Après un refus en bonne et due forme de l’Agence nationale de gestion et d’exploitation des infrastructures sportives et culturelles (ANAGEISC), les obsèques d’André Mba Obame se tiendront finalement au stade Nzeng-Ayong, dans le sixième arrondissement de Libreville. Non pas que la structure sous tutelle de la présidence de la République se soit ravisée, la décision émane plutôt du gouvernement.
Ce dernier s’est en effet saisi du dossier suite au tollé provoqué par la fin de non-recevoir adressé à la famille du disparu, le 22 avril dernier. Ainsi, le ministre de l’Intérieur a réuni, le 25 avril à Libreville, quelques proches d’André Mba Obame, notamment Franck Nguéma le patron de TV+ (neveu), Jacques Adiahenot (membre du Front de l’opposition pour l’alternance) et un prêtre du Woleu-Ntem, pour leur faire part de cette décision. Une mesure qui devrait quelque peu décrisper le climat très tendu entre le gouvernement et les militants de l’Union nationale (UN), mais aussi la famille de l’ancien leader du parti de l’opposition.
Par ailleurs, rien n’a filtré sur le dispositif sécuritaire qui pourrait être déployé lors de ces obsèques. Nul doute, en effet, que cette mesure s’avèrera nécessaire pour prévenir tout débordement, tant plusieurs milliers de personnes sont attendues pour ces obsèques qui auront lieu le 28 avril prochain à Libreville et le lendemain (29/4) dans le Woleu-Ntem.
Pour rappel, l’ANAGEISC avait refusé à la famille de l’homme politique disparu et à l’UN l’organisation de l’hommage public de son secrétaire général sur ce stade. Elle arguait à ce moment-là que le stade n’était pas disponible aux dates sollicitées. Dans les faits, aucune manifestation n’était prévue à ces dates. D’où la colère et l’indignation des militants de l’UN et des parents du disparu, qui pointaient un doigt accusateur vers la présidence de la République. Tout est donc bien qui finit bien.
Source : Gabonreview
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5 Commentaires
Hm1
En Avril, 2015 (13:13 PM)Anonyme
En Avril, 2015 (13:55 PM)Les autres royaumes qui avaient le choix entre être sous le joug de Tzarza (comme le walo ou le cayor), du Fouta (la plupart des royaumes mandignues comme Ségou actuel mali et fouta jallon ) ou allez chercher protection chez le colon.
Le colon divisait la colonie du sénégal en 2 races,
la race des berbéres et arabe (Tzarza),
la race des noirs : peuls (Fouta) et mandigues et la race Ouolof-Serere qui occupaient les autres royaumes et dont les rois étaient des vasseaux de Tzarza (Ouolof sérere) ou du Fouta(mandingues). Le colon protégeait souvent certains royaumes contre les attaques de tzarza (à la recherche d'esclaves) ou du Fouta (guerre sainte et contre l'esclavage).
Chez la race noire il y a
peuls : aux traits fins, des cheveux ressemblant à de la laine, physiquement c'est eux qui ressemblent plus aux blancs . Ils ont l'intelligence assez developées, susceptible de culture, les premiers à embrassé l'islam et vivant principalement dans le royaume theolo-democratique du Fouta où l'esclage était banni. Aucun habitant de ce royaume n'a été vendu comme esclave. Si certains Almamy ont essayé de se trouver des descendants arabes, les premiers colons pensent qu'ils sont descendants de legions romaines même si aujourd'hui on pense (et c'est plus logique) que c'etait les premiers habitants de l'egypte antique.
mandingues : de grandes tailles, systèmes musculaires très bien developpés, ils ont les traits négres pas au point que ceux des régions équatoriales ou du congo. C'est la race la plus commerçante de l'afrique occidentale.
Ouolof-Séréres : les plus beaux, les plus grands et les plus noirs de tous les négres. Leur qualité dominante est l'apathie. Ils ont le système nerveux très peu développé. Ils ne travaillent que juste pour leurs besoins du moment. Après la récolte, ils vendent à bon marché la plus grande partie de leur mil et rachètent ce même mil plus chers 6 mois après
Anonyme
En Avril, 2015 (14:18 PM)Anonyme
En Avril, 2015 (15:44 PM)Anonyme
En Avril, 2015 (08:34 AM)Participer à la Discussion