Une cinquantaine de militaires ivoiriens arrivés dimanche à l'aéroport de Bamako par un vol spécial étaient toujours "retenus pour vérification" lundi, ont indiqué à l'AFP un responsable policier malien et un responsable de l'armée ivoirienne.
"Arrivés dimanche par un vol spécial à l’aéroport de Bamako, 49 militaires ivoiriens non armés n'avaient pas d'ordre de mission. Nous avons prévenu les autorités nationales. Actuellement, ils sont retenus pour vérification", a déclaré lundi à l'AFP un responsable de la police de l’aéroport de Bamako sous couvert de l'anonymat.
"Ils sont présentement à l'école de la Gendarmerie nationale de Faladié [un quartier de Bamako, NDLR], dans la cour de notre unité spéciale pour les enquêtes", a affirmé lundi en début d'après-midi un membre de ce service, ayant lui aussi requis anonymat.
"Des vérifications nécessaires sont en cours [...] Ils n’ont subi aucun traitement dégradant", a également assuré un responsable à l'aéroport de Bamako.
L'information de "l'arrestation" de militaires ivoiriens a commencé à être diffusée dimanche sur les réseaux sociaux avant de devenir virale, certains les accusant d'être "des mercenaires" venus au Mali "faire un coup d'Etat".
"Il n'y a pas eu d’arrestation. Ils ont été conduits à l'école de gendarmerie pour des vérifications", a assuré un responsable de l'armée ivoirienne.
Les militaires ivoiriens retenus sont venus au Mali sur la base d’une convention pour travailler sur la base logistique de la société allemande Sahel Aviation Service (SAS), selon une source diplomatique ivoirienne. L'information a été confirmée à l'AFP par un responsable de l'entreprise allemande.
Dans le groupe de militaires ivoiriens figurent également des Casques bleus ivoiriens de la mission des Nations unies au Mali (Minusma) basés à Mopti (centre) et Tombouctou (nord), a poursuivi le diplomate ivoirien.
Sollicitée par l'AFP, la Minusma s'est pour l'heure refusée à tout commentaire.
Le Mali, pays enclavé au coeur du Sahel, a été le théâtre de deux coups d'Etat militaires en août 2020 et en mai 2021. La crise politique va de pair avec une grave crise sécuritaire en cours depuis le déclenchement, en 2012, d'insurrections indépendantiste et jihadiste dans le nord.
"Arrivés dimanche par un vol spécial à l’aéroport de Bamako, 49 militaires ivoiriens non armés n'avaient pas d'ordre de mission. Nous avons prévenu les autorités nationales. Actuellement, ils sont retenus pour vérification", a déclaré lundi à l'AFP un responsable de la police de l’aéroport de Bamako sous couvert de l'anonymat.
"Ils sont présentement à l'école de la Gendarmerie nationale de Faladié [un quartier de Bamako, NDLR], dans la cour de notre unité spéciale pour les enquêtes", a affirmé lundi en début d'après-midi un membre de ce service, ayant lui aussi requis anonymat.
"Des vérifications nécessaires sont en cours [...] Ils n’ont subi aucun traitement dégradant", a également assuré un responsable à l'aéroport de Bamako.
L'information de "l'arrestation" de militaires ivoiriens a commencé à être diffusée dimanche sur les réseaux sociaux avant de devenir virale, certains les accusant d'être "des mercenaires" venus au Mali "faire un coup d'Etat".
"Il n'y a pas eu d’arrestation. Ils ont été conduits à l'école de gendarmerie pour des vérifications", a assuré un responsable de l'armée ivoirienne.
Les militaires ivoiriens retenus sont venus au Mali sur la base d’une convention pour travailler sur la base logistique de la société allemande Sahel Aviation Service (SAS), selon une source diplomatique ivoirienne. L'information a été confirmée à l'AFP par un responsable de l'entreprise allemande.
Dans le groupe de militaires ivoiriens figurent également des Casques bleus ivoiriens de la mission des Nations unies au Mali (Minusma) basés à Mopti (centre) et Tombouctou (nord), a poursuivi le diplomate ivoirien.
Sollicitée par l'AFP, la Minusma s'est pour l'heure refusée à tout commentaire.
Le Mali, pays enclavé au coeur du Sahel, a été le théâtre de deux coups d'Etat militaires en août 2020 et en mai 2021. La crise politique va de pair avec une grave crise sécuritaire en cours depuis le déclenchement, en 2012, d'insurrections indépendantiste et jihadiste dans le nord.
21 Commentaires
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En Juillet, 2022 (18:07 PM)Reply_author
En Juillet, 2022 (15:34 PM)Alpha
En Juillet, 2022 (15:04 PM)Reply_author
En Juillet, 2022 (16:55 PM)VOUS ETES NUL ET RIDICULE
QUE FAISAIENT CES MILIATAIRES EN TRELLIS DANS UN autre pays sans accord du Mali?
Est-ce que vous etes vraiment un Africain, ou bien un Occidental qui veut beneficier des ressources africaines par tous les moyens sans y avoir droit?
Que faisaint ces militaires ?
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En Juillet, 2022 (17:00 PM)Reply_author
En Juillet, 2022 (17:00 PM)Honteux
Birome
En Juillet, 2022 (15:24 PM)Reply_author
En Juillet, 2022 (00:04 AM)Reply_author
En Juillet, 2022 (00:04 AM)Usa
En Juillet, 2022 (15:27 PM)Ah Bon
En Juillet, 2022 (16:05 PM)Nianthio
En Juillet, 2022 (16:34 PM)Spirou
En Juillet, 2022 (17:06 PM)C'est juste une vérification comme l'a attesté le diplomate ivoirien. Celui qui est clean n'a pas à s'inquiéter.
Qu'arrive t'il à mes frères africains pour qu'ils deviennent de plus en plus bêtes avec des réactions épidérmiques de faux néo panafricanisme. Pour ces putschistes maliens tout est bon pour donner un os à ronger à la population pendant que les ennemis réels du Mali avancent à grand pas.. Réveillez vous bon sang !!!
Lynx
En Juillet, 2022 (20:15 PM)il est temps que ces singeries de la junte malienne cesse. un chef de la junte qui n'ose meme plus prier à à mosquée avec ses compatriotes... qui devient de plus en plus parano est dangereux et les maliens verront bientôt les conséquences de leur conneries
populisme du matin au soir, zéro résultat ...
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