L'ex-chef putschiste, le général Gilbert Diendéré, auteur du coup d'Etat avorté au Burkina Faso, se trouve actuellement dans une ambassade et des négociations sont en cours pour qu'il en sorte et soit remis aux autorités, a annoncé mercredi le gouvernement.
"Le général Gilbert Diendéré est retranché dans une représentation diplomatique. Des négociations sont en cours pour sa remise aux autorités de la Transition", selon un communiqué du gouvernement, qui ne précise pas de quelle ambassade il s'agit.
"Le général Gilbert Diendéré est retranché dans une représentation diplomatique. Des négociations sont en cours pour sa remise aux autorités de la Transition", selon un communiqué du gouvernement, qui ne précise pas de quelle ambassade il s'agit.
Mardi soir, le général avait affirmé être en "lieu sûr" et assuré qu'il se "mettrait à la disposition de la justice de son pays".
L'ambassade des Etats-Unis à Ouagadougou s'était empressée d'assurer sur Twitter qu'elle n'accueillait pas le général.
Mardi soir, l'armée régulière, déterminée à en finir avec les putschistes du Régiment de sécurité présidentielle (RSP) qui rechignaient à rendre leur armes, a mené un assaut éclair à l'arme lourde contre la caserne Naaba Koom II, dont on ignorait toujours le bilan.
Dans son communiqué, le gouvernement précise que l'armée loyaliste continuait mercredi de passer "au peigne fin le Camp Naba Koom en vue de dresser un bilan exhaustif des opérations militaires", et réitère son "appel à la tolérance et au bon accueil de nos frères de l'ex-RSP".
Le RSP, unité d'élite de l'armée burkinabè et ancienne garde prétorienne de l'ex-président Blaise Compaoré, a mené le coup d'Etat du 17 septembre, mis en échec au bout d'une semaine.
L'ambassade des Etats-Unis à Ouagadougou s'était empressée d'assurer sur Twitter qu'elle n'accueillait pas le général.
Mardi soir, l'armée régulière, déterminée à en finir avec les putschistes du Régiment de sécurité présidentielle (RSP) qui rechignaient à rendre leur armes, a mené un assaut éclair à l'arme lourde contre la caserne Naaba Koom II, dont on ignorait toujours le bilan.
Dans son communiqué, le gouvernement précise que l'armée loyaliste continuait mercredi de passer "au peigne fin le Camp Naba Koom en vue de dresser un bilan exhaustif des opérations militaires", et réitère son "appel à la tolérance et au bon accueil de nos frères de l'ex-RSP".
Le RSP, unité d'élite de l'armée burkinabè et ancienne garde prétorienne de l'ex-président Blaise Compaoré, a mené le coup d'Etat du 17 septembre, mis en échec au bout d'une semaine.
3 Commentaires
Mafoi
En Octobre, 2015 (09:09 AM)Niane
En Octobre, 2015 (11:10 AM)Anonyme
En Octobre, 2015 (11:33 AM)Pourquoi fuire mon cher.
Tu va payer les pots cassés
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