C’était un jeudi noir, hier, au Tchad. Des décès, des blessés et des attestations. Au lendemain de ces violentes manifestations, le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits humains a lancé un message aux membres du gouvernement de la Transition. «Le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits humains déplore l'usage meurtrier de la force contre des manifestants dans plusieurs villes du Tchad, y compris l’usage de balles réelles.
Les autorités ont déclaré qu'une cinquantaine de personnes ont été tuées et près de 300 blessées lors des manifestations jeudi dernier contre la prolongation de 24 mois du gouvernement de transition. Nous avons également reçu des informations selon lesquelles au moins 500 personnes ont été arrêtées.», a déclaré le porte-parole dudit bureau, Marta Hurtado.
Elle affirme aussi avoir des rapports qui font état de violences de la part des manifestants à la suite de la répression létale, y compris des attaques contre des biens. «Nous appelons au calme et demandons à toutes les parties de faire preuve de retenue. Nous rappelons au Tchad qu'il est tenu de protéger et de respecter les droits humains, et de garantir l'exercice des droits à la réunion pacifique et à la liberté d'opinion et d'expression », dit-elle.
Marta Hurtado d’indiquer que les forces de défense et de sécurité doivent s'abstenir de recourir à la force contre les manifestants pacifiques et veiller à ce que la force ne soit utilisée que si elle est strictement nécessaire et, le cas échéant, dans le plein respect des principes de légalité, de précaution et de proportionnalité. «Toutes les personnes détenues pour avoir exercé leur droit de réunion pacifique doivent être rapidement libérées. Nous demandons également à toutes les institutions publiques concernées de mener des enquêtes impartiales, rapides, efficaces et transparentes sur les violations des droits humains qui ont pu être commises», exige le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits humains.
Les autorités ont déclaré qu'une cinquantaine de personnes ont été tuées et près de 300 blessées lors des manifestations jeudi dernier contre la prolongation de 24 mois du gouvernement de transition. Nous avons également reçu des informations selon lesquelles au moins 500 personnes ont été arrêtées.», a déclaré le porte-parole dudit bureau, Marta Hurtado.
Elle affirme aussi avoir des rapports qui font état de violences de la part des manifestants à la suite de la répression létale, y compris des attaques contre des biens. «Nous appelons au calme et demandons à toutes les parties de faire preuve de retenue. Nous rappelons au Tchad qu'il est tenu de protéger et de respecter les droits humains, et de garantir l'exercice des droits à la réunion pacifique et à la liberté d'opinion et d'expression », dit-elle.
Marta Hurtado d’indiquer que les forces de défense et de sécurité doivent s'abstenir de recourir à la force contre les manifestants pacifiques et veiller à ce que la force ne soit utilisée que si elle est strictement nécessaire et, le cas échéant, dans le plein respect des principes de légalité, de précaution et de proportionnalité. «Toutes les personnes détenues pour avoir exercé leur droit de réunion pacifique doivent être rapidement libérées. Nous demandons également à toutes les institutions publiques concernées de mener des enquêtes impartiales, rapides, efficaces et transparentes sur les violations des droits humains qui ont pu être commises», exige le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits humains.
4 Commentaires
Les medias africains en ont ils fait la une de leurs journaux?
Afrique,mon Afrique
Ce nest pas pour rien que ns sommes les derniers de la planete et que ns souffrons ts les jrs.
Ouz
En Octobre, 2022 (23:43 PM)Participer à la Discussion