Les élus locaux et réseaux de gouvernements, réunis à Johannesburg (Afrique du Sud), pour les besoins du 7e Sommet Africités, ont appelé mardi les parties membres de la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) et le G77 à "prendre des initiatives fortes et contraignantes en faveur des pauvres".
Dans une déclaration remise à la presse, les élus africains ont souhaité que ces initiatives soient "mesurables, déclinables et vérifiables à Paris à l’occasion de la COP21/CMP11".
La déclaration de Johannesburg invite également les parties
membres de la CCNUCC à reconnaître "le rôle primordial" des gouvernements nationaux et locaux à "collectivement et efficacement" aborder les changements climatiques,
en particulier pour les pays de l’hémisphère Sud.
" Il faudrait aussi créer un environnement où les collectivités locales peuvent s’associer et travailler avec les gouvernements nationaux pour la prise de mesures urgentes et appropriées pour faire face à la fois à l’adaptation et à l’atténuation en vue de bâtir des communautés
résilientes, reconnaissant les impacts auxquelles les villes sont confrontées dans le contexte d’une urbanisation rapide’’, écrivent-ils dans cette déclaration.
Les élus locaux africains disent s’attendre également à la création d’un environnement qui favorise le financement pour améliorer la
résilience aux changements climatiques, en particulier à travers l’alimentation, l’eau et la sécurité.
" L’énorme potentialité de l’Afrique pour les faibles émissions de carbone et la croissance économique verte, notamment par rapport
aux possibilités de création d’emplois locaux doit être soutenue", ont retenu les élus locaux qui se disent prêts à intensifier les actions climatiques en étroite collaboration avec les parties membres de la CCNUCC et d’autres acteurs pour aller vers un avenir au climat résilient.
Ils ont par ailleurs appelé à la mise en œuvre de cadres juridiques et institutionnels susceptibles de les doter de la puissance et de la capacité nécessaires pour mener à bien leur rôle de moteurs de l’économie africaine.
"
Il faut, indique le document, adopter des politiques qui permettent de régler de manière durable la planification urbaine, rurale et l’utilisation des terres, réduire les risques et les effets des catastrophes, atténuer des changements climatiques et d’adaptation, la préservation des écosystèmes, les espaces publics urbains, la pollution urbaine et la gestion équilibrée du développement".
PON/BK
Dans une déclaration remise à la presse, les élus africains ont souhaité que ces initiatives soient "mesurables, déclinables et vérifiables à Paris à l’occasion de la COP21/CMP11".
La déclaration de Johannesburg invite également les parties
membres de la CCNUCC à reconnaître "le rôle primordial" des gouvernements nationaux et locaux à "collectivement et efficacement" aborder les changements climatiques,
en particulier pour les pays de l’hémisphère Sud.
" Il faudrait aussi créer un environnement où les collectivités locales peuvent s’associer et travailler avec les gouvernements nationaux pour la prise de mesures urgentes et appropriées pour faire face à la fois à l’adaptation et à l’atténuation en vue de bâtir des communautés
résilientes, reconnaissant les impacts auxquelles les villes sont confrontées dans le contexte d’une urbanisation rapide’’, écrivent-ils dans cette déclaration.
Les élus locaux africains disent s’attendre également à la création d’un environnement qui favorise le financement pour améliorer la
résilience aux changements climatiques, en particulier à travers l’alimentation, l’eau et la sécurité.
" L’énorme potentialité de l’Afrique pour les faibles émissions de carbone et la croissance économique verte, notamment par rapport
aux possibilités de création d’emplois locaux doit être soutenue", ont retenu les élus locaux qui se disent prêts à intensifier les actions climatiques en étroite collaboration avec les parties membres de la CCNUCC et d’autres acteurs pour aller vers un avenir au climat résilient.
Ils ont par ailleurs appelé à la mise en œuvre de cadres juridiques et institutionnels susceptibles de les doter de la puissance et de la capacité nécessaires pour mener à bien leur rôle de moteurs de l’économie africaine.
"
Il faut, indique le document, adopter des politiques qui permettent de régler de manière durable la planification urbaine, rurale et l’utilisation des terres, réduire les risques et les effets des catastrophes, atténuer des changements climatiques et d’adaptation, la préservation des écosystèmes, les espaces publics urbains, la pollution urbaine et la gestion équilibrée du développement".
PON/BK
1 Commentaires
Anonyme
En Décembre, 2015 (21:19 PM)Participer à la Discussion