Le continent africain est confronté au terrorisme, et les pouvoirs publics entendent lutter contre cet extrémiste violent. Cependant, dans la manière de le faire, les gouvernants semblent vouloir profiter de ce sujet délicat pour restreindre les libertés. C’est du moins ce qui ressort du rapport 2017 de l’Ong Article 19. Le Burundi, le Cameroun, le Tchad, le Niger, le Sénégal et le Togo sont autant de pays qui se sont distingués dans ce domaine.
Pour le cas du Sénégal, par exemple, on se rappelle le cas Imam Ndao qui a fait l’objet d’une arrestation musclée suivie d’une longue détention avec des privations en prison, mais qui a fini par être acquitté. Il y a aussi des individus arrêtés depuis trois ans au moins, sans être jugés.
En Ethiopie, la loi anti-terroriste, ‘’favorable à la répression du débat démocratique’’, a été utilisée pour condamner de nombreux artistes. ‘’La législation anti-terroriste a également servi à réduire au silence des journalistes au Cameroun, dont ceux qui couvraient les troubles dans les régions anglophones’’, souligne le document.
5 Commentaires
Anonyme
En Décembre, 2018 (17:15 PM)Tout comme Ebola, la ministre de la santé s'est fait de l'argent en effrayant la population; résultat des courses un seul malade sur tout le territoire mais un pactole pour elle avec le couloir humanitaire .
Pendant ce temps, les milliards provenant d'emprunts tous azimuts tombent dans la tirelire Sall/Faye sans que personne n'ose demander des comptes et des justificatifs si ce ne se sont que les dettes qui pour nos générations futures.
REPUBLIQUE BANANIERE QUI VOLE SON PROPRE PEUPLE ; VIVEMENT 2019 !
Anonyme
En Décembre, 2018 (17:32 PM)Article D'un Enseignant
En Décembre, 2018 (19:28 PM)Anonyme
En Décembre, 2018 (19:29 PM)Anonyme
En Décembre, 2018 (09:52 AM)Participer à la Discussion