Le chef de l’Etat, Macky Sall, a insisté, jeudi en conseil des ministres, sur ''la nécessité d’une transparence absolue'' dans la gestion des fonds collectés pour venir en aide aux sinistrés.Dans le communiqué du conseil des ministres, le président de la République a souligné ''l’obligation faite de publier la liste des donateurs et de faire un compte rendu exhaustif des dépenses engagées'' pour venir en aide aux sinistrés. Macky Sall a, selon le texte, ''tenu, à nouveau, à saluer l’exceptionnel élan de solidarité des Sénégalais envers les sinistrés des inondations, à qui ils continuent d’apporter un précieux soutien financier, matériel et moral''.
Le chef de l’Etat ''a insisté sur la nécessité de planifier et de programmer des mesures adéquates pour trouver des solutions définitives'' aux inondations. Il ''a considéré qu’il incombe à l’État, en de pareilles circonstances, de prendre toutes les dispositions pour sauvegarder l’intégrité physique des populations et ensuite veiller à leur trouver des sites de'' relogement, rapporte le communiqué. Le chef de l’Etat ''a, en conséquence, donné des instructions au Premier ministre [Abdoul Mbaye] pour la mise sur pied d’un dispositif unique de coordination et de suivi des actions menées dans les zones inondées''. ''Le président de la République a constaté que ces inondations ont montré la nécessité d’une articulation, dans une approche globale, de la gestion des eaux pluviales, de la politique foncière, de l’aménagement des infrastructures et de l’habitat, et de la gestion des réseaux d’assainissement'', mentionne le communiqué.
Il a annonce que le président Sall ''a attiré l’attention sur la nécessité de mettre en place une politique d’habitat social efficiente, qui doit tenir compte d’une nouvelle politique urbaine''. A cet égard, poursuit la même source, ''il a demandé au Premier ministre de faire recenser de façon exhaustive, dans le périmètre des régions de Dakar et de Thiès, l’assiette encore disponible pour abriter les projets d’habitat'', en vue de ''la création de nouveaux pôles urbains''. Macky Sall a aussi demandé au Premier ministre Abdoul Mbaye de ''faire désormais appliquer rigoureusement toutes les prescriptions en matière de lotissement, d’urbanisme, de construction et d’habitat''. ''En ce qui concerne en particulier la sécurité dans le domaine aéroportuaire'', il a recommandé à M. Mbaye ''de faire prendre les mesures que la situation des risques impose''.
14 Commentaires
60 Millions Caisse Noire?
En Septembre, 2012 (22:27 PM)Pert
En Septembre, 2012 (22:30 PM)Zep
En Septembre, 2012 (22:41 PM)Avis
En Septembre, 2012 (23:07 PM)pourquoi st ils mal vu ds la societe senegalaise. Aidez moi a comprendre, merci
@avis
En Septembre, 2012 (23:18 PM)Repugnant
En Septembre, 2012 (23:21 PM)Wakeur Doctor
En Septembre, 2012 (23:27 PM)Jknj
En Septembre, 2012 (23:40 PM)Le Révolutionnaire
En Septembre, 2012 (23:43 PM)@ Avis
En Septembre, 2012 (00:17 AM)Les cap verdiens , nes et vivant au Senegal , sont tres differents de ceux des USA , de Rhodes Island , etc...
Je suis sorti avec une gonzesse de cette clique , et j'en connais des choses . Aussi , si t'es musulmane , mefies toi , des promesses de se convertir plus tard a l'islam ! Des exemples malheureux , j'en ai vu plusieurs fois en Europe, en Amerique du Nord , et ailleurs ! Tot ou tard tu retourneras a ton Createur , et les plaisirs ephemeres
de cette vie , ne sont que temporaires. Tu peux vivre , connaitre et jouir un amour vrai , beau et tres satsfaisant
avec un senegalais comme toi , crois moi . La recherche et l'attente d' une occasion favorable en vaut la chandelle . Plus tard , lorsque la vieillesse t'enveloppera , tu seras plus sereine au milieu des tiens...WASSALAM..
Zale
En Septembre, 2012 (00:36 AM)"Non seulement les Etats-Unis ont livré à Kadhafi ses ennemis sur un plateau, mais il semble que la CIA en ait d'abord torturé de nombreux", écrit Laura Pitter, auteur du rapport de l'ONG, selon laquelle "l'étendue des abus commis par l'administration Bush semble bien plus vaste que jusqu'à présent reconnu, ce qui démontre l'importance d'une enquête approfondie".
Selon le rapport, plusieurs membres du "Groupe islamique de combat libyen", mouvement soupçonné de liens avec Al-Qaïda qui avait par la suite rejoint le soulèvement anti-Kadhafi, ont été arrêtés dans le cadre de la "guerre contre le terrorisme" lancée par l'administration Bush dans la foulée des attentats du 11 septembre 2001.
Au moins cinq ont assuré avoir subi de "graves sévices" dans deux centres de détention qui auraient été tenus par la CIA en Afghanistan, notamment des "simulacres de noyade et autres tortures à l'eau".
D'autres ont été enchaînés pendant des semaines ou des mois, battus, projetés contre des murs ou empêchés de dormir en étant soumis à de la musique occidentale jouée à plein régime, selon les témoignages recueillis par HRW.
Un de ces détenus, Khalid al-Sharif, est aujourd'hui chef de la garde nationale libyenne.
La CIA n'a pas confirmé ni infirmé le fait que des détenus libyens aient pu être torturés. Mais l'agence de renseignement américaine a précisé que le ministère de la Justice avait examiné les dossiers de dizaines de suspects pour voir comment ils avaient été traités. A la suite de cette enquête, aucune poursuite n'avait été lancée.
"Même si nous ne pouvons pas commenter ces affirmations, le ministère de la Justice s'est penché attentivement sur les traitements infligés à plus de 100 détenus dans la période qui a suivi le 11-Septembre, notamment sur les techniques d'interrogatoires interdites, et il n'a engagé aucune poursuite", s'est borné à déclarer le porte-parole de la CIA John Tomczyk.
Le rapport se fonde sur des documents découverts début septembre 2011 après la chute de Tripoli dans le bureau de Moussa Koussa, ancien chef des services secrets libyens, précise HRW.
Après la découverte de ces documents, Abdelhakim Belhaj, ancien jihadiste devenu commandant militaire de Tripoli après la chute de Kadhafi, avait accusé l'ancien gouvernement britannique de Tony Blair d'avoir autorisé en 2004 les services secrets britanniques à donner à la CIA les informations permettant de le livrer au régime du dictateur libyen, qui l'a ensuite torturé.
L'administration républicaine de George W. Bush avait reconnu avoir utilisé des simulacres de noyade sur trois détenus arrêtés après le 11-Septembre, affirmant que cette pratique était nécessaire pour obtenir des renseignements permettant de prévenir de nouvelles attaques.
Le président Barack Obama a fait mettre un terme à ces pratiques après son arrivée à la Maison Blanche en 2009, les qualifiant de torture.
Geranium
En Septembre, 2012 (03:03 AM)Wa salam
Peuls,
En Septembre, 2012 (08:01 AM)Jean Lefebvre
En Septembre, 2012 (09:56 AM)Participer à la Discussion