
Il a exprimé ce sentiment au terme d’une visite de la base de chantier où sont stockés les rochers destinés à protéger le littoral et de la zone d’approvisionnement.
Sur place, il a d’abord eu droit aux exposés des experts et du coordonnateur du projet.
L’ambassadeur de France a beaucoup insisté sur son acceptabilité par les populations pour sa réussite sur la base d’une expérience acquise lors de son passage dans un ministère en France en tant qu’expert en communication.
"Saint-Louis étant classée patrimoine mondial de l’Unesco, tout ce qui s’y fait intéresse les chercheurs au plan international, et cela les responsables du projet doivent l’avoir en tête", a-t-il dit.
"Nous devons prendre conscience de l’intérêt suscité par ce projet qui constitue un cas d’école au plan international", a renchéri le diplomate.
Selon l’Agence de développement communal, la mise en œuvre de ce projet lancé en mars 2020 pour une durée de 24 mois, devrait contribuer à protéger rapidement les populations et les biens des quartiers situés sur la Langue de Barbarie du risque d’érosion côtière et contribuer à l’amélioration des connaissances scientifiques sur les enjeux côtiers et à leur diffusion.
Le projet accompagnera les pêcheurs à aménager des sites de débarquement à Goxou Mbathie et à Hydrobase, ajoute l’agence dans un document.
Elle souligne que pour le volet communication, une sensibilisation sera menée sur les risques côtiers afin notamment de faire le lien avec les autres projets en cours ou à venir à Saint-Louis.
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