En temps normal déjà, les Sénégalais ne se bousculent pas pour donner de leur sang. La situation est encore plus critique pendant le ramadan. Durant le mois béni, explique Pr Saliou Diop, directeur du Centre national de transfusion sanguine (CNTS), il y a moins 40 à 50% de dons. Pour remédier à cette situation, le Cnts cible les mosquées après la rupture, mais également les paroisses afin d’alimenter les banques de sang.
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Ndiol's
En Mai, 2019 (23:02 PM)Participer à la Discussion