"Le sommet de la zone euro a trouvé un accord à l'unanimité. Nous sommes tous prêts pour un programme d'aide pour la Grèce via le Mécanisme européen de stabilité(MES), avec des réformes sérieuses et un soutien financier", a indiqué le président du Conseil européen, Donald Tusk.
L'euro a réagi à cette annonce en remontant à 1,1194 dollar un peu avant 07H00 GMT.
L'euro a réagi à cette annonce en remontant à 1,1194 dollar un peu avant 07H00 GMT.
"L'accord a été laborieux", a reconnu le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker.
Toute la nuit, les chefs d'Etat et de gouvernement des 19 pays de la zone euro avaient poursuivi leurs tractations pour tenter de boucler un compromis permettant de maintenir la Grèce dans l'euro, à l'approche d'une réunion cruciale de la Banque centrale européenne.
A l'aube, un compromis s'était dessiné, soumis aux 19 dirigeants, sur la liste des exigences réclamées à Athènes pour renouer le dialogue en vue d'un renflouement du pays.
Mais pas suffisant pour que le gouvernement grec de gauche radicale cède, alors que des milliers de tweets l'appelaient -- sous le hashtag "Thisisacoup" (C'est un coup d'Etat) -- à résister aux diktats des créanciers du pays.
Toute la nuit, les chefs d'Etat et de gouvernement des 19 pays de la zone euro avaient poursuivi leurs tractations pour tenter de boucler un compromis permettant de maintenir la Grèce dans l'euro, à l'approche d'une réunion cruciale de la Banque centrale européenne.
A l'aube, un compromis s'était dessiné, soumis aux 19 dirigeants, sur la liste des exigences réclamées à Athènes pour renouer le dialogue en vue d'un renflouement du pays.
Mais pas suffisant pour que le gouvernement grec de gauche radicale cède, alors que des milliers de tweets l'appelaient -- sous le hashtag "Thisisacoup" (C'est un coup d'Etat) -- à résister aux diktats des créanciers du pays.
La Grèce ne voulait pas que le FMI participe au financement d'un nouveau plan d'aide, pourtant exigé par l'Allemagne, et rejetait l'idée de créer hors du pays un fonds regroupant des actifs grecs à hauteur de 50 milliards d'euros pour garantir les privatisations promises.
En fin de nuit, le sort de la Grèce se jouait à quatre, entre la chancelière allemande Angela Merkel, le président français François Hollande, Donald Tusk et Alexis Tsipras.
Si le texte soumis au petit matin ne prévoit a priori pas de sortie temporaire de la Grèce de la monnaie unique, comme évoqué noir sur blanc dans un projet des ministres des Finances, la menace a repris corps au fil des heures.
En fin de nuit, le sort de la Grèce se jouait à quatre, entre la chancelière allemande Angela Merkel, le président français François Hollande, Donald Tusk et Alexis Tsipras.
Si le texte soumis au petit matin ne prévoit a priori pas de sortie temporaire de la Grèce de la monnaie unique, comme évoqué noir sur blanc dans un projet des ministres des Finances, la menace a repris corps au fil des heures.
6 Commentaires
Anonyme
En Juillet, 2015 (09:59 AM)Le nom au référendum c’était contre les mesures d'austérité alors Tsipras en acceptant toutes ces mesures ( il va falloir convaincre le parlement Grec! ) a brassé que du vent en invitant les Grecs au référendum !!
Il fallait au départ tout simplement négocier l'allongement des délais de remboursement, des maturités et des taux d'intérêts ( car c'est tout ce qu'il a obtenu en réalité car il n'y a pas eu d’abandon d'une partie de la dette qui était son cheval de bataille); la Grèce c'est comme l'Afrique, surendettement surendettement après on négocie des abandons de créances c'est ainsi que l'on perd sa souveraineté !!!!
From Zion
En Juillet, 2015 (11:21 AM)Revolution!!!
Un Grand Pays
En Juillet, 2015 (16:34 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (16:37 PM)les grecs ne veulent pas faire des reformes et veulent avoir un certain niveau de vie,alors c est normal que certains en aient ras-le bol. ils peuvent bien remercier la france ,sans elle l allemagne l aurait bien chasser de l euro.
Anonyme
En Juillet, 2015 (17:01 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (17:57 PM)Participer à la Discussion