L’Union africaine (UA), la Communauté économique des États de de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et les Nations Unies exigent ’’la libération immédiate et inconditionnelle’’ du président du Burkina Faso, Michel Kafando, et de son Premier ministre Yacouba Isaac Zida.
Les hommes du régiment de sécurité présidentiel (RSP) ont fait irruption mercredi en plein conseil des ministres, à Ouagadougou, arrêtant le Premier ministre, le lieutenant-colonel Yacouba Isaac Zida, le président des autorités de transition, Michel Kafando, et deux ministres.
L’UA, la CEDEAO et les Nations Unies qui assurent la présidence conjointe du Groupe International de Soutien et d’Accompagnement pour la Transition au Burkina-Faso (GISATBF) ’’exigent la libération immédiate et inconditionnelle des otages’’, selon un communiqué reçu à l’APS.
Les trois organisations ’’condamnent avec la plus grande fermeté cette violation flagrante de la Constitution et de la Charte de Transition’’.
Elles ’’exigent que les forces de défense et de sécurité se soumettent à l’autorité politique et, dans le contexte actuel, aux autorités de la transition’’, précise la même source.
Les trois organisation ’’soulignent avec force que les auteurs de cet enlèvement inacceptable répondront de leurs actes et seront tenus responsables de toute atteinte à l’intégrité physique du Président du Faso, du Premier Ministre et des autres personnalités qu’ils détiennent’’.
L’UA, la CEDEAO et les Nations Unies ’’réaffirment leur plein soutien à la Transition en cette période cruciale pour son aboutissement, avec les élections prévues le 11 octobre 2015’’.
Elles ’’réaffirment leur détermination, en appui aux autorités nationales, à tout mettre en œuvre pour assurer le parachèvement réussi de la transition au Burkina Faso’’.
MF/OID/AD
Elles ’’exigent que les forces de défense et de sécurité se soumettent à l’autorité politique et, dans le contexte actuel, aux autorités de la transition’’, précise la même source.
Les trois organisation ’’soulignent avec force que les auteurs de cet enlèvement inacceptable répondront de leurs actes et seront tenus responsables de toute atteinte à l’intégrité physique du Président du Faso, du Premier Ministre et des autres personnalités qu’ils détiennent’’.
L’UA, la CEDEAO et les Nations Unies ’’réaffirment leur plein soutien à la Transition en cette période cruciale pour son aboutissement, avec les élections prévues le 11 octobre 2015’’.
Elles ’’réaffirment leur détermination, en appui aux autorités nationales, à tout mettre en œuvre pour assurer le parachèvement réussi de la transition au Burkina Faso’’.
MF/OID/AD
6 Commentaires
Anonyme
En Septembre, 2015 (22:52 PM)...
Felix Malloum Jr
En Septembre, 2015 (23:26 PM)L ONU avec Mr BAN n est que l ombre d elle même
L UE = nous ne voulons pas de leur implication politique
Il faut impliquer davantage la CEDEAO
Dotée de moyens accrus par l ensemble des Partenaires techniques et financiers
Mais le Burkina a besoin d un homme de poigne comme l ex beau Blaise
Zéphyrin DIABRE pourrait faire l affaire
Mais il faut qu il soit moins " aérien " , moins élitiste
Marc Christian Roch KABORE est trop marqué par Compaore
A lassé parle trop et est candidat à tout poste
Anonyme
En Septembre, 2015 (00:49 AM)Anonyme
En Septembre, 2015 (09:22 AM)Watt
En Septembre, 2015 (17:01 PM)Pour avoir une stabilité du pays, il faut mettre tout le monde au mème niveau, ce qui se passe en Cote d'Ivoire ne se passera pas au Burkina.
Le coup d'Etat contre B. Compaoré applaudit par tous les chefs d'Etats corrompus n'est pas différent de celui de Zida.Donc pour moi, coup d'Etat est coup d'Etat, rien de plus. Macky Sall et ses colons blancs doivent avoir honte et se taire.
Arretez de vous méler des affaires des autres. Il n'y a pas un pays ou vous avez pu régler quoi que ce soit.
Bethenie
En Septembre, 2015 (17:19 PM)Mr Michel KAFONDO disais-je dans un commentaire sur facebook n'était pas l'homme de la situation car il a posé des actes négatifs vis à vis de la transition.
1 - Il a commencé par dire que les assassins du Président SANKARA et du journaliste ZONGO seront jugés,
2 - Les gens qui avaient soutenu le projet du référendum seraient exclus de la candidature aux élections présidentielles du 11 octobre 2015,
3 - Il nomme PM Mr ZIDA qui était celui qui par son coup de force a dit haut et fort qu'il était l'homme fort de la nation,
4 - Des arrestations par ci parl là etc......
Ce dont il a été choisi Mr Kafondo l'a ouublié dès qu'il est rentré au Palais de la Présidence.
Comment peut-il réussir sa transition sans pour autant penser à la réconciliation des burkinabais entre eux, sans penser à une nouvelle constition, à un nouveau code électorale et tant d'autres choses qui auraient pu nous éloigner des CE.
IL écarte des burkinabais comme lui de la courses électorale sous prétexte qu'ils ont soutenu le projet de référendum de l'ancien Président Blaise COMPAORE.
Qu'attendez vous par projet et référendum?
Un souhait qu'ils ont émis et demander à la population de décider.
Chers frères le gnl Gilbert DIENDERE ne devra pas laisser ces gens là continuer à gérer ce pays et que balai citoyen gagnerait à ouvrir les yeux et savoir quoi dire car la crise ivoirienne ne doit pas passer dans l'oubliette et pourtant ADO n'a pas dissou le FPI de Laurent et pourquoi au BF les gens se donnent à celà.
Laissons les Burkinabais partir devant les urnes et ils décideront de leur destin demain. Celui ou celle qui sera élu se chargera de traiter les dossiers 1-2-3-4 déjà cités.
KAFANDO est fini, pour lui c'est l'histoire du balayeur balayé, ZIDA remis Capitaine pour insubordination car comment un LCL peut venir surclassé ses chefs parce qu'il est avec un groupe d'innocents acr il n'a été malin lui aussi.
ZIDA devait être nommé colonel le lendemain de la remise du pouvoir aux civils et chef de cabinet militaire du PR de la transition pour devenir gnl 2 étoiles à la fin de la transition à titre exceptionnel.
Merci, je m'excuse pour toute personne qui se sentirait mal pour mes propos et je demande une fois aux burkinabais de se réconcilier entre eux et reconstruire leur pays des Hommes intégres.
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