer nos droits.
Le citoyen qui veut faire valoir nos droits est débouté.
Désespérant. Voilà comment on en arrive là !!
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En Août, 2024 (10:38 AM)Le Monsieur a bien raison de dénoncer la colonisation foncière des étrangers avec la complicité des alternoceurs que vous êtes.
Oui stop à la colonisation foncière !
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En Août, 2024 (10:52 AM)C'est inadmissible de voir des sénégalais défendre ces corrompus qui ont pillé et saccagé notre foncier
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En Août, 2024 (14:15 PM)Tieymawarou
En Août, 2024 (11:52 AM)TIEY SOUNIOU DEUKEU, LOU NEKH WAY DEFF.. ETRANGERS YANGUI DIEUNDEU REKK SOUNIOU SOUFF YI.. JE CONNAIS DES TOGOLAISES, GUINEENES, SIERRA LEONAISES ET DES PORTUGUAIS, ISRELIENS YOU NIOW SENEGAL TABAKH, DIEUNDEU AYE HECTARES ET HECTARES... LA DERNIERE FOIS JAI RENCONTRE UNE FEMME MAURITANIENNE BLANCHE, SON MARI EST MINISTRE EN MAURITANIE, ELLE REVENAIT DE LA PETITE COTE ME DISANT QUILS ONT DEUX MAISONS DE 500 METRES CARRES, L'UNE POUR EUX ET L'AUTRE AUSSI POUR EUX MAIS LOUEE A UN COUPLE FRANCAIS.. NIOUN FOUNIOU DIEUM.. NDEYSANN
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En Août, 2024 (11:56 AM)@thieymawarou
En Août, 2024 (12:05 PM)Reply_author
En Août, 2024 (14:52 PM)Par contre il faudra faire attention aux investissements etrangers sans traçabilité des fonds, car malheureusement, il y a beaucoup de politiciens, fonctionnaires originaires de la sous région qui viennent investir de l'argent détourné dans le secteur immobilier du Senegal, sans regarder les prix, ou négocier et malheureusement c'est du blanchiment d'argent, et ceci a comme conséquence une hausse injustifié des prix de l'immobiler qui ne sont plus accessibles à la plupart des senegalais,, ou étrangers travaillant ou vivant au Senegal..... Il n'est pas normal que le prix de l'immobilier soit beaucoup plus cher au Senegal, qu'en Côte d'Ivoire, au Maroc, en Afrique du Sud, et même que dans beaucoup de pays asiatiques ou européens.....alors que e niveau de vie est beaucoup plus faible au Senegal que dans ces pays.
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En Août, 2024 (12:22 PM)Reply_author
En Août, 2024 (12:58 PM)Yaya
En Août, 2024 (12:03 PM)On est fier de toi Omar Sy pour ce que tu fais pour le Sénégal et pour l'Afrique..!
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En Août, 2024 (12:37 PM)Reply_author
En Septembre, 2024 (15:19 PM)Patriote
En Août, 2024 (13:30 PM)Vous ne savez meme pas a qui vous avez affaires. Mme Sy est une fraude de premiere! Elle utilise le capital sympathie de son acteur de mari et de son patronyme Sénégalais pour vous rouler dans la farine. J'espère que le projet Ocean aura lieu. Des emplois pour nos jeunes artisans Mbourois et de l'argent qui restera au senegal!
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En Août, 2024 (14:21 PM)Reply_author
En Août, 2024 (16:08 PM)Reply_author
En Août, 2024 (22:01 PM)Tamitdk
En Septembre, 2024 (01:29 AM)Je trouve Omar Sy a raison de faire arrêter le projet de de cette famille puissant qui récolte des millard et les bouffent en France .
Ce n’est pas une question de racisme ou anti Français car moi même je suis français mais surtout de bon sens et de logique.
Il y a absence d’éthique au Sénégal les gens ne voient que l’argent , millards et le reste ne compte pas .
C’est pas normal ce projet de 5 villas point barre
#sos Littoral - Pour La Sauveg
En Décembre, 2024 (09:21 AM)Pour preuve: Le SACCAGE du Domaine Public Maritime de Ngaparou
Comment en est-on arrivé là !?
Comment peut-on encore imaginer qu’aujourd’hui encore, en 2024, on ose la vandalisation du Domaine Public Maritime (DPM) qui n’est toujours pas protégé ?
Son bradage sous les précédents magistères, le pillage du foncier du littoral cédé à des carnassiers pleins aux as, irrespectueux de nos lois et des populations locales, ont détruit des pans entiers de la Petite Côte colonisée d’insolentes villas de luxe les pieds dans l’eau.
Comment croire qu’il puisse encore se trouver des administrateurs de biens publics qui délivrent encore des autorisations de « détruire » des plages, au détriment de nos générations présentes et futures…
La profanation du littoral de Ngaparou est observée sur toute sa longueur. Avec un phénomène sidérant d’accélération depuis 2020, de constructions sur son ESTRAN, zone des marées et partie existentielle de la plage, immergée à marée haute.
Au delà des périls géologiques, écologiques et environnementaux qu’elles induisent, ces constructions illégitimes d’immeubles et de villas cossues sur un bien public inaliénable et imprescriptible, engloutissent le peu de plage qui subsiste avec l’inéluctable montée des eaux marines sur ce sanctuaire qu’est le Domaine Public Maritime DPM.
Quand elles subsistent, les anciennes constructions, faites de cabanons sur la plage et de petites villas sur le Domaine National, à la lisière du DPM d’alors, sont aujourd’hui la proie de prédateurs immobiliers sans conscience qui les rachètent pour les transformer en opulentes villas s’étalant souvent sur plus d’un millier de mètres carrés et débordant largement sur le rivage : servitude perpétuelle non aedificandi. Leur emprise illégale sur le bord de mer empêche toute circulation sereine sur les vestiges d’une plage devenue moribonde. Les jeux de plage des enfants du pays sont impossibles. Les promeneurs et autres passants éventuels, spoliés de leur droit d'usage qui appartient à tous sur ces parties de ce domaine affectées au public, se fracassent sur les rochers disposés en contrebas des clôtures bétonnées de ces bâtiments.
Cette agression se retrouve également sur la fermeture de la façade maritime de Ngaparou, par extorsion des voies publiques, tels que les chemins de plage ou chemins des charrettes. Ces indispensables passages vers l’océan sont abusivement intégrés dans ces bâtiments, sinon réduites à un ridicule couloir exigü d’une quarantaine de mètres, et qui servent accessoirement de déversoir des eaux usées de ces insolentes habitations. Ces ridicules passages pour à peine une personne, privent ainsi pêcheurs, passants et promeneurs de leur droit d’accès libre à la mer et de la vue dégagée sur le littoral.
Pour rappel, s’il en est, la LOI N° 76-66 DU 2 JUILLET 1976 portant Code du domaine de l’Etat préserve le caractère inaliénable et imprescriptible du Domaine Public Maritime:
les permissions de voirie du DPM délivrées à titre personnel, essentiellement précaire et révocable n'autorisent que des installations légères démontables ou mobiles, n'emportant pas emprise importante du domaine public ou modification de son assiette.
Cela n’est pas le cas sur le littoral de Ngaparou, qui n’a quasiment plus de plage.
Qu’est ce qui justifie un tel carnage ?!
En juillet 2024, il a été dénoncé à l’autorité en charge du contrôle de l’occupation du sol la construction d’un bâtiment d’envergure (un de plus) depuis près d’un an sur la plage de Ngaparou, en violation de toutes les dispositions règlementaires relatives à une occupation sur le Domaine Public Maritime DPM.
Le contrôle sur place a relevé que le maitre d’ouvrage ne disposait d’aucune autorisation de construire, et face à ce délit, il s’est vu délivrer une sommation d’arrêt immédiat des travaux.
….4 mois plus tard, les travaux ont repris en catimini….Surprise: le propriétaire de cette parcelle inaliénable et imprescriptible est subitement détenteur d’une autorisation de construire….a posteriori…!!
Le malfrat dispose d’un permis de violer nos droits.
Le citoyen qui veut faire valoir nos droits est débouté.
Désespérant. Voilà comment on en arrive là !!
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