On aurait cru que le président des États-Unis Barack Obama devait prendre part au combat de lutte d'hier opposant Papa Sow à Baye Mandione. Les journalistes qui étaient dépêchés pour couvrir l'événement au stade Demba Diop n'oublieront pas de sitôt la journée d’Aziz Productions.
C'était la croix et la bannière pour les journalistes d'avoir accès à l'enceinte du stade Demba Diop. Toutes les voitures de la presse accédant au stade ont été fouillées, comme dans un pays en guerre, pour reprendre le canard du groupe DMEDIA.
Même les parfums des journalistes ont été bloqués à l'entrée, à défaut d'interdire à ces derniers l'accès au stade. Pour y accéder, les badges n'ont pas suffi aux gendarmes et simples vigiles installés au portail du stade. La fouille a été menée de la tête aux pieds avec une matraque électrique.
« Nous ne faisons qu'appliquer des ordres », a lancé le gendarme planté devant le portail pour la circonstance. D'ailleurs, amateurs ou encore simples passants ont été interdits de stationner devant le stade.
Même les maisons qui se trouvent en face du stade n'ont finalement pas été épargnées par « l'arsenal sécuritaire » déployé pour ce combat de lutte. La sécurité a été assurée par l'escadron monté de la Gendarmerie Nationale.
5 Commentaires
Salambaye
En Avril, 2013 (09:33 AM)Bigboy
En Avril, 2013 (10:16 AM)VOUS VOUS SURESTIMEZ, MAIS LE RÉVEIL SERA BRUTAL . VIVEMENT QUE LE NOUVEAU CODE DE PRESSE NE SOIT ADOPTE.
Bobou
En Avril, 2013 (10:54 AM)Fidel Castro
En Avril, 2013 (16:01 PM)Abou
En Avril, 2013 (22:30 PM)Participer à la Discussion