Le Sénégal est avec le Mali et le Burkina Faso l’un des trois pays de l’UEMOA inscrits sur la liste grise du Groupe d’action financière (GAFI). Cet organisme intergouvernemental est chargé de lutter contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme.
Cette position révèle que le dispositif anti-blanchiment de capitaux du pays manque d’efficacité. «Ce n’est pas normal qu’on puisse figurer sur cette liste encore longtemps», a déploré le directeur national de la BCEAO pour le Sénégal, Ahmadou Al Aminou Lô, repris par Le Soleil.
Ce dernier précise que si le classement n’évolue pas dans le bon sens, les banques locales courent deux risques majeurs. Il s’agit du derisking (décision de mettre fin à une relation d’affaires lorsque le risque client est considéré plus sensible) et des restrictions en matière de correspondance bancaire (prestation de services bancaires rendue par une banque, la «banque correspondante», à une autre banque, la «banque cliente»).
Le Soleil révèle que les 11 et 12 janvier le Sénégal, le Burkina Faso et le Mali étaient devant l’ICRG (International co-operation review group), l'organe chargé de juger s’ils doivent sortir ou rester sur la liste grise.
Cette position révèle que le dispositif anti-blanchiment de capitaux du pays manque d’efficacité. «Ce n’est pas normal qu’on puisse figurer sur cette liste encore longtemps», a déploré le directeur national de la BCEAO pour le Sénégal, Ahmadou Al Aminou Lô, repris par Le Soleil.
Ce dernier précise que si le classement n’évolue pas dans le bon sens, les banques locales courent deux risques majeurs. Il s’agit du derisking (décision de mettre fin à une relation d’affaires lorsque le risque client est considéré plus sensible) et des restrictions en matière de correspondance bancaire (prestation de services bancaires rendue par une banque, la «banque correspondante», à une autre banque, la «banque cliente»).
Le Soleil révèle que les 11 et 12 janvier le Sénégal, le Burkina Faso et le Mali étaient devant l’ICRG (International co-operation review group), l'organe chargé de juger s’ils doivent sortir ou rester sur la liste grise.
6 Commentaires
Amsa
En Janvier, 2023 (20:27 PM)La facilite, la paresse, '' XALISS KANE DOUKOU LIGGEY DAGNEYKOY LIJJANTE "et la mal gouvernance ont mis le pays a genoux.
Au prochain regime, les taches ne seront pas facile de relever les defis, le Senegalais a perdu son Identite: Joom, Kersa, Ngor. Pour developper un pays, il faut une population qui incarne des vertus de nos ancetres et aileux. La SOBRITE de nos prochains leaders, habillements, voitures de services, discours, humilites, comportements vis a vis des deniers publics devront etre des etandards de base pour notre Societe a aller de l'Avant. Des Slogans, Acronymes, discours politiques n'avancent pas un pays.
Il faut reconnaitre votre statut pour s'ameliorer, on est un pays pauvre et tres endettes...... !!!!
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