La coopération entre le Sénégal, le Cap Vert et le Ghana dans le domaine de l'intelligence artificielle a abouti à la création d'un projet commun appelé Rail (Responsible artificiel intelligence lab), informe LeQuotidien.
Le journal renseigne que le projet, financé par l'Union européenne (Ue), implique des laboratoires satellites des Universités Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad), du Cap Vert (Uni-civ) et de l'Université Kwame Nkrumah des sciences et de la technologie.
Le projet a été présenté lors d'un atelier tenu cette semaine à Praia alors que le Sénégal s'apprête à lancer son premier satellite, GaindeSat. "L'idée est de créer des laboratoires d'intelligence artificielle dans les trois pays bénéficiaires de ce partenariat", a expliqué Arlindo Veiga, coordinateur de la branche capverdienne du projet, en présence de ses collègues sénégalais et ghanéen.
Présidant les travaux, le président Cap-verdien a relevé la nécessité pour les pays africains "de promouvoir les avantages de l'Ia pour le bien commun." "Nous ne pouvons plus faire de l'Afrique un mur de lamentations. Nous devons agir pour le transformer en un acteur politique pertinent et apporter les changements structurels nécessaires en assumant nos responsabilités afin d'accélérer le processus de transformation du continent, et ainsi être, et non pas être exclus", a-t-il déclaré.
Le Cap Vert a inauguré son laboratoire satellite, en marge de la rencontre.
Le journal renseigne que le projet, financé par l'Union européenne (Ue), implique des laboratoires satellites des Universités Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad), du Cap Vert (Uni-civ) et de l'Université Kwame Nkrumah des sciences et de la technologie.
Le projet a été présenté lors d'un atelier tenu cette semaine à Praia alors que le Sénégal s'apprête à lancer son premier satellite, GaindeSat. "L'idée est de créer des laboratoires d'intelligence artificielle dans les trois pays bénéficiaires de ce partenariat", a expliqué Arlindo Veiga, coordinateur de la branche capverdienne du projet, en présence de ses collègues sénégalais et ghanéen.
Présidant les travaux, le président Cap-verdien a relevé la nécessité pour les pays africains "de promouvoir les avantages de l'Ia pour le bien commun." "Nous ne pouvons plus faire de l'Afrique un mur de lamentations. Nous devons agir pour le transformer en un acteur politique pertinent et apporter les changements structurels nécessaires en assumant nos responsabilités afin d'accélérer le processus de transformation du continent, et ainsi être, et non pas être exclus", a-t-il déclaré.
Le Cap Vert a inauguré son laboratoire satellite, en marge de la rencontre.
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Afrique ne doit pas hésiter à s'engager pleinement dans cette voie. Il est crucial d'intégrer nos contenus culturels et sociétaux dans cette évolution. Grâce à l'IA, l'Afrique a le potentiel de faire des avancées significatives dans de nombreux domaines, en particulier dans l'éducation. Cela pourrait être une opportunité sans précédent pour valoriser notre héritage culturel tout en embrassant les nouvelles technologies, favorisant ainsi un développement accéléré et inclusif.
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