Les médias français RFI et France 24 ont exprimé leur "incompréhension" devant "la suspension provisoire de leur diffusion", samedi au Gabon, à quelques heures de la proclamation des résultats des élections générales dans le pays.
Le gouvernement a coupé internet samedi soir et instauré un couvre-feu au Gabon en invoquant des risques de violences, peu avant la fin de la présidentielle opposant le sortant Ali Bongo Ondimba à son principal opposant, Albert Ondo Ossa, qui venait de dénoncer des "fraudes" et d’exiger d’être proclamé vainqueur à l’issue du scrutin.
Le gouvernement a coupé internet samedi soir et instauré un couvre-feu au Gabon en invoquant des risques de violences, peu avant la fin de la présidentielle opposant le sortant Ali Bongo Ondimba à son principal opposant, Albert Ondo Ossa, qui venait de dénoncer des "fraudes" et d’exiger d’être proclamé vainqueur à l’issue du scrutin.
9 Commentaires
Analyste
En Août, 2023 (09:09 AM)Ceci est la nouvelle stratégie de la France pour éviter d'être détester par la population. Il font semblant de critiquer le parti au pouvoir qui est en réalité leur pion, les nègres naïfs s'en réjouissent et applaudissent et ils font leurs manœuvres en sous terrain jusqu'à maintenant leur candidat. Depuis que sonko est emprisonné, qui a vu France24, ou RFI en parler.
L’extrémiste
En Août, 2023 (09:24 AM)Paco
En Août, 2023 (09:49 AM)Franchement
En Août, 2023 (12:22 PM)Affaire des "biens mal acquis" gabonais : cinq nouveaux enfants d'Omar Bongo mis en examen en France
En avril dernier, quatre autres enfants de l'ancien président gabonais Omar Bongo avaient déjà été mis en examen par la justice française. Ils sont soupçonnés d'avoir bénéficié du patrimoine financier assemblé par Omar Bongo.
Cette affaire a été déclenchée après la plainte d'une ONG en 2007. Outre ces neuf enfants d'Omar Bongo, 14 autres personnes physiques sont poursuivies, dont des membres de la famille de Denis Sassou Nguesso, président de la république du Congo ainsi que la BNP Paribas.
Ce patrimoine qui aurait été acquis de manière frauduleuse est évalué à au moins 85 millions d'euros par la justice. Les quatre premiers enfants mis en examen ont tous nié avoir eu connaissance du caractère frauduleux de ce patrimoine.
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