L’organisateur de combat de lutte Albourakh Events a clôturé sa saison le 21 juillet dernier avec l’affiche Balla Gaye 2-Tapha Tine, remportée par le premier. La structure dirigée par Baye Ndiaye, frère de l’ancien promoteur Aziz Ndiaye, a organisé quatre journées de dix combats chacune. Ses plus grosses affiches sont Balla Gaye 2-Tapha Tine donc, Ama Baldé-Gris Bordeaux, Sa Thiès-Eumeu Sène et Tapha Tine-Eumeu Sène.
Dans un entretien paru ce lundi dans L’Observateur, le patron d’Albourakh a tiré le bilan de l’exercice, le jugeant positif. «La saison a été une réussite totale», s’exclame-t-il. S’il se garde de faire un bilan financier («ce n’est pas possible de dire la somme que j’ai dépensée pour cette saison»), il déclare pouvoir au moins dire qu’il ne doit aucun franc aux lutteurs qu’il avait engagés.
Quid de ses sources de financement pour une structure qui abordait sa première saison dans l’arène ? «C’est Aziz Ndiaye. Il est derrière moi, c’est lui qui me finance», révèle Baye Ndiaye dans l’entretien avec L’Observateur. C’est la seule personne qui m’aide dans le montage des combats en y mettant son propre argent.»
Le patron d’Albourakh jure qu’il ne sollicite aucune banque pour financer ses activités. Il confie que pour chaque événement, Aziz Ndiaye lui avance les fonds nécessaires et à la fin, il rembourse. «Il ne touche pas aux bénéfices parce que selon lui, il ne m’aide pas pour gagner quelque chose. Il nous a montré la voie», salue Baye Ndiaye.
Dans un entretien paru ce lundi dans L’Observateur, le patron d’Albourakh a tiré le bilan de l’exercice, le jugeant positif. «La saison a été une réussite totale», s’exclame-t-il. S’il se garde de faire un bilan financier («ce n’est pas possible de dire la somme que j’ai dépensée pour cette saison»), il déclare pouvoir au moins dire qu’il ne doit aucun franc aux lutteurs qu’il avait engagés.
Quid de ses sources de financement pour une structure qui abordait sa première saison dans l’arène ? «C’est Aziz Ndiaye. Il est derrière moi, c’est lui qui me finance», révèle Baye Ndiaye dans l’entretien avec L’Observateur. C’est la seule personne qui m’aide dans le montage des combats en y mettant son propre argent.»
Le patron d’Albourakh jure qu’il ne sollicite aucune banque pour financer ses activités. Il confie que pour chaque événement, Aziz Ndiaye lui avance les fonds nécessaires et à la fin, il rembourse. «Il ne touche pas aux bénéfices parce que selon lui, il ne m’aide pas pour gagner quelque chose. Il nous a montré la voie», salue Baye Ndiaye.
10 Commentaires
Promoteur
En Août, 2024 (07:03 AM)Reply_author
En Août, 2024 (07:47 AM)Un pays ou des gens jouent avec des milliards alors qu'ils ont un maigre salaire wallah c'est incompréhensible
Reply_author
En Août, 2024 (08:51 AM)Deug
En Août, 2024 (07:20 AM)Diouf
En Août, 2024 (07:49 AM)2 - qu'en est-il des impôts dans ce secteur ??? car vu la facilité avec laquelle ils dégainent , ils ne semblent pas subir la même pression fiscale que subit la presse...un secteur bien plus utile que 2 mastodontes qui se donnent en spectacle.
Leuk Daour
En Août, 2024 (09:03 AM)Senegalais De La Diaspora
En Août, 2024 (09:13 AM)Diouf
En Août, 2024 (21:37 PM)Sagna
En Août, 2024 (07:59 AM)Participer à la Discussion