Au moment où Macky Sall, président en exercice de la Cedeao, est à Ouagadougou pour discuter avec les putschistes, l'Union africaine a annoncé ce vendredi la suspension de toutes ses instances, “avec effet immédiat”, du Burkina Faso.
Une décision prise à l'issue d'une réunion du Conseil de paix et de sécurité de l'Ua après le coup d'Etat militaire de ce jeudi.
13 Commentaires
Anonyme
En Septembre, 2015 (17:48 PM)SI L'UA N'EST PAS FICHUE D'AVOIR UNE ARMEE CAPABLE D'EXTERMINER LES 1200 HOMMES DE CE MAUDIT REGIMENT COMPOSE DE VAMPIRES ET DE LACHES MEURTRIERS,IL Y A DE QUOI DESESPERER DE CETTE ORGANISATION.
Citoyen Du Monde
En Septembre, 2015 (17:58 PM)"Et c’est pour empêcher cette force politique et militaire parallèle de se mettre en place que la décision est prise par Compaoré d’arrêter Sankara.
Le matin du 15 octobre 1987, une violente dispute éclate entre Blaise,son lieutenant Gilbert Diendéré, et Salif Diallo, devenu par la duite son directeur de cabinet. Gilbert Diendéré exposé à Blaise Compaoré qu’à 20h les nouvelles forces de sécurité de Thomas Sankara profiteront de la réunion du CNR pour exécuter tous les membres dirigeant du gouvernement, y compris Blaise lui-même. Il l’exhorte de donner l’ordre de contre-attaquer pour devancer l’opération. Face à l’hésitation de Compaoré, Diendéré déclare menaçant : "Si avant 20h tu n’as pas donné ton accord, nous allons attaquer… !"
A 15 h Blaise donne son accord…
Gilbert Diendéré dirige lui-même les commandos. L’homme tient à régler personnellement ses comptes avec Thomas Sankara. Camouflés à bord d’une voiture bâchée, les commandos arrivent au Conseil de l’entente où se réunissent Sankara et son fameux cabinet spécial.
Il est environ 16h15 lorsque la voiture bâchée s’arrête devant la villa "Haute Volta" du Conseil. Immédiatement le vacarme des kalachnikovs déchire l’atmosphère.
Les sept hommes réunis dans la salle, se couchent au sol. Sankara se relève et ordonne à ses conseillers : "Restez.. C’est moi qu’ils veulent…"
Puis il quitte la salle les bras en l’air. A peine est-il sorti qu’il se trouve nez à nez avec Yacinthe Kafando un membre
de la garde personnelle de Blaise Compaoré, qui le descend de deux balles au front.
Un autre commando entre dans la salle et pousse au dehors ceux qui refusaient de sortir : "dehors.. dehors..!"
Dès leur sortie, ils sont à leur tour abattus…
Deux jours après l’assassinat de Sankara, le Président togolais Eyadéma, reconnaît le premier, le nouveau Front Populaire du Burkina Faso, instauré par Blaise Compaoré. La Côte d’Ivoire ne réagit pas, accusée par la presse internationale d’être l’instigateur du coup d’état"
Anonyme
En Septembre, 2015 (18:18 PM)Tan
En Septembre, 2015 (18:19 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (18:36 PM)Senegal- Burkina 1-0
En Septembre, 2015 (20:11 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (21:05 PM)Junior Geneve
En Septembre, 2015 (21:20 PM)Shame on you
Malick
En Septembre, 2015 (22:14 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (22:51 PM)apprenons notre religions selon le coran et la sunna
Anonyme
En Septembre, 2015 (23:20 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (00:47 AM)Anonyme
En Septembre, 2015 (08:52 AM)Participer à la Discussion