Un coup de filet à l'actif des policiers du commissariat des Parcelles-Assainies qui ont démantelé un trafic de faux billets de banque. Selon des informations exclusives de Seneweb, les hommes du commissaire Balla Kébé ont fait tomber un marabout guinéen qui détenait par devers lui une valeur de plus de 3 millions francs cfa. Détails !
Le sieur Condé.A risque gros ! Ce ressortissant guinéen s'activant dans le faux monnayage a été présenté au procureur ce vendredi matin.
Le faussaire âgé d'une trentaine d'années a eu la malchance de tomber dans les filets des policiers du commissariat des Parcelles-Assainies.
Les limiers ont reçu un renseignement relatif à la présence d’un individu de nationalité étrangère qui s’adonnait au trafic de faux billets de banque à l’Unité 26.
C'est suite à cette information qu'une mission a été donnée aux éléments de la brigade de recherches dudit service de démanteler cette entreprise délictuelle.
A l'issue d'une longue filature, les hommes du commissaire Kébé ont surpris le marabout incriminé dans un salon de coiffure d'après des sources de Seneweb proches du parquet.
La perquisition effectuée au domicile de ce ressortissant guinéen, à l'unité 26 , s'est révélée fructueuse. Les policiers ont découvert, dans sa chambre, un sachet contenant trois lots constitués de papier blanc noirci découpé en format de billets de banque de dix-mille-francs. Le tout représenté une valeur de trois-millions-cent-dix-mille-francs , un linceul ainsi qu’un lot de chapelets de long format.
Soumis à un interrogatoire dans les locaux du commissariat puis entendu sur procès-verbal, Condé. A a reconnu son statut de faux-monnayeur d'après nos sources.
4 Commentaires
Aussi bien dans l'affaire feu Thione Seck, Bougazelli que dans cette affaire il s'agit de coupures de papier découpés au format de billet de banque et noircis par une substance. Ces coupures n'ont aucune imitation des signes graphiques ou de sécurité figurant sur les billets authentiques.
La fausse monnaie imite toutes les caractéristiques d'un vrai billet de banque : qualité du papier, images , hologramme, signatures , dispositifs de sécurité etc. L'objectif du faussaire est de faire passer son imitation comme un billet authentique. Ses chances de berner les gens augmentent avec le degré de perfection de l'imitation.
Tandis dans les cas ci-dessus l'objectif est de faire croire que le papier noirci découpé au format d'un billet peut être lavé par un liquide dit révélateur. Ici le détenteur d'un paquet de ces papiers à format cherche à convaincre le pigeon d'acheter le paquet de papier noirci et le révélateur. (Généralement, ils parlent de mercure ) .
Cette situation s'analyse comme un ensemble de manœuvres préparatoires à une escroquerie. Le faux billet. Le faux billet n'existe pas à ce stade. Le vrai faux billet est vendu prêt à être utilisé frauduleusement sur le marché.
Ces gens présentés par la presse comme des faussaires ne le sont pas. Ce sont des escrocs qui exploitent la crédulité, la cupidité de personnes qui croient au pouvoir surnaturel de charlatans capables de les enrichir via leur complicité avec des djinns.
Les faussaires exercent leurs talents dans l'art ( imitation de tableaux de maîtres) , dans les technologies ( imitation de pièces de véhicules et même d'avion) . Ils proposent à la vente un produit fini, tandis que le charlatan propose des produits pour fabriquer des faux billets tout en sachant qu'il n'a que du papier brut découpé à format et un produit bidon censé laver ce papier qui va devenir un billet.
Ce n'est pas la même chose et au pénal, le traitement judiciaire est différent.
Aussi bien dans l'affaire feu Thione Seck, Bougazelli que dans cette affaire il s'agit de coupures de papier découpés au format de billet de banque et noircis par une substance. Ces coupures n'ont aucune imitation des signes graphiques ou de sécurité figurant sur les billets authentiques.
La fausse monnaie imite toutes les caractéristiques d'un vrai billet de banque : qualité du papier, images , hologramme, signatures , dispositifs de sécurité etc. L'objectif du faussaire est de faire passer son imitation comme un billet authentique. Ses chances de berner les gens augmentent avec le degré de perfection de l'imitation.
Tandis dans les cas ci-dessus l'objectif est de faire croire que le papier noirci découpé au format d'un billet peut être lavé par un liquide dit révélateur. Ici le détenteur d'un paquet de ces papiers à format cherche à convaincre le pigeon d'acheter le paquet de papier noirci et le révélateur. (Généralement, ils parlent de mercure ) .
Cette situation s'analyse comme un ensemble de manœuvres préparatoires à une escroquerie. Le faux billet. Le faux billet n'existe pas à ce stade. Le vrai faux billet est vendu prêt à être utilisé frauduleusement sur le marché.
Ces gens présentés par la presse comme des faussaires ne le sont pas. Ce sont des escrocs qui exploitent la crédulité, la cupidité de personnes qui croient au pouvoir surnaturel de charlatans capables de les enrichir via leur complicité avec des djinns.
Les faussaires exercent leurs talents dans l'art ( imitation de tableaux de maîtres) , dans les technologies ( imitation de pièces de véhicules et même d'avion) . Ils proposent à la vente un produit fini, tandis que le charlatan propose des produits pour fabriquer des faux billets tout en sachant qu'il n'a que du papier brut découpé à format et un produit bidon censé laver ce papier qui va devenir un billet.
Ce n'est pas la même chose et au pénal, le traitement judiciaire est différent.
Aussi bien dans l'affaire feu Thione Seck, Bougazelli que dans cette affaire il s'agit de coupures de papier découpés au format de billet de banque et noircis par une substance. Ces coupures n'ont aucune imitation des signes graphiques ou de sécurité figurant sur les billets authentiques.
La fausse monnaie imite toutes les caractéristiques d'un vrai billet de banque : qualité du papier, images , hologramme, signatures , dispositifs de sécurité etc. L'objectif du faussaire est de faire passer son imitation comme un billet authentique. Ses chances de berner les gens augmentent avec le degré de perfection de l'imitation.
Tandis dans les cas ci-dessus l'objectif est de faire croire que le papier noirci découpé au format d'un billet peut être lavé par un liquide dit révélateur. Ici le détenteur d'un paquet de ces papiers à format cherche à convaincre le pigeon d'acheter le paquet de papier noirci et le révélateur. (Généralement, ils parlent de mercure ) .
Cette situation s'analyse comme un ensemble de manœuvres préparatoires à une escroquerie. Le faux billet. Le faux billet n'existe pas à ce stade. Le vrai faux billet est vendu prêt à être utilisé frauduleusement sur le marché.
Ces gens présentés par la presse comme des faussaires ne le sont pas. Ce sont des escrocs qui exploitent la crédulité, la cupidité de personnes qui croient au pouvoir surnaturel de charlatans capables de les enrichir via leur complicité avec des djinns.
Les faussaires exercent leurs talents dans l'art ( imitation de tableaux de maîtres) , dans les technologies ( imitation de pièces de véhicules et même d'avion) . Ils proposent à la vente un produit fini, tandis que le charlatan propose des produits pour fabriquer des faux billets tout en sachant qu'il n'a que du papier brut découpé à format et un produit bidon censé laver ce papier qui va devenir un billet.
Ce n'est pas la même chose et au pénal, le traitement judiciaire est différent.
Aussi bien dans l'affaire feu Thione Seck, Bougazelli que dans cette affaire il s'agit de coupures de papier découpés au format de billet de banque et noircis par une substance. Ces coupures n'ont aucune imitation des signes graphiques ou de sécurité figurant sur les billets authentiques.
La fausse monnaie imite toutes les caractéristiques d'un vrai billet de banque : qualité du papier, images , hologramme, signatures , dispositifs de sécurité etc. L'objectif du faussaire est de faire passer son imitation comme un billet authentique. Ses chances de berner les gens augmentent avec le degré de perfection de l'imitation.
Tandis dans les cas ci-dessus l'objectif est de faire croire que le papier noirci découpé au format d'un billet peut être lavé par un liquide dit révélateur. Ici le détenteur d'un paquet de ces papiers à format cherche à convaincre le pigeon d'acheter le paquet de papier noirci et le révélateur. (Généralement, ils parlent de mercure ) .
Cette situation s'analyse comme un ensemble de manœuvres préparatoires à une escroquerie. Le faux billet. Le faux billet n'existe pas à ce stade. Le vrai faux billet est vendu prêt à être utilisé frauduleusement sur le marché.
Ces gens présentés par la presse comme des faussaires ne le sont pas. Ce sont des escrocs qui exploitent la crédulité, la cupidité de personnes qui croient au pouvoir surnaturel de charlatans capables de les enrichir via leur complicité avec des djinns.
Les faussaires exercent leurs talents dans l'art ( imitation de tableaux de maîtres) , dans les technologies ( imitation de pièces de véhicules et même d'avion) . Ils proposent à la vente un produit fini, tandis que le charlatan propose des produits pour fabriquer des faux billets tout en sachant qu'il n'a que du papier brut découpé à format et un produit bidon censé laver ce papier qui va devenir un billet.
Ce n'est pas la même chose et au pénal, le traitement judiciaire est différent.
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