Son père, Ali Bongo, lui avait confié le très stratégique poste de "Coordinateur général des affaires présidentielles". Et depuis, beaucoup soupçonnent le père de vouloir faire de lui, son successeur. Hier, en conseil des ministres, contre toute attente, Nourredin a été limogé.
Le fait suscite moult interprétations au Gabon? Ali Bongo a limogé son fils. Dans le communiqué du conseil des ministres de hier jeudi, il est dit que Noureddin Bongo Valentin a été «remis à la disposition de son administration d’origine.» En effet, c’est en 2019, que le fils du président Gabonais, a été nommé dans l'administration présidentielle.
Son père lui avait assigné comme objectif de surveiller Brice Laccruche Alihanga, son propre directeur de cabinet. L'opération anti-corruption Scorpion, menée début décembre 2019, avait entraîné la chute puis l'arrestation de Brice Laccruche. Et Noureddin Bongo Valentin fut soupçonné d'être à l'origine de cette opération.
Puis, il sera nommé, en décembre 2019, Coordinateur général des affaires présidentielles logé au sein de la présidence de la République. Il était considéré comme «un super-directeur de cabinet» du président et «numéro deux du régime». Beaucoup soupçonnaient une volonté de son père, de le désigner comme son successeur à la tête de l’Etat gabonais. Avec ce limogeage, les pistes semblent être brouillées.
Le fait suscite moult interprétations au Gabon? Ali Bongo a limogé son fils. Dans le communiqué du conseil des ministres de hier jeudi, il est dit que Noureddin Bongo Valentin a été «remis à la disposition de son administration d’origine.» En effet, c’est en 2019, que le fils du président Gabonais, a été nommé dans l'administration présidentielle.
Son père lui avait assigné comme objectif de surveiller Brice Laccruche Alihanga, son propre directeur de cabinet. L'opération anti-corruption Scorpion, menée début décembre 2019, avait entraîné la chute puis l'arrestation de Brice Laccruche. Et Noureddin Bongo Valentin fut soupçonné d'être à l'origine de cette opération.
Puis, il sera nommé, en décembre 2019, Coordinateur général des affaires présidentielles logé au sein de la présidence de la République. Il était considéré comme «un super-directeur de cabinet» du président et «numéro deux du régime». Beaucoup soupçonnaient une volonté de son père, de le désigner comme son successeur à la tête de l’Etat gabonais. Avec ce limogeage, les pistes semblent être brouillées.
1 Commentaires
Est ce que il y a des hommes là-bas
Hein ?
Sinon il faut changer le nom du pays
Le royaume de Bongo
Avec comme capital Bongo city
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