À la veille du 13 mars, date fixée pour la régularisation du secteur des deux-roues, une bonne partie des conducteurs de moto éprouvent d’énormes difficultés pour être en règle.
Ainsi ils réclament une prolongation de trois mois pour disposer du permis de conduire et de la plaque d’immatriculation.
Cette disposition de l’État, rappelons-le, s’inscrit dans une vaste opération de régularisation visant à mettre fin à l'anarchie qui gangrène ce secteur et à renforcer la sécurité routière.
La plupart des motocyclistes rencontrés évoquent des difficultés à avoir le Certificat de mise en circulation (CMC), un acte de vente légalisée en bonne et due forme, entre autres papiers. Même si l’immatriculation est gratuite, les propriétaires des deux-roues sont obligés de débourser au minimum 25 000 F CFA pour l’obtention de certains papiers, nous souligne une source bien renseignée.
Les motocyclistes jugent la mesure légitime, mais estiment toutefois que l’État doit leur donner du temps pour pouvoir disposer de tous les documents administratifs. «Nous sommes pour la régularisation du secteur des deux roues, mais les temps sont durs. La majeure partie des conducteurs peinent à joindre les deux bouts. Nous sollicitons une prolongation de trois mois pour nous permettre d’être en règle avec la loi», a indiqué Mbaye Ka, le président de l’Association de conducteurs de moto-Jakarta de Dahra.
La date du 13 mars fixée par les autorités arrive à expiration demain, mais beaucoup de conducteurs de moto ne se sont pas encore présentés devant les commissions techniques du service des mines, faute de moyens financiers et documents administratifs au complet, a souligné M. Ka.
Cette disposition de l’État, rappelons-le, s’inscrit dans une vaste opération de régularisation visant à mettre fin à l'anarchie qui gangrène ce secteur et à renforcer la sécurité routière.
La plupart des motocyclistes rencontrés évoquent des difficultés à avoir le Certificat de mise en circulation (CMC), un acte de vente légalisée en bonne et due forme, entre autres papiers. Même si l’immatriculation est gratuite, les propriétaires des deux-roues sont obligés de débourser au minimum 25 000 F CFA pour l’obtention de certains papiers, nous souligne une source bien renseignée.
Les motocyclistes jugent la mesure légitime, mais estiment toutefois que l’État doit leur donner du temps pour pouvoir disposer de tous les documents administratifs. «Nous sommes pour la régularisation du secteur des deux roues, mais les temps sont durs. La majeure partie des conducteurs peinent à joindre les deux bouts. Nous sollicitons une prolongation de trois mois pour nous permettre d’être en règle avec la loi», a indiqué Mbaye Ka, le président de l’Association de conducteurs de moto-Jakarta de Dahra.
La date du 13 mars fixée par les autorités arrive à expiration demain, mais beaucoup de conducteurs de moto ne se sont pas encore présentés devant les commissions techniques du service des mines, faute de moyens financiers et documents administratifs au complet, a souligné M. Ka.
5 Commentaires
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Même si on prolonge de 1 an, beaucoup ne vont pas régulariser. Comment régulariser une moto qui n'a aucun papier, avec un vendeur inconnu? Faut être sérieux et strict. Il faut nous débarrasser de toutes ces motos une bonne fois pour toute.
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Signalier
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il y a 8 heures (15:23 PM)La priorité pour l'instant ce sont les voleurs de milliards de nos deniers publiques.
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