Interrogé en octobre par le quotidien progouvernemental L’Union, Alain Bâ Oumar n’a pas franchement défendu les entreprises dont les créances (241 milliards de F CFA, 366 millions d’euros) ont été annulées par l’État.
Reconduit en août à la tête de la Confédération patronale gabonaise (CPG), il a au contraire dénoncé celles qui auraient présenté des fausses factures. En 2018, cet homme d’affaires avait montré plus de combativité pour obtenir, sous l’égide du Club de Libreville, le paiement de 400 milliards de F CFA dus par le Gabon au secteur privé.
Réécriture des codes minier, pétrolier et du travail Le fondateur d’IG Telecom, qui s’est fait une place de choix en Afrique centrale dans la fourniture de services de communication par satellite (VSAT), est sous pression. La task force, sous l’autorité de Noureddin Bongo Valentin, lui reproche d’avoir empoché 600 millions de F CFA pour la connexion des lycées et écoles primaires sans avoir honoré ce marché.
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