La presse avait fait état de l’interpellation par la police d’homosexuels surpris en pleins ébats dans un appartemment à Petit Mbao. Plus précisément, ils sont huit homosexuels à être déférés et placés sous mandat de dépôt en attendant leur jugement devant le tribunal des flagrants délits. A la tête de ce réseau, figurent deux personnes : Djiadiou Diouf, cèlèbre homosexuel demeurant à Diamaguène et « Adja Daro Mbaye ». À tous les niveaux, cette affaire est plus scandaleuse que celle du mariage de Petit Mbao et pour cause.
L’affaire des homosexuels interpellés à Petit Mbao par la police de la même localité est à plus d’un titre bien pire que celle dite du mariage homosexuel à Petit Mbao qui avait défrayé la chronique au début de l’année. Devant la gravité des faits, le Parquet n’a d’ailleurs eu d’autres choix que d’inculper et de placer sous mandat de dépôt les mis en cause. Déférés, en effet devant le ministère public, les concernés ont tous été écroués, tandis que le dossier a été communiqué au tribunal des flagrants délits pour jugement. Selon des sources très sûres, ce sont au total huit (8) homosexuels qui sont visés par la procédure en cours. Si pour le mariage de Petit Mbao, Pape Mbaye, actuellement en exil aux Etats-Unis, était reconnu comme étant le « chef », pour cette fois, le meneur est le nommé Diadjiou Diouf, célèbre « goordjiguen » habitant Diaméguène et un autre homosexuel qui se fait appeler dans le milieu « Adjia Daro Mbaye », en référence à la célèbre cantatrice. La presse avait déjà affirmé que divers matériels pornographiques avaient été saisis lors de la descente des policiers dans le lieu de retranchement des homosexuels. Ce n’est que la face visible de l’iceberg, puisque la police a versé dans le dossier des photos les unes plus choquantes que les autres. A l’aide de leurs téléphones portables, les huit mis en cause se sont photographiés en pleins ébats. Des photos, plus d’une dizaine, qu’ils ont ensuite dupliquées, grâce aux nouvelles technologies. Sur les images versées dans le dossier, on voit ainsi les mis en cause se livrer à des séances de fellation, et de sodomie ! Pis, tout laisse croire que ces photos étaient commercialisées à travers le monde, puisque les mis en cause avaient spécialement créé un site internet à cet effet. Loin de nier les faits qui leur sont reprochés, Djiadji Diouf et cie ont, non seulement assumé leurs instincts contre-nature, mais aussi reconnu la totalité des faits qui leur sont imputés tant à la police qu’au niveau du parquet. Si cette affaire n’a pas fait beaucoup de bruits comme ce fut le cas lors du mariage de Petit Mbao, c’est sans doute parce que les images des ébats n’ont pas été publiées dans la presse, jalousement gardées qu’elles sont. Si tel avait été le cas, cette affaire scandaliserait plus d’un, surtout que ceux qui ont « osé » regarder les photos n’en reviennent toujours pas.
Source: L'as
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