A quelques heures d'une probable intervention militaire au Niger, les appels au calme se poursuivent au Sénégal. Après Thierno Alassane Sall, c'est au tour de Cheikh Tidiane Dieye d'élever la voix. À travers un tweet, ce membre de la coalition Yewwi Askan wi "invite la CEDEAO à renoncer à toute intervention armée au Niger et à privilégier une solution politique négociée. Cheikh Tidiane Dieye estime qu'une "guerre entre États ouest africains deviendrait vite une guerre entre Russes et occidentaux au coeur du Sahel". "Nul n’en sortira indemne" a-t-il lâché.
Pour rappel, si la CEDEAO décide d'envoyer une force militaire, le Sénégal sera de la partie. La ministre des Affaires étrangères, Aïssata Tall Sall, l'avait fait savoir lors d'une rencontre entre le gouvernement et la presse. Aïssata Tall Sall a rappelé que les Sénégal avait ratifié des textes au niveau régional. Par ailleurs, la Cheffe de la diplomatie sénégalaise a estimé qu'au Niger, il s'agit du "putsch" de trop. Ce qui justifie, selon elle, l'envoi probable de militaires.
6 Commentaires
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Tais toi troll français
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En Août, 2023 (11:14 AM)-
Looool ce sont des gens comme vous que le blanc a utilisé lors de l esclavage
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En Août, 2023 (13:20 PM)-
Les africains sont donc assez cons d après toi pour être constamment manipulés et ne pas avoir leur propre jugement
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{comment_ads}Les Nuls
En Août, 2023 (10:17 AM)Tu n' as pas beaucoup d estle pour ton continent
Ibo
En Août, 2023 (10:19 AM)Vous n'êtes plus un expert fiable, honnête et sincère pour nous. Vous avez participé à la destruction
Mar
En Août, 2023 (11:57 AM)Le putsch de trop pour qui ? Pour le papa colonisateur qui ne veut pas se salir les mains et préfère envoyer des tirailleurs défendre leurs intérêts ?
Sutura
En Août, 2023 (13:18 PM)Un autre pays comme la Guinée Bissau, ne le négligeons pas qui a une armée combattante, résiliente s'oppose à cette intervention. Deux pays dans le même cercle de feu que le Niger, le Mali et le Burkina s'y opposent et promettent un soutien à leur voisin du Niger en cas d'attaque.
On ne peut prévoir la réaction de tous ces groupes dangereux qui écument dans la zone.
Cette guerre, on peut décider quand on va la commencer mais on ne saura jamais quand la terminer. Elle va désservir les intérêts de la France et renforcer le sentiment anti-français grandissant dans la sous-région.
Donnons une chance aux médiations en cours. N'oublions pas toute cette panoplie de sanctions décidées contre le Niger qui vont impacter fortement la vie sociale et économique de ses populations.
Après la guerre, il faudra gagner la paix. La CEDEAO sera t-elle à même de ramener la paix au Niger entre nigériens. Faisons attention : cette CEDEAO est une institution encore fragile. Ne va t-on pas avec cette invasion programmée assister à sa dislocation.
Prions !
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