En donnant rendez-vous à un contact dans son salon de coiffure à Yoff Apecsy pour une livraison de «volet», cet ecstasy qui fait des ravages chez les jeunes, Anta Seck ne savait pas qu’elle avait affaire à un policier de l’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS). Un agent infiltré.
Arrivé sur les lieux, ce dernier a décliné son identité et sa fonction avant que ses collègues, planqués non loin, fassent leur apparition. D’après Libération, qui donne l’information, la fouille du salon de coiffure a permis aux policiers de découvrir 30 comprimés de volet cachés dans un tee-shirt.
Le journal rapporte que lorsque Anta Seck a été interrogée sur l’origine de la drogue, elle a directement désigné un célèbre dealer comme étant son employeur, le parrain du trafic de volet à Dakar. Un individu identifié et activement recherché par l’OCRTIS.
Anta Seck a ajouté lors de son audition qu’elle vendait les comprimés à 3500 francs CFA l’unité sans savoir que c’était de la drogue.
Arrivé sur les lieux, ce dernier a décliné son identité et sa fonction avant que ses collègues, planqués non loin, fassent leur apparition. D’après Libération, qui donne l’information, la fouille du salon de coiffure a permis aux policiers de découvrir 30 comprimés de volet cachés dans un tee-shirt.
Le journal rapporte que lorsque Anta Seck a été interrogée sur l’origine de la drogue, elle a directement désigné un célèbre dealer comme étant son employeur, le parrain du trafic de volet à Dakar. Un individu identifié et activement recherché par l’OCRTIS.
Anta Seck a ajouté lors de son audition qu’elle vendait les comprimés à 3500 francs CFA l’unité sans savoir que c’était de la drogue.
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