"Il y a (dans la maison) au moins deux hommes, au moins deux femmes et des enfants. Nous avons des informations sur la présence d'explosifs", a déclaré le porte-parole du ministère de l'Intérieur, Mohamed Ali Aroui, lors d'une conférence de presse.
Un membre de la Garde nationale (gendarmerie) a été tué et un autre blessé dans les échanges de tirs avec les occupants de la maison, a-t-il ajouté. "Nous avons demandé à ce qu'ils fassent sortir les enfants et les femmes", a précisé M. Aroui, qui s'est refusé à employer le terme de prise d'otages, soulignant que l'une des femmes était "l'épouse d'un des éléments terroristes". D'après un responsable policier sur place interrogé par l'AFP, le gendarme a été tué d'une balle "reçue à l'oeil".
La maison à Oued Ellil a été encerclée suite à des informations obtenues après l'arrestation de "deux éléments terroristes" après des heurts à Kébili, à 500 km au sud de Tunis, selon lesquelles "d'autres éléments terroristes se trouvaient dans une maison" dans cette banlieue de la capitale, a ajouté M. Aroui, précisant que le gardien d'une société avait été tué à Kébili par ces "éléments terroristes".
Selon des journalistes de l'AFP à Oued Ellil, la police, déployée en grand nombre, lançait des appels au mégaphone pour que les suspects se rendent. En fin de matinée, des tirs sporadiques retentissaient encore mais la situation était plus calme en début d'après-midi.
Ces violences interviennent à trois jours des élections législatives qui, avec la présidentielle du 23 novembre, sont cruciales pour la stabilité du pays.
Un membre de la Garde nationale (gendarmerie) a été tué et un autre blessé dans les échanges de tirs avec les occupants de la maison, a-t-il ajouté. "Nous avons demandé à ce qu'ils fassent sortir les enfants et les femmes", a précisé M. Aroui, qui s'est refusé à employer le terme de prise d'otages, soulignant que l'une des femmes était "l'épouse d'un des éléments terroristes". D'après un responsable policier sur place interrogé par l'AFP, le gendarme a été tué d'une balle "reçue à l'oeil".
La maison à Oued Ellil a été encerclée suite à des informations obtenues après l'arrestation de "deux éléments terroristes" après des heurts à Kébili, à 500 km au sud de Tunis, selon lesquelles "d'autres éléments terroristes se trouvaient dans une maison" dans cette banlieue de la capitale, a ajouté M. Aroui, précisant que le gardien d'une société avait été tué à Kébili par ces "éléments terroristes".
Selon des journalistes de l'AFP à Oued Ellil, la police, déployée en grand nombre, lançait des appels au mégaphone pour que les suspects se rendent. En fin de matinée, des tirs sporadiques retentissaient encore mais la situation était plus calme en début d'après-midi.
Ces violences interviennent à trois jours des élections législatives qui, avec la présidentielle du 23 novembre, sont cruciales pour la stabilité du pays.
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